Lettre circulaire N° 33 – Janvier 1987
En 1955, une nouvelle période commença pour moi dans le domaine spirituel. Je pris part à Karlsruhe aux réunions bénies de frère Branham. Les événements auxquels j’assistai pendant une semaine n’étaient en rien inférieurs à ceux du temps des apôtres. Il n’est pas exagéré d’affirmer que le ministère plein d’autorité de cet humble serviteur de Dieu avait une grande analogie avec le ministère de Jésus-Christ.
Evidemment je fus très impressionné et saisi par tout ce que je vis, entendis et vécus, cependant je n’en restai pas là. Une voix intérieure me dit: «Cet homme a reçu un appel extraordinaire auquel est rattachée une mission spéciale». J’avais expérimenté avec des milliers d’autres personnes comment il disait par divine révélation aux malades venus pour la prière tout ce que Dieu lui montrait en visions. Je compris vite qu’il ne pouvait absolument rien savoir de leur vie car il ne parlait pas notre langue et n’avait non plus jamais auparavant visité la Suisse ni l’Allemagne. J’expérimentai là pour la première fois le fait que Dieu lit dans la vie et dans le coeur de chacun en particulier comme dans un livre ouvert.
Au vrai sens du terme nous avons expérimenté, par le moyen de ce ministère auquel nous avons assisté, la même chose qu’il nous est dit du ministère de Jésus-Christ. A l’époque Il dit à Nathanaël qu’Il ne connaissait pas: “Voici un vrai Israélite, en qui il n’y a pas de fraude… Avant que Philippe t’eut appelé, quand tu étais sous le figuier, je te voyais” (Jean 1:48,49). A Philippe le Seigneur avait dit: “Suis-moi!”. Et Philippe alla là-bas et dit à Nathanaël: “Nous avons trouvé celui duquel Moïse a écrit dans la loi…”. Lorsque Philippe eut terminé son récit, Nathanaël lui demanda: “Peut-il venir quelque chose de bon de Nazareth? Philippe lui dit: Viens et vois!”. Quelle merveilleuse invitation de la part d’un homme qui s’était mis à suivre Jésus! Il en est de même pour chacun de ceux qui ont fait une expérience avec le Seigneur et qui en rendent témoignage à d’autres afin que ceux-ci puissent aussi venir à Christ.
Nathanaël fut tellement impressionné qu’il s’écria: “Rabbi, tu es le Fils de Dieu; tu es le roi d’Israël!”. C’était le ministère prophétique de Jésus-Christ qui attirait les uns et repoussait les autres. Les véritables croyants acceptèrent, les autres refusèrent. Lorsqu’André emmena son frère à une réunion, le Seigneur dit à Pierre: “Tu es Simon, le fils de Jonas: tu seras appelé Céphas (qui est interprété “Pierre”)”. (Jean 1:43). Pierre fut aussi très impressionné de ce que le Seigneur le connaissait et de ce qu’Il connaissait même le nom de son père. C’était le signe distinctif du Messie. Lorsque le Seigneur parla à la femme de Samarie, Il lui dit: “… tu as eu cinq maris, et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari… La femme lui dit: Seigneur, je vois que tu es un prophète… je sais que le Messie qui est appelé le Christ, vient; quand celui-là sera venu, il nous fera connaître toutes choses. Jésus lui dit: Je le suis, moi qui te parle” (Jean 4:16-26).
Celui qui lit les quatre Evangiles rencontre continuellement le ministère prophétique de Jésus-Christ. C’est le signe qu’Il était bien le Messie. Et c’est justement à cela que les pieux conducteurs religieux s’achoppèrent et ils dirent: “Celui-ci ne chasse les démons que par Béelzébul, le chef des démons”. C’était grave de dire cela; mais il est encore plus grave que quelqu’un attribue à Satan l’oeuvre de l’Esprit de Dieu qui a été manifestée par le même ministère et de la même manière. En ce temps-là le Seigneur dit: “Tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes, même celui contre le Fils de l’homme, mais le blasphème contre l’Esprit ne sera pas pardonné” (Mat. 12:31,32).
Dans Jean 14:12 le Seigneur fit la promesse que ceux qui croiraient en Lui accompliraient les mêmes oeuvres qu’Il a faites. Celui qui qualifie l’oeuvre de l’Esprit de Dieu comme venant de Satan prononce à l’instant même Sa propre condamnation éternelle.
