Lettre circulaire N° 48 – Décembre 1997
Notre Seigneur se rendit avec Pierre, Jacques et Jean sur la montagne de la transfiguration. C’est là qu’eut lieu une chose surnaturelle, mais perceptible aux disciples. “Et il fut transfiguré devant eux; et son visage resplendit comme le soleil, et ses vêtements devinrent blancs comme la lumière… Et voici, Moïse et Elie leur apparurent, parlant avec lui…” (Mat. 17:2,3). Ce qui nous est relaté ici est extrêmement intéressant. Comme nous l’avons déjà indiqué, ceux qui seront enlevés se trouvent devant la même transmutation.
C’est là que Moïse et Elie leur apparurent, mais singulièrement les disciples ne s’enquirent ensuite auprès du Seigneur qu’au sujet d’Elie en Lui posant la question: “Pourquoi donc les scribes disent-ils qu’il faut qu’Elie vienne premièrement?” (v. 10).
En ce qui concerne Israël Zacharie (ch. 4) vit déjà les deux prophètes symbolisés par les oliviers auprès du chandelier. D’après les trois premiers chapitres d’Apocalypse le chandelier symbolise l’Eglise. Les deux oliviers et leur ministère nous sont expliqués plus précisément dans Apocalypse 11: Ce sont les deux témoins qui doivent s’élever pendant trois ans et demi en tant que prophètes à Jérusalem. Les signes distinctifs de leur ministère, qui doit se manifester seulement après l’enlèvement, nous rappellent réellement Moïse et Elie, lesquels se trouvaient sur la montagne de la transfiguration.
La réponse du Seigneur aux disciples fut: “En effet, Elie vient premièrement, et il rétablira toutes choses” (v. 11). Ceci nous intéresse d’autant plus que le Seigneur confirma cette promesse de l’Ecriture, après l’achèvement du ministère de Jean-Baptiste. On avait entre autre demandé à Jean: “Es-tu Elie?”. La réponse claire qu’il donna fut: “Je ne le suis pas” (Jean 1:21). Il savait quelle sorte de ministère il avait à accomplir. Les paroles de notre Seigneur sont une claire confirmation concernant la dernière promesse de l’Ancien Testament.
Matthieu 17:12, au contraire, se rapporte clairement à Jean-Baptiste et au ministère qu’il vient d’achever; cependant cela n’annule rien à ce qui était pour le futur, au contraire, l’un complète et rajoute à l’autre. La première partie s’accomplit dans le ministère de Jean- Baptiste, tel que l’ange l’avait annoncé à Zacharie, c’est-à-dire que par lui le coeur des pères serait tourné vers les fils. C’est ainsi qu’a commencé “le jour du salut” (Esa. 49:6-8; 2 Cor. 6:2; et autres). La deuxième partie de cette promesse demeura en ce temps là inaccomplie.
Nous avons dans la version Scofield de la Bible, dans Matthieu 17:2,10, une note explicative sur ce thème:
(17.2) La scène de la transfiguration comporte tous les éléments de la manifestation du royaume à venir (2 Pier. 1:15-21).
1° Le Seigneur Jésus se présente, non en humiliation, mais en gloire (v. 2).
2° Moïse apparaît, glorifié, représentant les rachetés qui, après être passés par la mort, ont accès au royaume (Mat. 13:43; comp. Luc 9:30,31).
3° Elie apparaît, glorifié, représentant les rachetés qui, par l’enlèvement, auront accès au royaume (1 Cor. 15:50-53; 1 Thess. 4:13-17).
4° Pierre, Jacques et Jean ne sont pas glorifiés et représentent Israël dans le royaume à venir (Ezé. 37:21-27);
5°La multitude au pied de la montagne (v. 14) représente ceux qui doivent être amenés dans le royaume après son instauration sur Israël (Esa. 11:10-12; etc.).
(17.10) Comp. Mal. 3:14-6; Mat. 11:14; Marc 9:11-13; Luc 1:17. Tous ces passages doivent être considérés ensemble:
1° Christ confirme la prophétie précise mais encore inaccomplie de Malachie 4:5,6: “Il est vrai qu’Elie doit venir, et rétablir toutes choses”. Ici, comme en Malachie, la prophétie réalisée par Jean-Baptiste, et celle qui doit l’être encore par Elie, sont distinctes.
