Le Christianisme hier et aujourd’hui
Lorsque le Seigneur parle aujourd’hui par quelqu’un Il dit alors les mêmes choses qu’Il a dites il y a deux mille ans. Dans Luc 24.47 il est écrit, en se rapportant à Christ: “Et que la repentance et le pardon des péchés seraient prêchés en son nom à toutes les nations, à commencer par Jérusalem”. Le pardon des péchés n’était pas lié à une fonction, mais bien à Jésus-Christ le Crucifié. Ce n’est que pendant la prédication que l’Esprit de Dieu peut opérer dans les auditeurs le repentir nécessaire, leur donner la clarté pour la conversion, et de cette manière seulement le pardon leur sera accordé. C’est un événement personnel, et non pas l’action d’un homme qui exerce une fonction.
Dans Romains 10 Paul explique que la foi biblique vient de la prédication et que la prédication vient de la Parole de Dieu. C’est pourquoi il est important que ne soit pas prêché n’importe quoi, mais que Christ et Son Evangile, unis à la rédemption parfaitement achevée, forment le coeur de la prédication.
Cela devrait à proprement parler nous donner à réfléchir lorsque nous voyons que, d’une part, l’on remet les péchés des hommes toute leur vie et qu’ils sont pardonnés, et que d’autre part cependant on enseigne qu’il y a une punition à porter pour expier ses péchés. La Parole de Dieu affirme le contraire. “Car, par une seule offrande il a amené à la perfection pour toujours ceux qui sont sanctifiés” (Héb. 10.14). L’Evangile de Jésus-Christ est une bonne nouvelle, un message de salut. Le prophète Esaïe a prophétisé, disant: “Dites à ceux qui ont le coeur troublé: Prenez courage, ne craignez point; voici votre Dieu… Il viendra lui-même et vous sauvera” (Es. 35.4).L’apôtre Paul confirme ceci par ces paroles: “Car la grâce de Dieu, source de salut pour tous les hommes, a été manifestée” (Tite 2.11). Esaïe s’écrie: “Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris” (Es. 53.5).
Celui qui reçoit le Seigneur comme Sauveur ne peut plus être puni car c’est Lui-même qui a pris sur Lui notre châtiment. Celui qui croit cela reçoit le pardon des péchés et la paix avec Dieu. Paul écrit: “Etant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ, à qui nous devons d’avoir eu par la foi accès à cette grâce, dans laquelle nous demeurons fermes” (Rom. 5.1,2).
L’apôtre écrit plus loin au sujet de Christ: “En lui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce” (Eph. 1.5). Chacun peut lire avec nous Colossiens 1.14 où nous voyons que l’ensemble de l’oeuvre du salut est reliée au Sauveur Lui-même. Dans Romains 1.16 Paul dit: “Car je n’ai point honte de l’Evangile: c’est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit”. On ne peut jamais assez mettre l’accent sur le fait que cette foi est reliée uniquement à la Parole de Dieu. Chacun ne peut pas enseigner ce qui lui plaît et se référer encore à Christ. La foi doit être conforme à l’Ecriture.
Il n’y a pas là de vaines promesses pour un temps indéterminé, mais ce que le Seigneur dit Lui-même s’accomplit: “En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie” (Jean 5.24).
Comment se pourrait-il que le pardon, qui est un don de grâce de Dieu, puisse dépendre de l’action d’une Eglise? Cela dépend uniquement de la foi de l’individu, qui entend l’Evangile et le reçoit. Il est écrit: “Ainsi donc, comme par une seule offense la condamnation a atteint tous les hommes, de même par un seul acte de justice la justification qui donne la vie s’étend à tous les hommes” (Rom. 5.18).
Où donc les bonnes oeuvres qui poussent un homme à travailler à son salut pourraient-elles encore trouver place ici? Quiconque a du coeur et peut faire le bien le fera. Cependant personne ne peut gagner son salut par cela. Lorsque notre Seigneur s’est écrié à la croix: “Tout est accompli!” et qu’Il mourut, notre salut était accompli une fois pour toutes. Paul continue un peu plus loin dans Romains 5: “Car comme par la désobéissance d’un seul homme beaucoup ont été rendus pécheurs, de même par l’obéissance d’un seul beaucoup seront rendus justes” (v. 19).
Aussi certainement que par Adam nous avons été précipités dans la perdition, dans la mort, et que nous avons été séparés de Dieu, tout aussi certainement avons-nous été sauvés par Christ de la perdition, sortis de la mort et pris de l’autre côté dans la Vie éternelle, ayant été réconciliés avec Dieu. Dieu Lui-même a réparé les dommages. Celui qui croit cela sera sauvé. Pierre en rend laconiquement témoignage: “Il n’y a de salut en aucun autre; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés” (Act. 4.12). Il n’est pas nécessaire de rien ajouter de plus à ces faits simples et clairs.
Il serait indigne de Dieu d’avoir voulu faire dépendre notre salut éternel du bon vouloir d’autres hommes. La tâche bien définie d’un messager de Dieu autorisé consiste en ceci: qu’il montre aux auditeurs dans la prédication que selon les Ecritures, une grande réconciliation a été accomplie entre Dieu et les hommes à Golgotha.
En rapport avec cela et pendant la prédication, l’auditoire peut être apostrophé avec l’autorité divine par ces paroles: «Croyez que vos péchés ont été pardonnés! Croyez que vos dettes ont été remises! Croyez que votre châtiment a déjà été porté!». Celui à qui cette divine réalité est illuminée par l’Esprit de Dieu, en vertu de la Parole de Dieu, est gracié pour toujours et peut s’en aller libre. Bien entendu chacun doit l’accepter pour soi-même et ainsi il reçoit personnellement l’assurance de son salut.
