Baptême - Repas du Seigneur - Lavage des pieds

LA SIGNIFICATION

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Au début du Nouveau Testament, Jean-Baptiste apparut et prêcha: “Repentez-vous, car le royaume des cieux s’est approché”(Mat. 3.2). A maintes reprises le Seigneur se référa à lui et à son ministère. Entre autres choses Il dit: “Et tout le peuple qui entendait cela, et les publicains, justifiaient Dieu, ayant été baptisés du baptême de Jean; mais les pharisiens et les docteurs de la loi rejetaient contre eux-mêmes le conseil de Dieu, n’ayant pas été baptisés par lui” (Luc 7.29,30). Jésus-Christ Lui-même se rendit au Jourdain et se fit baptiser par Jean en disant: “… car ainsi il nous est convenable d’accomplir toute justice”(Mat. 3.13-17).

Depuis la fondation de l’Eglise du Nouveau Testament, ce que Pierre dit lors de sa première prédication après l’effusion du Saint-Esprit est toujours valable: “Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, en rémission des péchés; et vous recevrez le don du Saint Esprit” (Act. 2.38).

Le baptême n’est pas laissé à l’appréciation de chacun, mais il est bien plutôt un acte d’obéissance d’une nécessité absolue pour chaque croyant. Celui qui dans la foi aaccepté pour lui-même l’oeuvre de Rédemption accomplie et afait l’expérience de la justification devient disciple de Jésus. En soi-même, le baptême n’est pas administré pour le pardon des péchés; il est administré seulement à ceux qui ont déjà reçu le pardon. Selon 1 Pierre 3.21 lebaptême est: “la demande à Dieu d’une bonne conscience, par la résurrection de Jésus Christ…”. Le baptisé se déclare pour Christ avec Lequel il a été crucifié et avec Lequel il est mort.

Tous deux, celui qui baptise et celui qui est baptisé, entrent dans l’eau à peu près jusqu’à la hanche. Avant le baptême proprement dit, celui qui baptise dit: «Frère (ou soeur), en raison de ta foi, je te baptise selon la Parole de Dieu au Nom du Seigneur Jésus Christ». Comme on le fait pour un ensevelissement, la personne à baptiser est plongée en arrière entièrement sous l’eau et ressortie aussitôt. La sortie du baptisé de la “tombe de l’eau” symbolise le fait que la personne concernée est ressuscitée avec Christ à une nouvelle vie. C’est pourquoi ni l’arrosage d’eau, ni l’aspersion, ne peuvent être considérés comme étant un baptême.

L’apôtre écrit: “… étant ensevelis avec lui dans le baptême, dans lequel aussi vous avez été ressuscités ensemble par la foi en l’opération de Dieu qui l’a ressuscité d’entre les morts” (Col. 2.12). L’Ecriture Sainte ne dit rien d’une nouvelle naissance au travers du baptême. Elle enseigne plutôt que les personnes qui, par la Parole et par l’Esprit, ont vécu l’expérience de la nouvelle naissance se font baptiser. Mais le baptême d’eau ne signifie pas que nous recevions ensuite automatiquement le Baptême du Saint Esprit. Le Baptême de l’Esprit estla réponse divine qui donne au croyant la confirmation d’avoir été agréé de Dieu. C’est une expérience effective.

Dans l’épître aux Romains il est dit: “Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême, pour la mort, afin que comme Christ a été ressuscité d’entre les morts par la gloire du Père, ainsi nous aussi nous marchions en nouveauté de vie. Car si nous avons été identifiés avec lui dans la ressemblance de sa mort, nous le serons donc aussi dans la ressemblance de sa résurrection”(Rom. 6.4,5).

L’apôtre écrit aux Galates: “… car vous êtes tous fils de Dieu par la foi dans le christ Jésus. Car vous tous qui avez été baptisés pour Christ, vous avez revêtu Christ…” (Gal. 3.26,27). Ce n’est donc pas un pécheur sec qui entre dans l’eau et un pécheur mouillé qui en ressort. Mais il s’agit bien plutôt de personnes auxquelles Dieu a pardonné, qui sont réconciliées avec Lui et qui ont acquis la certitude du salut.

L’apôtre Pierre démontre la nécessité du baptême en prenant pour exemple l’arche de Noé: “… quand la patience de Dieu attendait dans les jours de Noé, tandis que l’arche se construisait, dans laquelle un petit nombre, savoir huit personnes, furent sauvées à travers l’eau; or cet antitype vous sauve aussi maintenant, c’est-à-dire le baptême…”(1 Pier. 3.20,21). Le déluge entraîna avec lui tous ceux qui ne se trouvèrent pas dans l’arche. Seuls quelques-uns écoutèrent la prédication, crurent au message du prophète Noé et entrèrent dans l’arche.