2° Mais Jean-Baptiste est déjà venu, exerçant un ministère en conformité absolue avec l’esprit et la puissance du ministère futur d’Elie (Luc 1:17); si bien qu’au sens figuré, on pourrait dire: “Elie est déjà venu” (Mat. 17:12) comp. Mat. 10:40; Philém. 12:17 où apparaît la même pensée d’identification, maintenant toutefois la distinction entre les deux personnes (comp. Jean 1:21).
Dans tout l’Ancien Testament Dieu a parlé aux pères (Héb. 1:1 et autres). Jean-Baptiste se présenta et montra à ceux qui attendaient le Messie le chemin vers «l’adoption» de la «Nouvelle alliance» que Dieu avait établie en Son Fils. Il conduisit leurs pieds vers le chemin de la paix avec Dieu (Luc 1:79). La deuxième partie de ce verset trouve maintenant son accomplissement en ce que le coeur des enfants de Dieu est tourné vers le commencement, au temps des pères apostoliques. Nous disons cela en vertu de la Parole du Seigneur, car toutes les Ecritures doivent s’accomplir.
Ce qui lors de la première venue de Christ n’a pas eu lieu doit nécessairement arriver main- tenant. Tout ce qui est écrit dans l’Ancien et le Nouveau Testament doit être accompli. Dieu a dit clairement de quelle manière s’accomplirait l’achèvement. “Voici, je vous envoie Elie, le prophète, avant que vienne le grand et terrible jour de l’Eternel. Et il fera retourner le coeur des pères vers les fils, et le coeur des fils vers leur pères…” (Mal. 4:5,6). C’est le AINSI DIT LE SEIGNEUR dans Sa Parole. Les hommes ne peuvent dire quelque chose qu’en ce qui concerne le domaine humain, mais ils n’ont rien à dire en ce qui concerne le Royaume de Dieu. C’est par le moyen d’un homme envoyé de Dieu qu’est publié le Message de Dieu, pas par de grands évangélistes: ils ont un autre ministère. Plusieurs d’entre eux bâtissent leur propre royaume dans le Royaume de Dieu. Le Message de Dieu ne nous parvient pas davantage par des orateurs de n’importe quel mouvement religieux bien considérés, par le président d’un chapitre, et ainsi de suite, mais exactement comme c’est écrit.
Qui osera contredire Dieu? L’intéressé devrait consentir à ce qu’on lui pose la question, si en lui habite les sentiments qui étaient en Jésus-Christ. L’Ecriture ne peut tout de même pas être annulée. Il s’agit aujourd’hui que tout soit fait conformément à la Parole du Seigneur, comme le fit autrefois Elie. De même qu’Elie prit les douze pierres représentant les douze tribus d’Israël pour relever l’autel de Dieu, qu’il rassembla le peuple et s’écria: “Combien de temps hésiterez-vous entre les deux côtés?” (1 Rois 18:21), ainsi doit-il en être maintenant. Après cela Dieu répondit, et c’est au Carmel que tomba la décision. L’homme envoyé par Dieu, et qui se présenta dans l’esprit et la puissance d’Elie, devait remettre sur le chandelier la pure doctrine des douze apôtres dans laquelle l’Eglise primitive demeurait, et qui nous a été transmise de la pratique du christianisme primitif (Act. 2:42). Ainsi sera rétabli à nouveau dans l’Eglise l’autel de Dieu sur lequel les croyants, conformément à Romains 12, doivent se placer comme un sacrifice de bonne odeur et dans l’obéissance de la foi, et avec cela seulement commence leur culte raisonnable, comme le dit Paul. Seuls ceux qui, en comparant avec la Parole de Dieu, remarquent que dans le christianisme nominal tout a été fondamentalement changé au point qu’aucune doctrine, ni pratique, ne sont demeurées dans leur signification primitive, et qu’un tout autre évangile, un autre Jésus est annoncé et un autre esprit est à l’oeuvre (2 Cor. 11:3), seuls ceux-ci reconnaîtront la nécessité qu’une restauration ait lieu. Il s’agit ici du déroulement de l’histoire du salut en notre temps. A la fin Dieu prendra l’ultime décision, et c’est Lui qui prononcera la dernière Parole. Pour beaucoup, Dieu vient tard, mais en fait Il ne vient jamais trop tard.
