L’indicateur

LE PLAN DE REDEMPTION

« »

Nous voulons maintenant nous occuper de l’homme et de sa relation avec Dieu. Le problème central de notre vie est la conséquence de la chute, de notre séparation d’avec Dieu. Cependant nous ne nous arrêterons pas sur ce point, car la réconciliation a déjà été accomplie. Peut-être quelqu’un se dira-t-il: «A quoi cela peut-il me servir? Je ne me suis pas créé moi-même, et je ne peux m’aider moi-même; je n’ai vu ni Dieu ni diable! Je ne sais même pas si l’un ou l’autre existe!». Beaucoup déclarent orgueilleusement: «Je ne crois que ce que je vois.

Après moi le déluge! La foi, c’est pour les naïfs! La religion est d’ailleurs l’opium du peuple...». Il ne s’agit pas ici d’opinions ou de religions, car il y en a beaucoup. En aucune d’elles Dieu ne s’est révélé, car toutes ont été inventées par les hommes et obtenues par le moyen de la philosophie. Il s’agit de bien plus que cela: il s’agit d’une expérience personnelle avec Dieu.

A ceux qui prennent pour devise: «Je ne crois que ce que je vois», nous devons poser cette question enfantine: Un homme a-t-il déjà vu le vent? On voit comme il agite les arbres, comme son action peut être puissante et même parfois dévastatrice. Ainsi en est-il avec l’Esprit de Dieu. Il est la puissance de Dieu qui, ici-bas sur la terre, agit d’une manière toute- puissante dans le cœur des hommes qui croient à Jésus-Christ. Cependant ce ne sont que ceux qui expérimentent la grâce de Dieu qui entrent en possession de cela, spirituellement parlant; seuls ceux-là peuvent réaliser Son action surnaturelle.

A celui qui désire continuer à discuter et veut paraître particulièrement intelligent, nous pourrions demander si quelqu’un a déjà vu sa propre intelligence. S’il ne l’a pas vue, pourrait- il cependant prétendre que l’intelligence n’existe pas? Celui qui ne veut croire que ce qui peut se voir finit dans une impasse. Les plus sages à leurs propres yeux doivent s’incliner devant la sagesse de Dieu. Le Seigneur a dit: “Heureux ceux qui n’ont pas vu, et qui ont cru” (Jean 20.29).

L’homme a été créé avec le pouvoir de se décider pour le bien ou pour le mal. Chacun peut choisir la vie ou la mort. Nous ne sommes pas des automates dirigés à distance, nous avons été pourvus d’un libre arbitre; c’est cela qui précisément engage notre responsabilité. C’est pourquoi ceux qui n’auront pas cru devront en rendre compte: “Puis je vis un grand trône blanc, et Celui qui était assis dessus. La terre et le ciel s’enfuirent devant Sa face, et il ne fut plus trouvé de place pour eux. Et je vis les morts, les grands et les petits, qui se tenaient devant le trône. Des livres furent ouverts. Et un autre livre fut ouvert, celui qui est le Livre de Vie. Et les morts furent jugés selon leurs œuvres, d’après ce qui était écrit dans ces livres” (Apocalypse 20.11-12).

Pour échapper à ce jugement terrible il n’existe qu’une seule possibilité: elle consiste à reconnaître que Jésus-Christ a porté notre châtiment (Esaïe chap. 53), afin que, par la foi en Lui, nous puissions sortir libre. Il est aussi écrit: “En vérité, en vérité, Je vous le dis, celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé a la Vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie” (Jean 5.24). Il est venu chercher et sauver ceux qui étaient perdus. En Jésus-Christ, Dieu Lui-même est devenu notre Sauveur. En Lui, Il nous a réconciliés avec Lui-même: “Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même” (2 Corinthiens 5.19). C’est pourquoi une foi toute personnelle au Seigneur Jésus- Christ est nécessaire pour le salut. Seul celui qui reconnaît son Sauveur et qui L’accepte peut être sauvé: “Et c’est ici le témoignage: que Dieu nous a donné la Vie éternelle, et cette Vie est dans Son Fils: Celui qui a le Fils a la Vie, celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la Vie” (1 Jean 5.11-12). Lorsque quelqu’un Le reçoit comme Rédempteur, il expérimente la rédemption. Tout ce qui est nécessaire à notre salut, Dieu nous l’a donné en Jésus-Christ.

Dès l’époque d’Adam, la volonté de Dieu a été que les hommes soient en communion constante avec leur Créateur. Il n’est pas écrit combien de temps a duré, entre Dieu et les premiers hommes, cette communion que rien ne troublait. Après la chute, Adam et Eve furent chassés du jardin d’Eden et l’accès à l’Arbre de Vie fut interdit: “... et l’Eternel Dieu le mit hors du jardin d’Eden... Il chassa l’homme, et plaça à l’orient du jardin d’Eden les chérubins et la lame de l’épée qui tournait ça et là, pour garder le chemin de l’Arbre de Vie” (Genèse 3.20-24). Désormais, l’homme devait manger son pain à la sueur de son front et vivre loin de Dieu. Lorsque le brigand sur la croix s’écria: “Souviens-toi de moi, quand Tu viendras dans Ton Règne!”, le Seigneur lui répondit: “Je te le dis en vérité, aujourd’hui tu seras avec Moi dans le paradis” (Luc 23.42-43).

Personne n’est responsable d’être né pécheur dans ce monde, cependant chacun est lui-même coupable s’il meurt sans avoir reçu le pardon. Le Seigneur ne veut pas la mort du pécheur, mais plutôt qu’il se détourne de ses voies et qu’il vive (Ezéchiel 18.23).