Des centaines de milliers de personnes ont expérimenté le don absolument infaillible de discernement et de révélation. Ce sont des choses que l’on pouvait entendre et voir, et qui étaient alors “AINSI DIT LE SEIGNEUR”. A l’origine les prophètes étaient appelés des “voyants” (1 Sam. 9:9) parce qu’ils recevaient premièrement, et à chaque fois par une vision, ce que Dieu voulait leur montrer. En outre l’inspiration divine venait pour que le sens de ce qui avait été montré soit reconnu dans sa vraie signification et que l’on sache que c’était le “AINSI DIT LE SEIGNEUR”. C’est ainsi que la Parole fut donnée aux vrais prophètes; c’est ainsi également que Jésus accomplit Son ministère comme “Fils de l’homme”. Il dit: “En vérité, en vérité, je vous dis: Le Fils ne peut rien faire de lui-même, à moins qu’il ne voie faire une chose au Père…” (Jean 5:19).
C’est exactement cela que vécurent d’innombrables personnes durant de nombreuses années au travers du ministère de frère Branham. Après la prédication et l’appel à l’autel, il priait pour les malades. Que ce soit aux USA, au Canada, en Europe, en Asie ou en Afrique, sans distinction de races, de peuples ou de langues, le Saint-Esprit agissait toujours et partout de la même façon infaillible. Ce serait ridicule, pour ne pas dire un blasphème que de vouloir attribuer à Dieu des manquements, une connaissance partielle ou de l’imperfection. Aujourd’hui encore, des centaines de prédications sont à la disposition de celui que cela intéresse comme témoignages impressionnants.
Lors de notre première rencontre personnelle j’ai eu le privilège de faire moi-même l’expérience de ce discernement lorsque frère Branham vint à moi, s’arrêta un bref instant en face de moi, me désigna du doigt et dit: «You are a minister of the Gospel (Tu es un prédicateur de l’Evangile)». Je me trouvais alors justement à la réception de l’hôtel “Les trois Tilleuls” à Karlsruhe-Durlach lorsqu’il entra. Nous ne nous étions jamais rencontrés jusqu’alors. Ce que j’ai vécu, vu et entendu, personne ne peut me le contester.
En juin 1958, pendant la conférence de “Voice of Healing” à Dallas, au Texas, à laquelle prirent part une centaine d’évangélistes, je reconnus soudain et comme par une révélation que le ministère prophétique de frère Branham, du point de vue biblique, se différenciait de tous les autres. Je sus à partir de ce moment qu’il avait non seulement une vocation particulière mais qu’il avait une mission en rapport direct avec l’histoire du salut. A partir de ce moment je reçus chacune de ses prédications données à Jeffersonville en Indiana, et pus ainsi participer à l’évolution et au développement spirituel en cours. Je tenais absolument à savoir ce qu’il croyait et enseignait, car je voyais que Dieu était avec lui.
En 1955, une nouvelle période commença pour moi dans le domaine spirituel. Je pris part à Karlsruhe aux réunions bénies de frère Branham. Les événements auxquels j’assistai pendant une semaine n’étaient en rien inférieurs à ceux du temps des apôtres. Il n’est pas exagéré d’affirmer que le ministère plein d’autorité de cet humble serviteur de Dieu avait une grande analogie avec le ministère de Jésus-Christ.
Evidemment je fus très impressionné et saisi par tout ce que je vis, entendis et vécus, cependant je n’en restai pas là. Une voix intérieure me dit: «Cet homme a reçu un appel extraordinaire auquel est rattachée une mission spéciale». J’avais expérimenté avec des milliers d’autres personnes comment il disait par divine révélation aux malades venus pour la prière tout ce que Dieu lui montrait en visions. Je compris vite qu’il ne pouvait absolument rien savoir de leur vie car il ne parlait pas notre langue et n’avait non plus jamais auparavant visité la Suisse ni l’Allemagne. J’expérimentai là pour la première fois le fait que Dieu lit dans la vie et dans le coeur de chacun en particulier comme dans un livre ouvert.
Au vrai sens du terme nous avons expérimenté, par le moyen de ce ministère auquel nous avons assisté, la même chose qu’il nous est dit du ministère de Jésus-Christ. A l’époque Il dit à Nathanaël qu’Il ne connaissait pas: “Voici un vrai Israélite, en qui il n’y a pas de fraude… Avant que Philippe t’eut appelé, quand tu étais sous le figuier, je te voyais” (Jean 1:48,49). A Philippe le Seigneur avait dit: “Suis-moi!”. Et Philippe alla là-bas et dit à Nathanaël: “Nous avons trouvé celui duquel Moïse a écrit dans la loi…”. Lorsque Philippe eut terminé son récit, Nathanaël lui demanda: “Peut-il venir quelque chose de bon de Nazareth? Philippe lui dit: Viens et vois!”. Quelle merveilleuse invitation de la part d’un homme qui s’était mis à suivre Jésus! Il en est de même pour chacun de ceux qui ont fait une expérience avec le Seigneur et qui en rendent témoignage à d’autres afin que ceux-ci puissent aussi venir à Christ.