A ce sujet nous devons être clairs, et poser la question s’il y a eu un homme qui ait publié les véritables doctrines bibliques, sans compromis, et ait été comme Elle légitimé par Dieu Lui-même de façon surnaturelle, à savoir que la Parole qu’il a publiée comme lors du ministère du Seigneur et des apôtres ait été confirmée? Une personne peut-elle, lorsque seul les critères bibliques sont présentés, mentionner quelqu’un comme prophète ordonné de Dieu, lequel, de notre temps soit entré en scène et ait été en accord dans ses doctrines avec tous les prophètes et apôtres? Il devait alors nécessairement être hors de toutes confessions organisées, afin de pouvoir aussi faire retentir un appel à sortir de toutes ces choses et entreprendre une correction – un homme envoyé par Dieu avec le Message de Dieu au peuple de Dieu!
En vertu de la Parole du Seigneur nous demandons encore: Y a-t-il un seul des évangélistes mondialement connus qui soit réellement en accord avec tout ce que les prophètes et les apôtres ont enseigné? Y en a-t-il un qui ait placé sur le fondement biblique les doctrines de la divinité, du baptême, du Repas du Seigneur, etc? La réalité est qu’ils ont tous repris les doctrines héritées des traditions d’églises, et même qu’ils ont déclaré fausse la prédication véritable de la Parole, parce que celle-ci ne concordait pas avec leur vision doctrinale, au lieu de se demander si leur propre enseignement était en accord avec Dieu et la Parole de Dieu.
Depuis la fin des années quarante, des centaines d’évangélistes ont reçu leur inspiration au travers du ministère de celui que Dieu avait envoyé. Ils étaient enthousiasmés et très étonnés de ce que Dieu faisait, mais ils ne laissaient aucune place à la pensée de savoir quel était le but important relié à cela. Toutefois tous ceux qui sont véritablement nés de Dieu écoutent la Parole de Dieu et reconnaissent le jour et le Message. Ils prennent le messager envoyé de Dieu, ainsi que le Message, et en le faisant ils témoignent de leur côté être d’accord avec les décisions et les actions de Dieu. Dieu a le droit d’accomplir les promesses de Sa Parole. Et c’est un droit divin qui appartient à Son peuple de participer à cela. Ce qui suit n’est pas une légende, mais bien la pure vérité.
Notre Seigneur se rendit avec Pierre, Jacques et Jean sur la montagne de la transfiguration. C’est là qu’eut lieu une chose surnaturelle, mais perceptible aux disciples. “Et il fut transfiguré devant eux; et son visage resplendit comme le soleil, et ses vêtements devinrent blancs comme la lumière… Et voici, Moïse et Elie leur apparurent, parlant avec lui…” (Mat. 17:2,3). Ce qui nous est relaté ici est extrêmement intéressant. Comme nous l’avons déjà indiqué, ceux qui seront enlevés se trouvent devant la même transmutation.
C’est là que Moïse et Elie leur apparurent, mais singulièrement les disciples ne s’enquirent ensuite auprès du Seigneur qu’au sujet d’Elie en Lui posant la question: “Pourquoi donc les scribes disent-ils qu’il faut qu’Elie vienne premièrement?” (v. 10).
En ce qui concerne Israël Zacharie (ch. 4) vit déjà les deux prophètes symbolisés par les oliviers auprès du chandelier. D’après les trois premiers chapitres d’Apocalypse le chandelier symbolise l’Eglise. Les deux oliviers et leur ministère nous sont expliqués plus précisément dans Apocalypse 11: Ce sont les deux témoins qui doivent s’élever pendant trois ans et demi en tant que prophètes à Jérusalem. Les signes distinctifs de leur ministère, qui doit se manifester seulement après l’enlèvement, nous rappellent réellement Moïse et Elie, lesquels se trouvaient sur la montagne de la transfiguration.
La réponse du Seigneur aux disciples fut: “En effet, Elie vient premièrement, et il rétablira toutes choses” (v. 11). Ceci nous intéresse d’autant plus que le Seigneur confirma cette promesse de l’Ecriture, après l’achèvement du ministère de Jean-Baptiste. On avait entre autre demandé à Jean: “Es-tu Elie?”. La réponse claire qu’il donna fut: “Je ne le suis pas” (Jean 1:21). Il savait quelle sorte de ministère il avait à accomplir. Les paroles de notre Seigneur sont une claire confirmation concernant la dernière promesse de l’Ancien Testament.
