Baptême - Repas du Seigneur - Lavage des pieds

LE LAVAGE DES PIEDS

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Après nous être occupés du Repas du Seigneur, nous devons en venir brièvement au lavage des pieds. Avant de nous tourner vers le texte correspondant du Nouveau Testament, considérons un instant ce qui fut ordonné aux sacrificateurs de l’Ancien Testament: La cuve d’airain devait, selon l’ordre divin, se trouver entre la Tente d’assignation et l’autel des sacrifices. “… et Aaron et ses fils y laveront leurs mains et leurs pieds” (Ex. 30.19).Avant d’avoir fait cela, il leur était interdit de pénétrer à l’intérieur de la tente d’assignation. Dans le Nouveau Testament, les vrais croyants forment une “sainte sacrificature”. Nous devons nous approcher de Dieu avec un saint respect, et respecter pleinement Sa Parole en toutes choses.

Il est écrit dans Jean 13.3-10: “Jésus, sachant que le Père lui avait mis toutes choses entre les mains, et qu’il était venu de Dieu, et s’en allait à Dieu, se lève du souper et met de côté ses vêtements; et ayant pris un linge, il s’en ceignit. Puis il verse de l’eau dans le bassin, et se met à laver les pieds des disciples et à les essuyer avec le linge dont il était ceint. Il vient donc à Simon Pierre; et celui-ci lui dit: Seigneur, me laves-tu, toi, les pieds? Jésus répondit et lui dit: Ce que je fais tu ne le sais pas maintenant, mais tu le sauras dans la suite. Pierre lui dit: Tu ne me laveras jamais les pieds. Jésus lui répondit: Si je ne te lave, tu n’as pas de part avec moi. Simon Pierre lui dit: Seigneur, non pas mes pieds seulement, mais aussi mes mains et ma tête. Jésus lui dit: Celui qui a tout le corps lavé n’a besoin que de se laver les pieds…”.

Aussi longtemps que nous considérons ce texte comme un simple compte-rendu, nous ne nous sentons pas concernés. Al’époque le Seigneur parlait à ceux qui étaient auprès de Lui. Aujourd’hui Il nous parle par la même Parole. Nous devons nous mettre à la place de Pierre qui demandait: “Seigneur, me laves-tu, toi, les pieds?” et à qui le Seigneur répondit: “Ce que je fais, tu ne le sais pas maintenant, mais tu le sauras dans la suite”. Pierre renforce sa décision en Lui disant: “Tu ne me laveras jamais les pieds”. Il ne voulait pas que le Seigneur s’humilie ainsi devant lui en accomplissant envers lui un service aussi méprisable. Cependant le Seigneur et Maître donna là à Ses disciples une leçon pratique (Mat. 20.26): “Mais quiconque voudra devenir grand parmi vous sera votre serviteur”. Le Seigneur les servit avec humilité et en s’abaissant complètement. Il enleva Ses vêtements, se ceignit d’un linge et, se baissant, se chargea de la tâche d’un esclave de la maison. C’était un exemple pour Ses disciples, en ce que chacun devait considérer l’autre comme étant plus grand que lui-même. A cette occasion Il le leur a démontré par une leçon toute pratique.

Lorsque le Seigneur dit à Pierre: “Si je ne te lave, tu n’as pas de part avec moi”, l’apôtre fut saisi de frayeur et s’écria: “Seigneur, non pas mes pieds seulement, mais aussi mes mains et ma tête!”. Comment devons-nous comprendre que sans cela il n’aurait eu aucune part avec Lui? Est-ce que n’importe qui peut avoir une part avec le Seigneur simplement par le lavage des pieds? Non, il s’agit de l’obéissance que nous devons à notre Seigneur et de notre service les uns envers les autres.Qu’importe si un ordre, un appel ou une ordonnance du Seigneur nous paraissent insignifiants, nous devons les accomplir dans la foi comme des enfants, sans demander ni le pourquoi ni le comment; car sinous ne le faisons pas, nous interrompons la relation avec Celui qui les a donnés.La force d’une chaîne se mesure à son maillon le plus faible. Il nous a été demandé de prendre au sérieux chaque mot, chaque ordre et d’agir d’après cela.