Pourquoi Pierre utilise-t-il l’exemple de l’arche pour le baptême de ceux qui deviennent croyants? Celui qui croit vraiment fait ce que Dieu a ordonné et se fait baptiser en Christ. Il est notre Arche; en Lui nous sommes protégés du jugement de la colère à venir. Le salut vient par la foi en Jésus Christ. Obéissant à la Parole, celui qui est devenu croyant se fait baptiser, dans l’obéissance, pour le Nom du Seigneur Jésus Christ. Celui qui, au contraire, ne suit pas l’ordonnance divine manifeste ainsi son incrédulité, demeure dans la désobéissance et va à sa perdition, ce qui est comparable au déluge à l’époque de Noé.

Avant que le déluge ne fonde sur eux, les gens demandèrent certainement: «Pourquoi faut-il que nous entrions dans l’arche? Nous croyons en Dieu. Cela suffit! Tout marche comme d’habitude». Ils ne reconnurent pas que Noé parlait de la part du Seigneur. Le “compte à rebours” était en marche. Soudain le jour arriva et la catastrophe annoncée fondit sur eux. Malgré les nombreux avertissements au travers de la prédication, la fin arriva à l’improviste. La porte fut fermée et ceux qui étaient dehors perdirent la vie. Pour le moment il semble que tout demeure comme dès le commencement de la création (2 Pier. 3.4). Cependant au jour de Jésus Christ qui est imminent, la différence sera manifestée. L’heure de Dieu sonnera soudain, le temps de la grâce sera passé et la porte sera fermée.

Alors pour toujours il sera trop tard et l’on ne pourra plus faire ce que l’on a manqué de faire. C’est pourquoi le Seigneur nous exhorte en disant: “Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas vos coeurs…” (Héb. 3.7). La Parole de Marc 16.16 est toujours valable: “Celui qui aura cru et qui aura été baptisé sera sauvé”. Qui donc est prêt àprendre cela au sérieux et à le suivre? La foi véritable est vivante, et elle se manifeste par l’obéissance à la Parole de Dieu. La foi sans les oeuvres qui l’accompagnent comme elles sont exigées par la Parole est morte en elle-même et est sans valeur. En fait, c’est seulement une confession de foi religieuse qui n’a jamais sauvé personne. Les doctrines chrétiennes ne servent à rien ni à personne si elles ne sont pas scripturaires. Notre communion avec Dieu vient par la Parole qui, grâce à l’Esprit, est rendue vivante en nous. Seul ce qui vient de Lui conduit de nouveau à Lui.

    Au début du Nouveau Testament, Jean-Baptiste apparut et prêcha: “Repentez-vous, car le royaume des cieux s’est approché”(Mat. 3.2). A maintes reprises le Seigneur se référa à lui et à son ministère. Entre autres choses Il dit: “Et tout le peuple qui entendait cela, et les publicains, justifiaient Dieu, ayant été baptisés du baptême de Jean; mais les pharisiens et les docteurs de la loi rejetaient contre eux-mêmes le conseil de Dieu, n’ayant pas été baptisés par lui”(Luc 7.29,30). Jésus-Christ Lui-même se rendit au Jourdain et se fit baptiser par Jean en disant: “… car ainsi il nous est convenable d’accomplir toute justice”(Mat. 3.13-17).

    Depuis la fondation de l’Eglise du Nouveau Testament, ce que Pierre dit lors de sa première prédication après l’effusion du Saint-Esprit est toujours valable: “Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, en rémission des péchés; et vous recevrez le don du Saint Esprit”(Act. 2.38).

    Le baptême n’est pas laissé à l’appréciation de chacun, mais il est bien plutôt un acte d’obéissance d’une nécessité absolue pour chaque croyant.Celui qui dans la foi aaccepté pour lui-même l’oeuvre de Rédemption accomplie et afait l’expérience de la justification devient disciple de Jésus. En soi-même, le baptême n’est pas administré pour le pardon des péchés; il est administré seulement à ceux qui ont déjà reçu le pardon.Selon 1 Pierre 3.21 lebaptême est: “la demande à Dieu d’une bonne conscience, par la résurrection de Jésus Christ…”. Le baptisé se déclare pour Christ avec Lequel il a été crucifié et avec Lequel il est mort.

    Tous deux, celui qui baptise et celui qui est baptisé, entrent dans l’eau à peu près jusqu’à la hanche. Avant le baptême proprement dit, celui qui baptise dit: «Frère (ou soeur), en raison de ta foi, je te baptise selon la Parole de Dieu au Nom du Seigneur Jésus Christ». Comme on le fait pour un ensevelissement, la personne à baptiser est plongée en arrière entièrement sous l’eau et ressortie aussitôt. La sortie du baptisé de la “tombe de l’eau”symbolise le fait que la personne concernée est ressuscitée avec Christ à une nouvelle vie.C’est pourquoi ni l’arrosage d’eau, ni l’aspersion, ne peuvent être considérés comme étant un baptême.