Matthieu 17:12, au contraire, se rapporte clairement à Jean-Baptiste et au ministère qu’il vient d’achever; cependant cela n’annule rien à ce qui était pour le futur, au contraire, l’un complète et rajoute à l’autre. La première partie s’accomplit dans le ministère de Jean- Baptiste, tel que l’ange l’avait annoncé à Zacharie, c’est-à-dire que par lui le coeur des pères serait tourné vers les fils. C’est ainsi qu’a commencé “le jour du salut” (Esa. 49:6-8; 2 Cor. 6:2; et autres). La deuxième partie de cette promesse demeura en ce temps là inaccomplie.
Nous avons dans la version Scofield de la Bible, dans Matthieu 17:2,10, une note explicative sur ce thème:
(17.2) La scène de la transfiguration comporte tous les éléments de la manifestation du royaume à venir (2 Pier. 1:15-21).
1° Le Seigneur Jésus se présente, non en humiliation, mais en gloire (v. 2).
2° Moïse apparaît, glorifié, représentant les rachetés qui, après être passés par la mort, ont accès au royaume (Mat. 13:43; comp. Luc 9:30,31).
3° Elie apparaît, glorifié, représentant les rachetés qui, par l’enlèvement, auront accès au royaume (1 Cor. 15:50-53; 1 Thess. 4:13-17).
4° Pierre, Jacques et Jean ne sont pas glorifiés et représentent Israël dans le royaume à venir (Ezé. 37:21-27);
5°La multitude au pied de la montagne (v. 14) représente ceux qui doivent être amenés dans le royaume après son instauration sur Israël (Esa. 11:10-12; etc.).
(17.10) Comp. Mal. 3:14-6; Mat. 11:14; Marc 9:11-13; Luc 1:17. Tous ces passages doivent être considérés ensemble:
1° Christ confirme la prophétie précise mais encore inaccomplie de Malachie 4:5,6: “Il est vrai qu’Elie doit venir, et rétablir toutes choses”. Ici, comme en Malachie, la prophétie réalisée par Jean-Baptiste, et celle qui doit l’être encore par Elie, sont distinctes.
2° Mais Jean-Baptiste est déjà venu, exerçant un ministère en conformité absolue avec l’esprit et la puissance du ministère futur d’Elie (Luc 1:17); si bien qu’au sens figuré, on pourrait dire: “Elie est déjà venu” (Mat. 17:12) comp. Mat. 10:40; Philém. 12:17 où apparaît la même pensée d’identification, maintenant toutefois la distinction entre les deux personnes (comp. Jean 1:21).
Dans tout l’Ancien Testament Dieu a parlé aux pères (Héb. 1:1 et autres). Jean-Baptiste se présenta et montra à ceux qui attendaient le Messie le chemin vers «l’adoption» de la «Nouvelle alliance» que Dieu avait établie en Son Fils. Il conduisit leurs pieds vers le chemin de la paix avec Dieu (Luc 1:79). La deuxième partie de ce verset trouve maintenant son accomplissement en ce que le coeur des enfants de Dieu est tourné vers le commencement, au temps des pères apostoliques. Nous disons cela en vertu de la Parole du Seigneur, car toutes les Ecritures doivent s’accomplir.
Ce qui lors de la première venue de Christ n’a pas eu lieu doit nécessairement arriver main- tenant. Tout ce qui est écrit dans l’Ancien et le Nouveau Testament doit être accompli. Dieu a dit clairement de quelle manière s’accomplirait l’achèvement. “Voici, je vous envoie Elie, le prophète, avant que vienne le grand et terrible jour de l’Eternel. Et il fera retourner le coeur des pères vers les fils, et le coeur des fils vers leur pères…” (Mal. 4:5,6). C’est le AINSI DIT LE SEIGNEUR dans Sa Parole. Les hommes ne peuvent dire quelque chose qu’en ce qui concerne le domaine humain, mais ils n’ont rien à dire en ce qui concerne le Royaume de Dieu. C’est par le moyen d’un homme envoyé de Dieu qu’est publié le Message de Dieu, pas par de grands évangélistes: ils ont un autre ministère. Plusieurs d’entre eux bâtissent leur propre royaume dans le Royaume de Dieu. Le Message de Dieu ne nous parvient pas davantage par des orateurs de n’importe quel mouvement religieux bien considérés, par le président d’un chapitre, et ainsi de suite, mais exactement comme c’est écrit.