Depuis le verset 12 il est dit: “Quand donc il eut lavé leurs pieds et qu’il eut repris ses vêtements, s’étant remis à table, il leur dit: Savez-vous ce que je vous ai fait? Vous m’appelez maître et seigneur, et vous dites bien, car je le suis: si donc moi, le seigneur et le maître, j’ai lavé vos pieds, vous aussi vous devez vous laver les pieds les uns aux autres. Car je vous ai donné un exemple, afin que, comme je vous ai fait, moi, vous aussi vous fassiez. En vérité, en vérité, je vous dis: l’esclave n’est pas plus grand que son seigneur, ni l’envoyé plus grand que celui qui l’a envoyé. Si vous savez ces choses, vous êtes bienheureux si vous les faites”.

Les paroles du Maître sont claires et sans équivoque:“Si donc moi, le seigneur et le maître, j’ai lavé vos pieds, vous aussi vous devez vous laver les pieds les uns aux autres”. Il n’y a rien à expliquer ni à interpréter à ce propos. Lorsque le Seigneur dit que nous devons nous laver les pieds lesuns aux autres, et même insiste en disant:“… vous aussi, vous devez vous laver les pieds les uns aux autres”, c’est qu’Il l’entend bien ainsi. Ceci n’a rien à voir avec la coutume orientale. Cette dernière était bien connue de tous, du Seigneur et Maître également. Il dit très clairement: “Car je vous ai donné un exemple, afin que, comme je vous ai fait, moi, vous aussi vous fassiez”. C’est une directive claire, sans aucun si, ou aucun mais. Le Seigneur souligna encore cet ordre par les mots suivants: “En vérité, en vérité, je vous dis: l’esclave n’est pas plus grand que son seigneur, ni l’envoyé plus grand que celui qui l’a envoyé”.

Chaque fois que le Seigneur utilise cette expression “en vérité, en vérité”, nous devrions y porter une attention particulière car c’est comme s’Il voulait faire ressortir quelque chose qui mérite notre attention. C’est ce qu’Il fait dans Jean 13 à plusieurs reprises.

A la vérité il n’y a pratiquement pas beaucoup à dire sur le lavage des pieds. A l’époque des premiers chrétiens, il devait être normal de le pratiquer car on ne trouve rien qui nous soit rapporté à ce sujet dans les Saintes Ecritures. Paul reprit ce thème courtement une fois encore lorsqu’il détermina les conditions d’admission des veuves sur le rôle de la communauté. Il est dit à ce sujet: “… ayant le témoignage d’avoir marché dans les bonnes oeuvres, si elle a élevé des enfants, si elle a logé des étrangers, si elle a lavé les pieds des saints, si elle a secouru ceux qui sont dans la tribulation, si elle s’est appliquée à toute bonne oeuvre”(1 Tim. 5.10).

Nous avons démontré, Bible en mains, que le Seigneur Jésus a établi et nous a donné en exemple le lavage des pieds. C’est pourquoi aucune personne vraiment sincère ne discutera ou ne donnera d’interprétations qui conduiraient à ne pas observer ces choses, mais au contraire fera ce qu’Il commande. La Parole de Dieu devrait être tellement sainte pour chaque croyant qu’il devrait être prêt à accomplir même le plus petit commandement. Alors un tel croyant se sentira concerné par les paroles que le Seigneur a dites en conclusion de ce thème: “Si vous savez ces choses, vous êtes bienheureux si vous les faites”. La bénédiction du Seigneur repose du commencement à la fin sur ceux qui mettent la Parole en pratique. Puisse le Seigneur faire de nous de telles personnes qui marchent dans Ses voies et font tout ce qu’Il a commandé.