    L’apôtre écrit: “… étant ensevelis avec lui dans le baptême, dans lequel aussi vous avez été ressuscités ensemble par la foi en l’opération de Dieu qui l’a ressuscité d’entre les morts”(Col. 2.12). L’Ecriture Sainte ne dit rien d’une nouvelle naissance au travers du baptême. Elle enseigne plutôt que les personnes qui, par la Parole et par l’Esprit, ont vécu l’expérience de la nouvelle naissance se font baptiser.Mais le baptême d’eau ne signifie pas que nous recevions ensuite automatiquement le Baptême du Saint Esprit. Le Baptême de l’Esprit est la réponse divine qui donne au croyant la confirmation d’avoir été agréé de Dieu.C’est une expérience effective.

    Dans l’épître aux Romains il est dit: “Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême, pour la mort, afin que comme Christ a été ressuscité d’entre les morts par la gloire du Père, ainsi nous aussi nous marchions en nouveauté de vie. Car si nous avons été identifiés avec lui dans la ressemblance de sa mort, nous le serons donc aussi dans la ressemblance de sa résurrection”(Rom. 6.4,5).

    L’apôtre écrit aux Galates: “… car vous êtes tous fils de Dieu par la foi dans le christ Jésus. Car vous tous qui avez été baptisés pour Christ, vous avez revêtu Christ…”(Gal. 3.26,27). Ce n’est donc pas un pécheur sec qui entre dans l’eau et un pécheur mouillé qui en ressort. Mais il s’agit bien plutôt depersonnes auxquelles Dieu a pardonné, qui sont réconciliées avec Lui et qui ont acquis la certitude du salut.

    L’apôtre Pierre démontre la nécessité du baptême en prenant pour exemple l’arche de Noé: “… quand la patience de Dieu attendait dans les jours de Noé, tandis que l’arche se construisait, dans laquelle un petit nombre, savoir huit personnes, furent sauvées à travers l’eau; or cet antitype vous sauve aussi maintenant, c’est-à-dire le baptême…” (1 Pier. 3.20,21). Le déluge entraîna avec lui tous ceux qui ne se trouvèrent pas dans l’arche.Seuls quelques-uns écoutèrent la prédication, crurent au message du prophète Noé et entrèrent dans l’arche.

    Pourquoi Pierre utilise-t-il l’exemple de l’arche pour le baptême de ceux qui deviennent croyants? Celui qui croit vraiment fait ce que Dieu a ordonné et se fait baptiser en Christ.Il est notre Arche; en Lui nous sommes protégés du jugement de la colère à venir. Le salut vient par la foi en Jésus Christ. Obéissant à la Parole, celui qui est devenu croyant se fait baptiser, dans l’obéissance, pour le Nom du Seigneur Jésus Christ.Celui qui, au contraire, ne suit pas l’ordonnance divine manifeste ainsi son incrédulité, demeure dans la désobéissance et va à sa perdition, ce qui est comparable au déluge à l’époque de Noé.

    Avant que le déluge ne fonde sur eux, les gens demandèrent certainement: «Pourquoi faut-il que nous entrions dans l’arche? Nous croyons en Dieu. Cela suffit! Tout marche comme d’habitude». Ils ne reconnurent pas que Noé parlait de la part du Seigneur.Le “compte à rebours” était en marche. Soudain le jour arriva et la catastrophe annoncée fondit sur eux. Malgré les nombreux avertissements au travers de la prédication, la fin arriva à l’improviste. La porte fut fermée et ceux qui étaient dehors perdirent la vie.Pour le moment il semble que tout demeure comme dès le commencement de la création (2 Pier. 3.4). Cependant au jour de Jésus Christ qui est imminent, la différence sera manifestée.L’heure de Dieu sonnera soudain, le temps de la grâce sera passé et la porte sera fermée.

    Alors pour toujours il sera trop tard et l’on ne pourra plus faire ce que l’on a manqué de faire. C’est pourquoi le Seigneur nous exhorte en disant: “Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas vos coeurs…”(Héb. 3.7). La Parole de Marc 16.16 est toujours valable: “Celui qui aura cru et qui aura été baptisé sera sauvé”.Qui donc est prêt àprendre cela au sérieux et à le suivre? La foi véritable est vivante, et elle se manifeste par l’obéissance à la Parole de Dieu.La foi sans les oeuvres qui l’accompagnent comme elles sont exigées par la Parole est morte en elle-même et est sans valeur. En fait, c’est seulement une confession de foi religieuse qui n’a jamais sauvé personne. Les doctrines chrétiennes ne servent à rien ni à personne si elles ne sont pas scripturaires. Notre communion avec Dieu vient par la Parole qui, grâce à l’Esprit, est rendue vivante en nous.Seul ce qui vient de Lui conduit de nouveau à Lui.