Qui osera contredire Dieu? L’intéressé devrait consentir à ce qu’on lui pose la question, si en lui habite les sentiments qui étaient en Jésus-Christ. L’Ecriture ne peut tout de même pas être annulée. Il s’agit aujourd’hui que tout soit fait conformément à la Parole du Seigneur, comme le fit autrefois Elie. De même qu’Elie prit les douze pierres représentant les douze tribus d’Israël pour relever l’autel de Dieu, qu’il rassembla le peuple et s’écria: “Combien de temps hésiterez-vous entre les deux côtés?” (1 Rois 18:21), ainsi doit-il en être maintenant. Après cela Dieu répondit, et c’est au Carmel que tomba la décision. L’homme envoyé par Dieu, et qui se présenta dans l’esprit et la puissance d’Elie, devait remettre sur le chandelier la pure doctrine des douze apôtres dans laquelle l’Eglise primitive demeurait, et qui nous a été transmise de la pratique du christianisme primitif (Act. 2:42). Ainsi sera rétabli à nouveau dans l’Eglise l’autel de Dieu sur lequel les croyants, conformément à Romains 12, doivent se placer comme un sacrifice de bonne odeur et dans l’obéissance de la foi, et avec cela seulement commence leur culte raisonnable, comme le dit Paul. Seuls ceux qui, en comparant avec la Parole de Dieu, remarquent que dans le christianisme nominal tout a été fondamentalement changé au point qu’aucune doctrine, ni pratique, ne sont demeurées dans leur signification primitive, et qu’un tout autre évangile, un autre Jésus est annoncé et un autre esprit est à l’oeuvre (2 Cor. 11:3), seuls ceux-ci reconnaîtront la nécessité qu’une restauration ait lieu. Il s’agit ici du déroulement de l’histoire du salut en notre temps. A la fin Dieu prendra l’ultime décision, et c’est Lui qui prononcera la dernière Parole. Pour beaucoup, Dieu vient tard, mais en fait Il ne vient jamais trop tard.
A ce sujet nous devons être clairs, et poser la question s’il y a eu un homme qui ait publié les véritables doctrines bibliques, sans compromis, et ait été comme Elle légitimé par Dieu Lui-même de façon surnaturelle, à savoir que la Parole qu’il a publiée comme lors du ministère du Seigneur et des apôtres ait été confirmée? Une personne peut-elle, lorsque seul les critères bibliques sont présentés, mentionner quelqu’un comme prophète ordonné de Dieu, lequel, de notre temps soit entré en scène et ait été en accord dans ses doctrines avec tous les prophètes et apôtres? Il devait alors nécessairement être hors de toutes confessions organisées, afin de pouvoir aussi faire retentir un appel à sortir de toutes ces choses et entreprendre une correction – un homme envoyé par Dieu avec le Message de Dieu au peuple de Dieu!
En vertu de la Parole du Seigneur nous demandons encore: Y a-t-il un seul des évangélistes mondialement connus qui soit réellement en accord avec tout ce que les prophètes et les apôtres ont enseigné? Y en a-t-il un qui ait placé sur le fondement biblique les doctrines de la divinité, du baptême, du Repas du Seigneur, etc? La réalité est qu’ils ont tous repris les doctrines héritées des traditions d’églises, et même qu’ils ont déclaré fausse la prédication véritable de la Parole, parce que celle-ci ne concordait pas avec leur vision doctrinale, au lieu de se demander si leur propre enseignement était en accord avec Dieu et la Parole de Dieu.
Depuis la fin des années quarante, des centaines d’évangélistes ont reçu leur inspiration au travers du ministère de celui que Dieu avait envoyé. Ils étaient enthousiasmés et très étonnés de ce que Dieu faisait, mais ils ne laissaient aucune place à la pensée de savoir quel était le but important relié à cela. Toutefois tous ceux qui sont véritablement nés de Dieu écoutent la Parole de Dieu et reconnaissent le jour et le Message. Ils prennent le messager envoyé de Dieu, ainsi que le Message, et en le faisant ils témoignent de leur côté être d’accord avec les décisions et les actions de Dieu. Dieu a le droit d’accomplir les promesses de Sa Parole. Et c’est un droit divin qui appartient à Son peuple de participer à cela. Ce qui suit n’est pas une légende, mais bien la pure vérité.