L’APOCALYPSE - UN LIVRE SCELLÉ DE 7 SCEAUX ?

Septième lettre: Avertissement à cause de la tiédeur et de la nonchalance

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La dernière lettre aux Eglises, la septième, commence tout de suite par un blâme: “Voici ce que dit l’Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu: Je connais tes œuvres. Je sais que tu n’es ni froid ni bouillant. Puisses-tu être froid ou bouillant! Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n’es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. Parce que tu dis: Je suis riche, je me suis enrichi, et je n’ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu…” (Apoc. 3.14-17).

Dans ce dernier âge de l’Eglise qui n’est ni chaud ni froid, c’est-à-dire qui est tiède et nonchalant, le Seigneur menace ceux qui ne reviennent pas à Lui de les vomir de Sa bouche. Ce qui veut dire qu’ils n’entendront pas Son appel lors de la première résurrection et de l’enlèvement.

La supposition trompeuse de posséder spirituellement toutes choses en abondance et de n’avoir plus besoin de rien est réprimandée par le Seigneur Lui-même au travers de ces paroles: “Tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu”. Lorsque dans le domaine naturel quelqu’un est pauvre, aveugle et nu, c’est déjà grave. Mais s’il ne le sait pas, s’il n’est pas conscient de son propre état, c’est que dans son esprit quelque chose ne va plus. Il en est de même en reportant cela dans le domaine spirituel.

Ce qu’il y a de tragique dans ce dernier âge trompeur, c’est le fait qu’on se trompe soi-même, qu’on cherche à se persuader et à s’imaginer quelque chose qui au fond n’existe pas du tout dans la réalité. Ce qui ressort de la répréhension faite par le Seigneur aux croyants de la fin du temps de la grâce est qu’il leur manque le jugement et le discernement spirituels réels. Ils vivent dans un monde de désirs, un monde imaginaire, sans comprendre que la répréhension du Seigneur est justifiée. Cependant Il n’abandonne pas les Siens, Il frappe à la porte et leur donne un conseil: “Je te conseille d’acheter de moi de l’or éprouvé par le feu, afin que tu deviennes riche, et des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies. Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j’aime. Aie donc du zèle, et repens-toi” (v. 18,19).

Seul celui qui peut reconnaître son propre état et venir au Seigneur pourra recevoir ce qu’Il a préparé; jusqu’à recevoir l’onction, le collyre sur ses yeux afin de voir, par la révélation de l’Esprit, ce qui est divin et qui se rattache au Royaume de Dieu. Le Seigneur Lui-même témoigne qu’Il se trouve dehors, à la porte et qu’Il frappe, bien qu’on parle de Lui à l’intérieur et qu’on Le chante et que l’on parle de l’action de l’Esprit et des dons du Saint-Esprit. Les cultes suivent leurs cours, mais il ne Lui est pas permis de prendre la Parole au sein des églises pour se révéler au milieu d’elles. Cependant Sa patience arrive à son terme.

C’est la raison pour laquelle, frappant à la porte, Il s’adresse aux croyants individuellement: “Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi”. C’est la situation actuelle. Ce ne sont pas des communautés entières qui entendront Son appel, mais bien des individus dans les diverses communautés, lesquels acceptent Son conseil et ouvrent la porte de leur cœur, afin qu’Il puisse manger avec eux le repas qu’Il a préparé. Dans aucun des âges qui ont précédé celui-ci la table du Seigneur n’a été aussi richement garnie que maintenant.

En ce qui concerne la promesse faite à cet âge, c’est la plus glorieuse de toutes les promesses: “Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, comme moi j’ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône” (v. 21). En Christ, Dieu a fait le commencement de la nouvelle création par l’engendrement; c’est pourquoi Il introduit cet âge de l’Eglise en Se présentant Lui-même comme le commencement de la création de Dieu. Tous ceux qui ont été engendrés par Son Esprit et qui sont nés de nouveau (Jean 3.3-7; Jacq. 1.18; 1 Pier. 1.23; 1 Jean 5.1-4), forment la troupe des prémices des sept âges de l’Eglise (Héb. 12.23), et sont en même temps une nouvelle création en Christ (2 Cor. 5.17-19); ils s’assiéront avec Celui qui a vaincu, sur Son trône, et régneront ensemble avec Lui.

Nous remarquons qu’au commencement de chaque lettre aux Eglises se trouve le AINSI DIT LE SEIGNEUR. A la fin de chacune d’elles nous pouvons lire: “Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Eglises”. Et c’est exactement de cela qu’il s’agit: écouter ce que l’Esprit dit dans le présent par le moyen de la Parole promise et révélée de ce temps. C’est effectivement ceci le Message dont il s’agit maintenant et dont il s’agissait aussi en chaque âge. Dans les trois premières lettres cette expression se trouve avant la promesse, alors que dans les quatre dernières elle se trouve écrite après la promesse.

Dans le chapitre 13 de Matthieu le Seigneur s’est exprimé de façon détaillée sur la nécessité d’écouter et de voir. Il a déclaré à ce sujet bienheureux les yeux de ceux qui voient et les oreilles de ceux qui écoutent. La troupe des vainqueurs de tous les âges de l’Eglise est formée de ceux qui ont écouté, cru et suivi le Message de Dieu en leur temps. C’est ainsi qu’ils ont eu part à ce que Dieu faisait en leur temps. Nous devons pareillement écouter ce que l’Esprit dit en nos jours par le Message actuel, afin d’avoir part à ce que Dieu a promis de faire et qu’Il accomplit présentement. Les vrais enfants de Dieu n’écoutent pas seulement un Messager, qui se présente comme un Ange pour apporter le Message divin, mais ils distinguent le AINSI DIT LE SEIGNEUR, ils croient le témoignage de la Parole et deviennent ainsi des vainqueurs, qui héritent de tout.

