L’APOCALYPSE - UN LIVRE SCELLÉ DE 7 SCEAUX ?
Quatrième lettre: Mise en garde contre la séduction par fausse inspiration
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Le Seigneur Se présente dans la quatrième lettre de la manière suivante: “Voici ce que dit le Fils de Dieu, celui qui a les yeux comme une flamme de feu, et dont les pieds sont semblables à de l’airain ardent: Je connais tes œuvres, ton amour, ta foi, ton fidèle service, ta constance, et tes dernières œuvres plus nombreuses que les premières. Mais ce que j’ai contre toi, c’est que tu laisses la femme Jézabel, qui se dit prophétesse, enseigner et séduire mes serviteurs, pour qu’ils se livrent à l’impudicité et qu’ils mangent des viandes sacrifiées aux idoles. Je lui ai donné du temps, afin qu’elle se repentît, et elle ne veut pas se repentir de son impudicité. Voici, je vais la jeter sur un lit, et envoyer une grande tribulation à ceux qui commettent adultère avec elle, à moins qu’ils ne se repentent de leurs œuvres. Je ferai mourir de mort ses enfants; et toutes les Églises connaîtront que je suis celui qui sonde les reins et les cœurs, et je vous rendrai à chacun selon vos œuvres. A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n’ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis: Je ne mets pas sur vous d’autre fardeau; seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu’à ce que je vienne” (Apoc. 2.18-25).
Tout d’abord l’Eglise de Thyatire est louée, en même temps que l’âge de l’église qu’elle représente, à cause de ses œuvres, de son amour, de sa fidélité, de son service, ainsi que de sa patience. En outre il lui est rendu témoignage d’une croissance spirituelle. Ensuite le Seigneur parle des choses qui Lui déplaisent. Le blâme concerne une femme, qu’Il qualifie du nom de “Jésabel”, et qui se fait passer pour prophétesse. La tromperie la plus grave dans le domaine spirituel, tout en étant des plus crédibles, arrive par ceux qui exercent le don de prophétie. On les croit et on se fixe sur eux, sans soupçonner les intentions mauvaises qui peuvent se cacher derrière cela.
Dans l’Eglise du Nouveau Testament, Dieu a confié les cinq ministères uniquement à des frères. En réalité, Dieu n’a jamais établi de prophétesses, d’apôtresses, de doctoresses, etc. S’il arrive qu’une femme se conduise en prophétesse, en doctoresse, et ainsi de suite, on peut constater en comparant avec les Saintes Ecritures que Satan abuse d’elle en l’utilisant pour éprouver l’Eglise locale. Tôt ou tard, après chaque réveil spirituel vient l’heure de l’épreuve, comme cela eut lieu avec Eve. Paul a fortement insistésur l’ordre divin: “Que la femme écoute l’instruction en silence, avec une entière soumission. Je ne permets pas à la femme d’enseigner, ni de prendre de l’autorité sur l’homme; mais elle doit demeurer dans le silence. Car Adam a été formé le premier, Eve ensuite; et ce n’est pas Adam qui a été séduit, c’est la femme qui, séduite, s’est rendue coupable de transgression...” (1 Tim. 2.11-14). Toute femme qui pense être spirituelle et se soustrait à la domination de son mari, comme Dieu Lui-même l’a commandé dans Genèse 3.16, se place automatiquement sous la domination de Satan, lequel en fait son instrument. De même que dans le jardin d’Eden, ceci n’arrive pas lors d’une discussion politique ou d’autres intérêts terrestres, mais cela arrive toujours en relation avec ce que Dieu a dit.
Partout où une femme passe par-dessus les frontières fixées par la Parole et commence à enseigner les autres sur des thèmes bibliques, elle commence aussi à s’élever au-dessus des Saintes Ecritures et de son mari. C’est un signe que l’on ne peut méconnaître, elle est dominée de la manière la plus pieuse par des puissances de l’ennemi. C’est la raison pour laquelle l’apôtre dit: “Que les femmes se taisent dans les assemblées, car il ne leur est pas permis d’y parler; mais qu’elles soient soumises, selon que le dit aussi la loi. Si elles veulent s’instruire sur quelque chose (non pas si elles désirent enseigner), qu’elles interrogent leurs maris à la maison…” (1 Cor. 14.34,35). Du fait que nous avons affaire à l’Evangile éternellement valable de Jésus-Christ, les lignes de conduite fixées dès le commencement sont valables jusqu’à la fin. C’est sur l’ordre de Dieu que l’apôtre se réfère à ce qui s’est passé dans le jardin d’Eden et indique aux femmes la place qui est la leur.