Lorsque le Seigneur parle aujourd’hui par quelqu’un Il dit alors les mêmes choses qu’Il a dites il y a deux mille ans. Dans Luc 24.47 il est écrit, en se rapportant à Christ: “Et que la repentance et le pardon des péchés seraient prêchés en son nom à toutes les nations, à commencer par Jérusalem”.Le pardon des péchés n’était pas lié à une fonction, mais bien à Jésus-Christ le Crucifié.Ce n’est que pendant la prédication que l’Esprit de Dieu peut opérer dans les auditeurs le repentir nécessaire, leur donner la clarté pour la conversion, et de cette manière seulement le pardon leur sera accordé. C’est un événement personnel, et non pas l’action d’un homme qui exerce une fonction.
Dans Romains 10 Paul explique que la foi biblique vient de la prédication et que la prédication vient de la Parole de Dieu. C’est pourquoi il est important que ne soit pas prêché n’importe quoi, mais que Christ et Son Evangile, unis à la rédemption parfaitement achevée, forment le coeur de la prédication.
Cela devrait à proprement parler nous donner à réfléchir lorsque nous voyons que, d’une part, l’on remet les péchés des hommes toute leur vie et qu’ils sont pardonnés, et que d’autre part cependant on enseigne qu’il y a une punition à porter pour expier ses péchés. La Parole de Dieu affirme le contraire. “Car, par une seule offrande il a amené à la perfection pour toujours ceux qui sont sanctifiés”(Héb. 10.14). L’Evangile de Jésus-Christ est une bonne nouvelle, un message de salut. Le prophète Esaïe a prophétisé, disant: “Dites à ceux qui ont le coeur troublé: Prenez courage, ne craignez point; voici votre Dieu… Il viendra lui-même et vous sauvera”(Es. 35.4).L’apôtre Paul confirme ceci par ces paroles: “Car la grâce de Dieu, source de salut pour tous les hommes, a été manifestée”(Tite 2.11). Esaïe s’écrie: “Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris”(Es. 53.5).
Celui qui reçoit le Seigneur comme Sauveur ne peut plus être puni car c’est Lui-même qui a pris sur Lui notre châtiment. Celui qui croit cela reçoit le pardon des péchés et la paix avec Dieu. Paul écrit: “Etant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ, à qui nous devons d’avoir eu par la foi accès à cette grâce, dans laquelle nous demeurons fermes”(Rom. 5.1,2).
L’apôtre écrit plus loin au sujet de Christ: “En lui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce”(Eph. 1.5). Chacun peut lire avec nous Colossiens 1.14 où nous voyons que l’ensemble de l’oeuvre du salut est reliée au Sauveur Lui-même. Dans Romains 1.16 Paul dit: “Car je n’ai point honte de l’Evangile: c’est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit”.On ne peut jamais assez mettre l’accent sur le fait que cette foi est reliée uniquement à la Parole de Dieu. Chacun ne peut pas enseigner ce qui lui plaît et se référer encore à Christ. La foi doit être conforme à l’Ecriture.
Il n’y a pas là de vaines promesses pour un temps indéterminé, mais ce que le Seigneur dit Lui-même s’accomplit: “En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie”(Jean 5.24).
Comment se pourrait-il que le pardon, qui est un don de grâce de Dieu, puisse dépendre de l’action d’une Eglise? Cela dépend uniquement de la foi de l’individu, qui entend l’Evangile et le reçoit.Il est écrit: “Ainsi donc, comme par une seule offense la condamnation a atteint tous les hommes, de même par un seul acte de justice la justification qui donne la vie s’étend à tous les hommes”(Rom. 5.18).
Où donc les bonnes oeuvres qui poussent un homme à travailler à son salut pourraient-elles encore trouver place ici? Quiconque a du coeur et peut faire le bien le fera. Cependant personne ne peut gagner son salut par cela.Lorsque notre Seigneur s’est écrié à la croix: “Tout est accompli!”et qu’Il mourut, notre salut était accompli une fois pour toutes. Paul continue un peu plus loin dans Romains 5: “Car comme par la désobéissance d’un seul homme beaucoup ont été rendus pécheurs, de même par l’obéissance d’un seul beaucoup seront rendus justes”(v. 19).
Aussi certainement que par Adam nous avons été précipités dans la perdition, dans la mort, et que nous avons été séparés de Dieu, tout aussi certainement avons-nous été sauvés par Christ de la perdition, sortis de la mort et pris de l’autre côté dans la Vie éternelle, ayant été réconciliés avec Dieu. Dieu Lui-même a réparé les dommages. Celui qui croit cela sera sauvé. Pierre en rend laconiquement témoignage: “Il n’y a de salut en aucun autre; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés”(Act. 4.12). Il n’est pas nécessaire de rien ajouter de plus à ces faits simples et clairs.
Il serait indigne de Dieu d’avoir voulu faire dépendre notre salut éternel du bon vouloir d’autres hommes.La tâche bien définie d’un messager de Dieu autorisé consiste en ceci: qu’il montre aux auditeurs dans la prédication que selon les Ecritures, une grande réconciliation a été accomplie entre Dieu et les hommes à Golgotha.
En rapport avec cela et pendant la prédication, l’auditoire peut être apostrophé avec l’autorité divine par ces paroles: «Croyez que vos péchés ont été pardonnés! Croyez que vos dettes ont été remises! Croyez que votre châtiment a déjà été porté!». Celui à qui cette divine réalité est illuminée par l’Esprit de Dieu, en vertu de la Parole de Dieu, est gracié pour toujours et peut s’en aller libre. Bien entendu chacun doit l’accepter pour soi-même et ainsi il reçoit personnellement l’assurance de son salut.