La dernière lettre aux Eglises, la septième, commence tout de suite par un blâme: “Voici ce que dit l’Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu: Je connais tes œuvres. Je sais que tu n’es ni froid ni bouillant. Puisses-tu être froid ou bouillant! Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n’es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. Parce que tu dis: Je suis riche, je me suis enrichi, et je n’ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu…” (Apoc. 3.14-17).

Dans ce dernier âge de l’Eglise qui n’est ni chaud ni froid, c’est-à-dire qui est tiède et nonchalant, le Seigneur menace ceux qui ne reviennent pas à Lui de les vomir de Sa bouche. Ce qui veut dire qu’ils n’entendront pas Son appel lors de la première résurrection et de l’enlèvement.

La supposition trompeuse de posséder spirituellement toutes choses en abondance et de n’avoir plus besoin de rien est réprimandée par le Seigneur Lui-même au travers de ces paroles: “Tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu”. Lorsque dans le domaine naturel quelqu’un est pauvre, aveugle et nu, c’est déjà grave. Mais s’il ne le sait pas, s’il n’est pas conscient de son propre état, c’est que dans son esprit quelque chose ne va plus. Il en est de même en reportant cela dans le domaine spirituel.

Ce qu’il y a de tragique dans ce dernier âge trompeur, c’est le fait qu’on se trompe soi-même, qu’on cherche à se persuader et à s’imaginer quelque chose qui au fond n’existe pas du tout dans la réalité. Ce qui ressort de la répréhension faite par le Seigneur aux croyants de la fin du temps de la grâce est qu’il leur manque le jugement et le discernement spirituels réels. Ils vivent dans un monde de désirs, un monde imaginaire, sans comprendre que la répréhension du Seigneur est justifiée. Cependant Il n’abandonne pas les Siens, Il frappe à la porte et leur donne un conseil: “Je te conseille d’acheter de moi de l’or éprouvé par le feu, afin que tu deviennes riche, et des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies. Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j’aime. Aie donc du zèle, et repens-toi” (v. 18,19).

Seul celui qui peut reconnaître son propre état et venir au Seigneur pourra recevoir ce qu’Il a préparé; jusqu’à recevoir l’onction, le collyre sur ses yeux afin de voir, par la révélation de l’Esprit, ce qui est divin et qui se rattache au Royaume de Dieu. Le Seigneur Lui-même témoigne qu’Il se trouve dehors, à la porte et qu’Il frappe, bien qu’on parle de Lui à l’intérieur et qu’on Le chante et que l’on parle de l’action de l’Esprit et des dons du Saint-Esprit. Les cultes suivent leurs cours, mais il ne Lui est pas permis de prendre la Parole au sein des églises pour se révéler au milieu d’elles. Cependant Sa patience arrive à son terme.

C’est la raison pour laquelle, frappant à la porte, Il s’adresse aux croyants individuellement: “Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi”. C’est la situation actuelle. Ce ne sont pas des communautés entières qui entendront Son appel, mais bien des individus dans les diverses communautés, lesquels acceptent Son conseil et ouvrent la porte de leur cœur, afin qu’Il puisse manger avec eux le repas qu’Il a préparé. Dans aucun des âges qui ont précédé celui-ci la table du Seigneur n’a été aussi richement garnie que maintenant.

En ce qui concerne la promesse faite à cet âge, c’est la plus glorieuse de toutes les promesses: “Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, comme moi j’ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône” (v. 21). En Christ, Dieu a fait le commencement de la nouvelle création par l’engendrement; c’est pourquoi Il introduit cet âge de l’Eglise en Se présentant Lui-même comme le commencement de la création de Dieu. Tous ceux qui ont été engendrés par Son Esprit et qui sont nés de nouveau (Jean 3.3-7; Jacq. 1.18; 1 Pier. 1.23; 1 Jean 5.1-4), forment la troupe des prémices des sept âges de l’Eglise (Héb. 12.23), et sont en même temps une nouvelle création en Christ (2 Cor. 5.17-19); ils s’assiéront avec Celui qui a vaincu, sur Son trône, et régneront ensemble avec Lui.

Nous remarquons qu’au commencement de chaque lettre aux Eglises se trouve le AINSI DIT LE SEIGNEUR. A la fin de chacune d’elles nous pouvons lire: “Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Eglises”. Et c’est exactement de cela qu’il s’agit: écouter ce que l’Esprit dit dans le présent par le moyen de la Parole promise et révélée de ce temps. C’est effectivement ceci le Message dont il s’agit maintenant et dont il s’agissait aussi en chaque âge. Dans les trois premières lettres cette expression se trouve avant la promesse, alors que dans les quatre dernières elle se trouve écrite après la promesse.

Dans le chapitre 13 de Matthieu le Seigneur s’est exprimé de façon détaillée sur la nécessité d’écouter et de voir. Il a déclaré à ce sujet bienheureux les yeux de ceux qui voient et les oreilles de ceux qui écoutent. La troupe des vainqueurs de tous les âges de l’Eglise est formée de ceux qui ont écouté, cru et suivi le Message de Dieu en leur temps. C’est ainsi qu’ils ont eu part à ce que Dieu faisait en leur temps. Nous devons pareillement écouter ce que l’Esprit dit en nos jours par le Message actuel, afin d’avoir part à ce que Dieu a promis de faire et qu’Il accomplit présentement. Les vrais enfants de Dieu n’écoutent pas seulement un Messager, qui se présente comme un Ange pour apporter le Message divin, mais ils distinguent le AINSI DIT LE SEIGNEUR, ils croient le témoignage de la Parole et deviennent ainsi des vainqueurs, qui héritent de tout.