    Après nous être occupés du Repas du Seigneur, nous devons en venir brièvement au lavage des pieds. Avant de nous tourner vers le texte correspondant du Nouveau Testament, considérons un instant ce qui fut ordonné aux sacrificateurs de l’Ancien Testament: La cuve d’airain devait, selon l’ordre divin, se trouver entre la Tente d’assignation et l’autel des sacrifices.“… et Aaron et ses fils y laveront leurs mains et leurs pieds”(Ex. 30.19).Avant d’avoir fait cela, il leur était interdit de pénétrer àl’intérieur de la tente d’assignation. Dans le Nouveau Testament, les vrais croyants forment une “sainte sacrificature”. Nous devons nous approcher de Dieu avec un saint respect, et respecter pleinement Sa Parole en toutes choses.

    Il est écrit dans Jean 13.3-10: “Jésus, sachant que le Père lui avait mis toutes choses entre les mains, et qu’il était venu de Dieu, et s’en allait à Dieu, se lève du souper et met de côté ses vêtements; et ayant pris un linge, il s’en ceignit. Puis il verse de l’eau dans le bassin, et se met à laver les pieds des disciples et à les essuyer avec le linge dont il était ceint. Il vient donc à Simon Pierre; et celui-ci lui dit: Seigneur, me laves-tu, toi, les pieds? Jésus répondit et lui dit: Ce que je fais tu ne le sais pas maintenant, mais tu le sauras dans la suite. Pierre lui dit: Tu ne me laveras jamais les pieds. Jésus lui répondit: Si je ne te lave, tu n’as pas de part avec moi. Simon Pierre lui dit: Seigneur, non pas mes pieds seulement, mais aussi mes mains et ma tête. Jésus lui dit: Celui qui a tout le corps lavé n’a besoin que de se laver les pieds…”.

    Aussi longtemps que nous considérons ce texte comme un simple compte-rendu, nous ne nous sentons pas concernés.Al’époque le Seigneur parlait à ceux qui étaient auprès de Lui. Aujourd’hui Il nous parle par la même Parole. Nous devons nous mettre à la place de Pierre qui demandait: “Seigneur, me laves-tu, toi, les pieds?”et à qui le Seigneur répondit: “Ce que je fais, tu ne le sais pas maintenant, mais tu le sauras dans la suite”.Pierre renforce sa décision en Lui disant: “Tu ne me laveras jamais les pieds”.Il ne voulait pas que le Seigneur s’humilie ainsi devant lui en accomplissant envers lui un service aussi méprisable. Cependant le Seigneur et Maître donna là à Ses disciples une leçon pratique (Mat. 20.26): “Mais quiconque voudra devenir grand parmi vous sera votre serviteur”.Le Seigneur les servit avec humilité et en s’abaissant complètement.Il enleva Ses vêtements, se ceignit d’un linge et, se baissant, se chargea de la tâche d’un esclave de la maison. C’était un exemple pour Ses disciples, en ce que chacun devait considérer l’autre comme étant plus grand que lui-même.A cette occasion Il le leur a démontré par une leçon toute pratique.

    Lorsque le Seigneur dit à Pierre: “Si je ne te lave, tu n’as pas de part avec moi”,l’apôtre fut saisi de frayeur et s’écria: “Seigneur, non pas mes pieds seulement, mais aussi mes mains et ma tête!”.Comment devons-nous comprendre que sans cela il n’aurait eu aucune part avec Lui? Est-ce que n’importe qui peut avoir une part avec le Seigneur simplement par le lavage des pieds? Non, il s’agit de l’obéissance que nous devons à notre Seigneur et de notre service les uns envers les autres. Qu’importe si un ordre, un appel ou une ordonnance du Seigneur nous paraissent insignifiants, nous devons les accomplir dans la foi comme des enfants, sans demander ni le pourquoi ni le comment; car si nous ne le faisons pas, nous interrompons la relation avec Celui qui les a donnés. La force d’une chaîne se mesure à son maillon le plus faible. Il nous a été demandé de prendre au sérieux chaque mot, chaque ordre et d’agir d’après cela.

