Nous nous attendions à ce que beaucoup de grandes choses arrivent, mais nous n’étions pas préparés aux multiples crises qui secouent actuellement le monde entier. Ce qui avait commencé avec les banques a continué et atteint toute l’économie, entraînant le monde entier dans différentes crises d’une ampleur encore jamais atteinte. Chaque jour, nous entendons des nouvelles décourageantes et il semblerait que nous n’avons pas encore atteint le fond. La situation me rappelle la déclaration de l’Archevêque cardinal allemand Faulhaber de Munich-Freising (1869-1952): «Quand le monde saigne de mille plaies et que les langages des peuples sont confus comme ils le furent à Babylone, alors le temps de l’église Catholique est arrivé » (K.-H. Deschner, Kriminal- geschichte des Christentums).

Aux États-Unis, tous les espoirs sont placés sur le nouveau président Barack Hussein Obama qui a hérité du fardeau supplémentaire de la guerre d’Irak. Toutes les guerres ont des conséquences qu’on ne peut plus réparer. Lors d’une interview de la chaîne CNN, la question suivante fut posée: «Quelle fut la plus grosse erreur d’un gouvernement du monde au 20^ème siècle?». La réponse fut: «l’invasion des troupes allemandes dans l’Union Soviétique en juin 1941». La seconde question fut: «Quelle a été la plus grosse erreur d’un gouvernement dans ce siècle?» La réponse: «L’invasion des troupes américaines et britanniques en Irak en mars 2003».

Plus de quatre mille soldats sont déjà retournés aux États-Unis dans des cercueils. Des milliers ont été blessés et sont retournés au pays estropiés et traumatisés. Plus de trois millions et demi d’irakiens sont sans abri; nous ne saurons jamais le nombre de ceux qui ont été tués et le pays est en ruines.

Comme c’est souvent le cas dans toutes les guerres, celle de l’Irak est aussi un crime contre l’humanité. Il semblait au début que Saddam Hussein devait être renversé afin de sauver le monde d’une guerre nucléaire. Cependant, lorsque Mr. Hans Blix et El Barradei ne trouvèrent aucune évidence de nucléaire ou de l’existence d’armes de destruction massive en Irak, il devint manifeste que le vrai motif était le pétrole.

Si l’ex-président des États-Unis, Georges W. Bush, ne se convertit pas au Catholicisme comme le fit Tony Blair, il doit être conscient qu’il risque d’être poursuivi par la Cour Internationale de Justice, à la Haye, à cause de la guerre en Irak. Le nouveau président Barack Obama ne peut que faire mieux car il n’est pas possible de faire pire.

Nous nous attendions à ce que beaucoup de grandes choses arrivent, mais nous n’étions pas préparés aux multiples crises qui secouent actuellement le monde entier. Ce qui avait commencé avec les banques a continué et atteint toute l’économie, entraînant le monde entier dans différentes crises d’une ampleur encore jamais atteinte. Chaque jour, nous entendons des nouvelles décourageantes et il semblerait que nous n’avons pas encore atteint le fond. La situation me rappelle la déclaration de l’Archevêque cardinal allemand Faulhaber de Munich-Freising (1869-1952): «Quand le monde saigne de mille plaies et que les langages des peuples sont confus comme ils le furent à Babylone, alors le temps de l’église Catholique est arrivé » (K.-H. Deschner, Kriminal- geschichte des Christentums).

Aux États-Unis, tous les espoirs sont placés sur le nouveau président Barack Hussein Obama qui a hérité du fardeau supplémentaire de la guerre d’Irak. Toutes les guerres ont des conséquences qu’on ne peut plus réparer. Lors d’une interview de la chaîne CNN, la question suivante fut posée: «Quelle fut la plus grosse erreur d’un gouvernement du monde au 20ème siècle?». La réponse fut: «l’invasion des troupes allemandes dans l’Union Soviétique en juin 1941». La seconde question fut: «Quelle a été la plus grosse erreur d’un gouvernement dans ce siècle?» La réponse: «L’invasion des troupes américaines et britanniques en Irak en mars 2003».

Plus de quatre mille soldats sont déjà retournés aux États-Unis dans des cercueils. Des milliers ont été blessés et sont retournés au pays estropiés et traumatisés. Plus de trois millions et demi d’irakiens sont sans abri; nous ne saurons jamais le nombre de ceux qui ont été tués et le pays est en ruines.

Comme c’est souvent le cas dans toutes les guerres, celle de l’Irak est aussi un crime contre l’humanité. Il semblait au début que Saddam Hussein devait être renversé afin de sauver le monde d’une guerre nucléaire. Cependant, lorsque Mr. Hans Blix et El Barradei ne trouvèrent aucune évidence de nucléaire ou de l’existence d’armes de destruction massive en Irak, il devint manifeste que le vrai motif était le pétrole.

Si l’ex-président des États-Unis, Georges W. Bush, ne se convertit pas au Catholicisme comme le fit Tony Blair, il doit être conscient qu’il risque d’être poursuivi par la Cour Internationale de Justice, à la Haye, à cause de la guerre en Irak. Le nouveau président Barack Obama ne peut que faire mieux car il n’est pas possible de faire pire.