Nous voulons maintenant nous occuper de l’homme et de sa relation avec Dieu. Le problème central de notre vie est la conséquence de la chute, de notre séparation d’avec Dieu. Cependant nous ne nous arrêterons pas sur ce point, car la réconciliation a déjà été accomplie. Peut-être quelqu’un se dira-t-il: «A quoi cela peut-il me servir? Je ne me suis pas créé moi-même, et je ne peux m’aider moi-même; je n’ai vu ni Dieu ni diable! Je ne sais même pas si l’un ou l’autre existe!». Beaucoup déclarent orgueilleusement: «Je ne crois que ce que je vois.

Après moi le déluge! La foi, c’est pour les naïfs! La religion est d’ailleurs l’opium du peuple...». Il ne s’agit pas ici d’opinions ou de religions, car il y en a beaucoup. En aucune d’elles Dieu ne s’est révélé, car toutes ont été inventées par les hommes et obtenues par le moyen de la philosophie. Il s’agit de bien plus que cela: il s’agit d’une expérience personnelle avec Dieu.

A ceux qui prennent pour devise: «Je ne crois que ce que je vois», nous devons poser cette question enfantine: Un homme a-t-il déjà vu le vent? On voit comme il agite les arbres, comme son action peut être puissante et même parfois dévastatrice. Ainsi en est-il avec l’Esprit de Dieu. Il est la puissance de Dieu qui, ici-bas sur la terre, agit d’une manière toute- puissante dans le cœur des hommes qui croient à Jésus-Christ. Cependant ce ne sont que ceux qui expérimentent la grâce de Dieu qui entrent en possession de cela, spirituellement parlant; seuls ceux-là peuvent réaliser Son action surnaturelle.

A celui qui désire continuer à discuter et veut paraître particulièrement intelligent, nous pourrions demander si quelqu’un a déjà vu sa propre intelligence. S’il ne l’a pas vue, pourrait- il cependant prétendre que l’intelligence n’existe pas? Celui qui ne veut croire que ce qui peut se voir finit dans une impasse. Les plus sages à leurs propres yeux doivent s’incliner devant la sagesse de Dieu. Le Seigneur a dit: “Heureux ceux qui n’ont pas vu, et qui ont cru” (Jean 20.29).

L’homme a été créé avec le pouvoir de se décider pour le bien ou pour le mal. Chacun peut choisir la vie ou la mort. Nous ne sommes pas des automates dirigés à distance, nous avons été pourvus d’un libre arbitre; c’est cela qui précisément engage notre responsabilité. C’est pourquoi ceux qui n’auront pas cru devront en rendre compte: “Puis je vis un grand trône blanc, et Celui qui était assis dessus. La terre et le ciel s’enfuirent devant Sa face, et il ne fut plus trouvé de place pour eux. Et je vis les morts, les grands et les petits, qui se tenaient devant le trône. Des livres furent ouverts. Et un autre livre fut ouvert, celui qui est le Livre de Vie. Et les morts furent jugés selon leurs œuvres, d’après ce qui était écrit dans ces livres” (Apocalypse 20.11-12).

Pour échapper à ce jugement terrible il n’existe qu’une seule possibilité: elle consiste à reconnaître que Jésus-Christ a porté notre châtiment (Esaïe chap. 53), afin que, par la foi en Lui, nous puissions sortir libre. Il est aussi écrit: “En vérité, en vérité, Je vous le dis, celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé a la Vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie” (Jean 5.24). Il est venu chercher et sauver ceux qui étaient perdus. En Jésus-Christ, Dieu Lui-même est devenu notre Sauveur. En Lui, Il nous a réconciliés avec Lui-même: “Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même” (2 Corinthiens 5.19). C’est pourquoi une foi toute personnelle au Seigneur Jésus- Christ est nécessaire pour le salut. Seul celui qui reconnaît son Sauveur et qui L’accepte peut être sauvé: “Et c’est ici le témoignage: que Dieu nous a donné la Vie éternelle, et cette Vie est dans Son Fils: Celui qui a le Fils a la Vie, celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la Vie” (1 Jean 5.11-12). Lorsque quelqu’un Le reçoit comme Rédempteur, il expérimente la rédemption. Tout ce qui est nécessaire à notre salut, Dieu nous l’a donné en Jésus-Christ.

Dès l’époque d’Adam, la volonté de Dieu a été que les hommes soient en communion constante avec leur Créateur. Il n’est pas écrit combien de temps a duré, entre Dieu et les premiers hommes, cette communion que rien ne troublait. Après la chute, Adam et Eve furent chassés du jardin d’Eden et l’accès à l’Arbre de Vie fut interdit: “... et l’Eternel Dieu le mit hors du jardin d’Eden... Il chassa l’homme, et plaça à l’orient du jardin d’Eden les chérubins et la lame de l’épée qui tournait ça et là, pour garder le chemin de l’Arbre de Vie” (Genèse 3.20-24). Désormais, l’homme devait manger son pain à la sueur de son front et vivre loin de Dieu. Lorsque le brigand sur la croix s’écria: “Souviens-toi de moi, quand Tu viendras dans Ton Règne!”, le Seigneur lui répondit: “Je te le dis en vérité, aujourd’hui tu seras avec Moi dans le paradis” (Luc 23.42-43).

Personne n’est responsable d’être né pécheur dans ce monde, cependant chacun est lui-même coupable s’il meurt sans avoir reçu le pardon. Le Seigneur ne veut pas la mort du pécheur, mais plutôt qu’il se détourne de ses voies et qu’il vive (Ezéchiel 18.23).