    Depuis le verset 12 il est dit: “Quand donc il eut lavé leurs pieds et qu’il eut repris ses vêtements, s’étant remis à table, il leur dit: Savez-vous ce que je vous ai fait? Vous m’appelez maître et seigneur, et vous dites bien, car je le suis: si donc moi, le seigneur et le maître, j’ai lavé vos pieds, vous aussi vous devez vous laver les pieds les uns aux autres. Car je vous ai donné un exemple, afin que, comme je vous ai fait, moi, vous aussi vous fassiez. En vérité, en vérité, je vous dis: l’esclave n’est pas plus grand que son seigneur, ni l’envoyé plus grand que celui qui l’a envoyé. Si vous savez ces choses, vous êtes bienheureux si vous les faites”.

    Les paroles du Maître sont claires et sans équivoque:“Si donc moi, le seigneur et le maître, j’ai lavé vos pieds, vous aussi vous devez vous laver les pieds les uns aux autres”.Il n’y a rien à expliquer ni à interpréter à ce propos. Lorsque le Seigneur dit que nous devons nous laver les pieds lesuns aux autres, et même insiste en disant:“… vous aussi, vous devez vous laver les pieds les uns aux autres”,c’est qu’Il l’entend bien ainsi. Ceci n’a rien à voir avec la coutume orientale. Cette dernière était bien connue de tous, du Seigneur et Maître également. Il dit très clairement: “Car je vous ai donné un exemple, afin que, comme je vous ai fait, moi, vous aussi vous fassiez”.C’est une directive claire, sans aucun si, ou aucun mais. Le Seigneur souligna encore cet ordre par les mots suivants: “En vérité, en vérité, je vous dis: l’esclave n’est pas plus grand que son seigneur, ni l’envoyé plus grand que celui qui l’a envoyé”.

    Chaque fois que le Seigneur utilise cette expression “en vérité, en vérité”, nous devrions y porter une attention particulière car c’est comme s’Il voulait faire ressortir quelque chose qui mérite notre attention.C’est ce qu’Il fait dans Jean 13 à plusieurs reprises.

    A la vérité il n’y a pratiquement pas beaucoup à dire sur le lavage des pieds. A l’époque des premiers chrétiens, il devait être normal de le pratiquer car on ne trouve rien qui nous soit rapporté à ce sujet dans les Saintes Ecritures. Paul reprit ce thème courtement une fois encore lorsqu’il détermina les conditions d’admission des veuves sur le rôle de la communauté. Il est dit àce sujet: “… ayant le témoignage d’avoir marché dans les bonnes oeuvres, si elle a élevé des enfants, si elle a logé des étrangers, si elle a lavé les pieds des saints, si elle a secouru ceux qui sont dans la tribulation, si elle s’est appliquée à toute bonne oeuvre” (1 Tim. 5.10).

    Nous avons démontré, Bible en mains, que le Seigneur Jésus a établi et nous a donné en exemple le lavage des pieds. C’est pourquoi aucune personne vraiment sincère ne discutera ou ne donnera d’interprétations qui conduiraient à ne pas observer ces choses, mais au contraire fera ce qu’Il commande. La Parole de Dieu devrait être tellement sainte pour chaque croyant qu’il devrait être prêt à accomplir même le plus petit commandement.Alors un tel croyant se sentira concerné par les paroles que le Seigneur a dites en conclusion de ce thème: “Si vous savez ces choses, vous êtes bienheureux si vous les faites”.La bénédiction du Seigneur repose du commencement à la fin sur ceux qui mettent la Parole en pratique. Puisse le Seigneur faire de nous de telles personnes qui marchent dans Ses voies et font tout ce qu’Il a commandé.