Nathanaël fut tellement impressionné qu’il s’écria: “Rabbi, tu es le Fils de Dieu; tu es le roi d’Israël!”. C’était le ministère prophétique de Jésus-Christ qui attirait les uns et repoussait les autres. Les véritables croyants acceptèrent, les autres refusèrent. Lorsqu’André emmena son frère à une réunion, le Seigneur dit à Pierre: “Tu es Simon, le fils de Jonas: tu seras appelé Céphas (qui est interprété “Pierre”)”. (Jean 1:43). Pierre fut aussi très impressionné de ce que le Seigneur le connaissait et de ce qu’Il connaissait même le nom de son père. C’était le signe distinctif du Messie. Lorsque le Seigneur parla à la femme de Samarie, Il lui dit: “… tu as eu cinq maris, et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari… La femme lui dit: Seigneur, je vois que tu es un prophète… je sais que le Messie qui est appelé le Christ, vient; quand celui-là sera venu, il nous fera connaître toutes choses. Jésus lui dit: Je le suis, moi qui te parle” (Jean 4:16-26).
Celui qui lit les quatre Evangiles rencontre continuellement le ministère prophétique de Jésus-Christ. C’est le signe qu’Il était bien le Messie. Et c’est justement à cela que les pieux conducteurs religieux s’achoppèrent et ils dirent: “Celui-ci ne chasse les démons que par Béelzébul, le chef des démons”. C’était grave de dire cela; mais il est encore plus grave que quelqu’un attribue à Satan l’oeuvre de l’Esprit de Dieu qui a été manifestée par le même ministère et de la même manière. En ce temps-là le Seigneur dit: “Tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes, même celui contre le Fils de l’homme, mais le blasphème contre l’Esprit ne sera pas pardonné” (Mat. 12:31,32).
Dans Jean 14:12 le Seigneur fit la promesse que ceux qui croiraient en Lui accompliraient les mêmes oeuvres qu’Il a faites. Celui qui qualifie l’oeuvre de l’Esprit de Dieu comme venant de Satan prononce à l’instant même Sa propre condamnation éternelle.
Des centaines de milliers de personnes ont expérimenté le don absolument infaillible de discernement et de révélation. Ce sont des choses que l’on pouvait entendre et voir, et qui étaient alors “AINSI DIT LE SEIGNEUR”. A l’origine les prophètes étaient appelés des “voyants” (1 Sam. 9:9) parce qu’ils recevaient premièrement, et à chaque fois par une vision, ce que Dieu voulait leur montrer. En outre l’inspiration divine venait pour que le sens de ce qui avait été montré soit reconnu dans sa vraie signification et que l’on sache que c’était le “AINSI DIT LE SEIGNEUR”. C’est ainsi que la Parole fut donnée aux vrais prophètes; c’est ainsi également que Jésus accomplit Son ministère comme “Fils de l’homme”. Il dit: “En vérité, en vérité, je vous dis: Le Fils ne peut rien faire de lui-même, à moins qu’il ne voie faire une chose au Père…” (Jean 5:19).
C’est exactement cela que vécurent d’innombrables personnes durant de nombreuses années au travers du ministère de frère Branham. Après la prédication et l’appel à l’autel, il priait pour les malades. Que ce soit aux USA, au Canada, en Europe, en Asie ou en Afrique, sans distinction de races, de peuples ou de langues, le Saint-Esprit agissait toujours et partout de la même façon infaillible. Ce serait ridicule, pour ne pas dire un blasphème que de vouloir attribuer à Dieu des manquements, une connaissance partielle ou de l’imperfection. Aujourd’hui encore, des centaines de prédications sont à la disposition de celui que cela intéresse comme témoignages impressionnants.
Lors de notre première rencontre personnelle j’ai eu le privilège de faire moi-même l’expérience de ce discernement lorsque frère Branham vint à moi, s’arrêta un bref instant en face de moi, me désigna du doigt et dit: «You are a minister of the Gospel (Tu es un prédicateur de l’Evangile)». Je me trouvais alors justement à la réception de l’hôtel “Les trois Tilleuls” à Karlsruhe-Durlach lorsqu’il entra. Nous ne nous étions jamais rencontrés jusqu’alors. Ce que j’ai vécu, vu et entendu, personne ne peut me le contester.
En juin 1958, pendant la conférence de “Voice of Healing” à Dallas, au Texas, à laquelle prirent part une centaine d’évangélistes, je reconnus soudain et comme par une révélation que le ministère prophétique de frère Branham, du point de vue biblique, se différenciait de tous les autres. Je sus à partir de ce moment qu’il avait non seulement une vocation particulière mais qu’il avait une mission en rapport direct avec l’histoire du salut. A partir de ce moment je reçus chacune de ses prédications données à Jeffersonville en Indiana, et pus ainsi participer à l’évolution et au développement spirituel en cours. Je tenais absolument à savoir ce qu’il croyait et enseignait, car je voyais que Dieu était avec lui.