Déjà dans l’Ancien Testament ces mêmes exhortations étaient nécessaires au peuple d’Israël: “Et toi, fils de l’homme, porte tes regards sur les filles de ton peuple qui prophétisent selon leur propre cœur, et prophétise contre elles! Tu diras: Ainsi parle le Seigneur, l’Éternel: Malheur à celles qui fabriquent des coussinets pour toutes les aisselles, et qui font des voiles pour la tête des gens de toute taille, afin de surprendre les âmes! Pensez-vous surprendre les âmes de mon peuple, et conserver vos propres âmes?” (Ezé. 13.17,18). Il est conseillé de lire ce chapitre jusqu’à la fin et d’en retirer l’enseignement qui en ressort une fois pour toutes. Curieusement, cela n’a pas encore changé. Ce sont réellement les femmes qui, se croyant spirituelles, veulent enseigner les autres et tombent sous une fausse inspiration. La fausse inspiration de leurs prophéties ont le caractère de charme qui ensorcelle, contenant le venin mortel du serpent et tous ceux qui les écoutent sont spirituellement lié, et ont besoin d’être déliés, par la puissance du Nom de Jésus-Christ.
En tant que prédicateurs de la Parole, les serviteurs de Dieu auraient dû en savoir davantage, afin de pouvoir dévoiler leurs actions. Cependant, comme Eve autrefois qui, lors de la conversation avec le serpent, écouta et entraîna Adam avec elle dans la chute, ainsi ces serviteurs tombèrent avec la femme Jésabel, “… pour qu’ils se livrent à l’impudicité et qu’ils mangent des viandes sacrifiées aux idoles” (Apoc. 2.20). Il ressort clairement du contexte qu’il ne s’agit pas de prostitution charnelle, mais bien de fornication spirituelle. Des femmes qui se présentent comme prophétesses se garderont bien de commettre elles-mêmes la fornication charnelle avec les serviteurs de Dieu, car elles perdraient tout de suite leur autorité spirituelle et leur influence sur eux. Cette “Jésabel”, qui oeuvrait à la fois comme prophétesse et comme doctoresse, fut invitée à se repentir, ainsi que ceux qui étaient entrés en relation avec elle. Les enfants spirituels nés de ce mélange ont eu à souffrir la mort spirituelle.
Mais à ceux qui ne se laissèrent pas tromper par une prophétesse autoproclamée et qui ne s’en tinrent pas à ses doctrines, s’adressait cette promesse: “A celui qui vaincra, et qui gardera jusqu’à la fin mes œuvres, je donnerai autorité sur les nations. Il les paîtra avec une verge de fer, comme on brise les vases d’argile, ainsi que moi-même j’en ai reçu le pouvoir de mon Père. Et je lui donnerai l’étoile du matin” (Apoc. 2.26-28). Les rachetés hériteront de toutes choses avec leur Rédempteur et régneront avec Lui pendant le millénium sur tous les peuples du monde.
L’âge de l’Eglise de Thyatire s’étendit environ jusqu’en 1520 apr. J.‑C.
Le Seigneur Se présente dans la quatrième lettre de la manière suivante: “Voici ce que dit le Fils de Dieu, celui qui a les yeux comme une flamme de feu, et dont les pieds sont semblables à de l’airain ardent: Je connais tes œuvres, ton amour, ta foi, ton fidèle service, ta constance, et tes dernières œuvres plus nombreuses que les premières. Mais ce que j’ai contre toi, c’est que tu laisses la femme Jézabel, qui se dit prophétesse, enseigner et séduire mes serviteurs, pour qu’ils se livrent à l’impudicité et qu’ils mangent des viandes sacrifiées aux idoles. Je lui ai donné du temps, afin qu’elle se repentît, et elle ne veut pas se repentir de son impudicité. Voici, je vais la jeter sur un lit, et envoyer une grande tribulation à ceux qui commettent adultère avec elle, à moins qu’ils ne se repentent de leurs œuvres. Je ferai mourir de mort ses enfants; et toutes les Églises connaîtront que je suis celui qui sonde les reins et les cœurs, et je vous rendrai à chacun selon vos œuvres. A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n’ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis: Je ne mets pas sur vous d’autre fardeau; seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu’à ce que je vienne” (Apoc. 2.18-25).
Tout d’abord l’Eglise de Thyatire est louée, en même temps que l’âge de l’église qu’elle représente, à cause de ses œuvres, de son amour, de sa fidélité, de son service, ainsi que de sa patience. En outre il lui est rendu témoignage d’une croissance spirituelle. Ensuite le Seigneur parle des choses qui Lui déplaisent. Le blâme concerne une femme, qu’Il qualifie du nom de “Jésabel”, et qui se fait passer pour prophétesse. La tromperie la plus grave dans le domaine spirituel, tout en étant des plus crédibles, arrive par ceux qui exercent le don de prophétie. On les croit et on se fixe sur eux, sans soupçonner les intentions mauvaises qui peuvent se cacher derrière cela.
Dans l’Eglise du Nouveau Testament, Dieu a confié les cinq ministères uniquement à des frères. En réalité, Dieu n’a jamais établi de prophétesses, d’apôtresses, de doctoresses, etc. S’il arrive qu’une femme se conduise en prophétesse, en doctoresse, et ainsi de suite, on peut constater en comparant avec les Saintes Ecritures que Satan abuse d’elle en l’utilisant pour éprouver l’Eglise locale. Tôt ou tard, après chaque réveil spirituel vient l’heure de l’épreuve, comme cela eut lieu avec Eve. Paul a fortement insistésur l’ordre divin: “Que la femme écoute l’instruction en silence, avec une entière soumission. Je ne permets pas à la femme d’enseigner, ni de prendre de l’autorité sur l’homme; mais elle doit demeurer dans le silence. Car Adam a été formé le premier, Eve ensuite; et ce n’est pas Adam qui a été séduit, c’est la femme qui, séduite, s’est rendue coupable de transgression...” (1 Tim. 2.11-14). Toute femme qui pense être spirituelle et se soustrait à la domination de son mari, comme Dieu Lui-même l’a commandé dans Genèse 3.16, se place automatiquement sous la domination de Satan, lequel en fait son instrument. De même que dans le jardin d’Eden, ceci n’arrive pas lors d’une discussion politique ou d’autres intérêts terrestres, mais cela arrive toujours en relation avec ce que Dieu a dit.
Partout où une femme passe par-dessus les frontières fixées par la Parole et commence à enseigner les autres sur des thèmes bibliques, elle commence aussi à s’élever au-dessus des Saintes Ecritures et de son mari. C’est un signe que l’on ne peut méconnaître, elle est dominée de la manière la plus pieuse par des puissances de l’ennemi. C’est la raison pour laquelle l’apôtre dit: “Que les femmes se taisent dans les assemblées, car il ne leur est pas permis d’y parler; mais qu’elles soient soumises, selon que le dit aussi la loi. Si elles veulent s’instruire sur quelque chose (non pas si elles désirent enseigner), qu’elles interrogent leurs maris à la maison…” (1 Cor. 14.34,35). Du fait que nous avons affaire à l’Evangile éternellement valable de Jésus-Christ, les lignes de conduite fixées dès le commencement sont valables jusqu’à la fin. C’est sur l’ordre de Dieu que l’apôtre se réfère à ce qui s’est passé dans le jardin d’Eden et indique aux femmes la place qui est la leur.
Déjà dans l’Ancien Testament ces mêmes exhortations étaient nécessaires au peuple d’Israël: “Et toi, fils de l’homme, porte tes regards sur les filles de ton peuple qui prophétisent selon leur propre cœur, et prophétise contre elles! Tu diras: Ainsi parle le Seigneur, l’Éternel: Malheur à celles qui fabriquent des coussinets pour toutes les aisselles, et qui font des voiles pour la tête des gens de toute taille, afin de surprendre les âmes! Pensez-vous surprendre les âmes de mon peuple, et conserver vos propres âmes?” (Ezé. 13.17,18). Il est conseillé de lire ce chapitre jusqu’à la fin et d’en retirer l’enseignement qui en ressort une fois pour toutes. Curieusement, cela n’a pas encore changé. Ce sont réellement les femmes qui, se croyant spirituelles, veulent enseigner les autres et tombent sous une fausse inspiration. La fausse inspiration de leurs prophéties ont le caractère de charme qui ensorcelle, contenant le venin mortel du serpent et tous ceux qui les écoutent sont spirituellement lié, et ont besoin d’être déliés, par la puissance du Nom de Jésus-Christ.
En tant que prédicateurs de la Parole, les serviteurs de Dieu auraient dû en savoir davantage, afin de pouvoir dévoiler leurs actions. Cependant, comme Eve autrefois qui, lors de la conversation avec le serpent, écouta et entraîna Adam avec elle dans la chute, ainsi ces serviteurs tombèrent avec la femme Jésabel, “… pour qu’ils se livrent à l’impudicité et qu’ils mangent des viandes sacrifiées aux idoles” (Apoc. 2.20). Il ressort clairement du contexte qu’il ne s’agit pas de prostitution charnelle, mais bien de fornication spirituelle. Des femmes qui se présentent comme prophétesses se garderont bien de commettre elles-mêmes la fornication charnelle avec les serviteurs de Dieu, car elles perdraient tout de suite leur autorité spirituelle et leur influence sur eux. Cette “Jésabel”, qui oeuvrait à la fois comme prophétesse et comme doctoresse, fut invitée à se repentir, ainsi que ceux qui étaient entrés en relation avec elle. Les enfants spirituels nés de ce mélange ont eu à souffrir la mort spirituelle.
Mais à ceux qui ne se laissèrent pas tromper par une prophétesse autoproclamée et qui ne s’en tinrent pas à ses doctrines, s’adressait cette promesse: “A celui qui vaincra, et qui gardera jusqu’à la fin mes œuvres, je donnerai autorité sur les nations. Il les paîtra avec une verge de fer, comme on brise les vases d’argile, ainsi que moi-même j’en ai reçu le pouvoir de mon Père. Et je lui donnerai l’étoile du matin” (Apoc. 2.26-28). Les rachetés hériteront de toutes choses avec leur Rédempteur et régneront avec Lui pendant le millénium sur tous les peuples du monde.
L’âge de l’Eglise de Thyatire s’étendit environ jusqu’en 1520 apr. J.‑C.