Lettre circulaire Avril 2017
Ce fut le jour que le Seigneur a choisi – Sans appel, pas de mandat – pas de mandat sans appel
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Le dimanche 2 avril 2017, cela faisait exactement 55 ans depuis que le Seigneur fidèle m’a appelé, selon Sa volonté et conformément à Son plan du Salut. Paul a témoigné de son appel trois fois : précisément dans Actes 9, Actes 22 et Actes 26. Frère Branham également a témoigné de son appel assez souvent. Ceux qui trouvèrent grâce devant Dieu crurent ; les autres passèrent à côté de cela. La même chose se produit maintenant.
L’apôtre Paul se présente de la manière suivante: « Paul, serviteur de Jésus-Christ, appelé à être apôtre, mis à part pour annoncer l’Évangile de Dieu… » (Rom. 1 :1). L’apôtre Jacques aussi se présente comme un « serviteur » : « Jacques, serviteur de Dieu et du Seigneur Jésus-Christ…» (Jacq. 1 :1). L’apôtre Pierre fit de même : « Simon Pierre, serviteur et apôtre de Jésus-Christ, à ceux qui ont reçu en partage… » (2 Pi. 1 :1). Un fidèle serviteur exécute exactement toutes les instructions de son Seigneur, comme son Seigneur le lui ordonne.
Dans plusieurs lettres circulaires, j’ai aussi relaté les autres différentes expériences qui sont en relation directe avec le ministère dont le Rédempteur m’a chargé Lui-même. Plusieurs fois, Il m’a interpellé en disant « mon serviteur » et je peux nommer tous les lieux où et lorsque cela est arrivé. Pas une seule fois il a été question d’un rêve, mais à chaque fois, j’étais bien éveillé. Tout comme Paul, je peux attester devant Dieu et devant les hommes : « Et il arriva… » (Actes 22:6 – Roi Jacques). Qui peut comprendre ce que cela signifie d’entendre la voix pénétrante du Seigneur et quelle responsabilité, lorsqu’on reçoit directement Ses instructions ?
Krefeld : Mon témoignage de l’expérience extraordinaire du 2 avril 1962 vous est connu depuis des années. Au lever du jour, j’entendis la voix puissante du Seigneur : « Mon serviteur, le temps pour toi dans cette ville est bientôt fini. Je t’enverrai dans d’autres villes pour prêcher Ma Parole. » Je répondis : « Bien-aimé Seigneur, ils ne m’écouteront pas… » Sa réponse fut : « Mon serviteur, le temps vient où ils t’écouteront. Emmagasinez de la nourriture et des aliments, car il arrive une grande famine. Alors tu te tiendras au milieu du peuple et tu distribueras la nourriture… » et puis ont suivi les détails que je devais respecter. Les deux dernières choses que le Seigneur m’ordonna furent : « Mon serviteur, ne fonde pas d’églises locales et n’édite pas de recueil de cantiques, car ceci est un signe d’une dénomination... » Je suis convaincu que les églises locales sont bibliques, mais ce n’est pas mon devoir de fonder des églises dans d’autres villes ou dans d’autres pays. Et si chez nous, comme dans toutes les assemblées, il est d’usage de chanter des cantiques à partir d’un recueil, je n’ai pas le droit d’en éditer un de moi-même. J’ai suivi avec exactitude ce que le Seigneur a dit.
Marseille, France : « Mon serviteur, lève-toi et lis 2 Timothée chapitre 4, car je veux te parler… » Le soir précédent, on m’avait posé la question, qu’est-ce que les 7 tonnerres d’Apocalypse 10. Je n’avais pas su répondre. Le matin suivant, le Seigneur Lui-même me donna la réponse par l’Écriture Sainte : « Prêche la parole, insiste en toute occasion, favorable ou non, reprends, censure, exhorte, avec toute douceur et en instruisant… » Je posai alors ma Bible sur la table, levai mes mains et dis : « Bien-aimé Seigneur, aussi certain que Tu m’as ordonné de lire ce texte, de même il est certain que, ce que les 7 tonnerres ont dit n’a pas été écrit en tant que Parole de Dieu. Par conséquent, on ne peut pas prêcher à ce propos. » C’est Ainsi dit le Seigneur. Les vrais serviteurs de Jésus-Christ ont été obligés par Dieu Lui-même à ne prêcher que ce qui est écrit (Apoc. 1 :1-3), et ils ne doivent rien retrancher ni ajouter à ce qui est écrit (Apoc. 22:18-20). Les sept tonnerres d’Apocalypse 10 retentiront seulement lorsque le Seigneur, en tant qu’Ange de l’alliance, descendra et posera Ses pieds sur la terre et sur la mer.
Krefeld : La vision avec le champ de blé et la moissonneuse-batteuse fut exceptionnelle. Cet événement a été le sujet de beaucoup de médisance. Il y a de nombreuses années, un frère a même écrit une brochure à ce propos, qui portait le titre : « L’acte de la moissonneuse-batteuse ». Dans cette brochure, je suis désigné comme l’antichrist, le séducteur etc. et je suis le sujet de beaucoup de moqueries. Je ne redonne, en présence de Dieu, que ce que j’ai vu et entendu : Je fus transporté en Esprit près d’un très vaste champ de blé très mûr et je vis les épis pleins, déjà jaunis par le soleil, qui se penchaient tous uniformément. Je sais que durant toute la période de la grâce, la Parole a été semée telle que la Semence et que dans chaque âge de l’Église a eu lieu la moisson des âmes des vainqueurs. Cependant, l’Écriture parle aussi de ce qui arrivera tout à la fin, lorsque le blé sera rassemblé dans les greniers célestes (Mat. 3 :12). Je remarquai qu’il n’y avait pas de mauvaise herbe sur toute l’étendue du champ de blé et en Esprit, je sus que l’ivraie avait déjà été arrachée, comme il est écrit : « Arrachez d’abord l’ivraie, et liez-la en gerbes… » (Mat. 13:30). Alors je regardai à gauche et je vis une moissonneuse-batteuse toute neuve. À cet instant même, le Seigneur parla d’une voix puissante : « Mon serviteur, la moissonneuse-batteuse t’est destinée, car tu dois engranger la moisson… » J’y allai immédiatement et montai sur la moissonneuse. Mais le ciel devint très sombre : cela ressemblait à un combat qui se déroulait dans les nuages déchaînés. Et je dis : « Seigneur fidèle, il est trop tard ; je ne peux pas engranger la moisson, les jugements s’abattent sur la terre. » Au même instant, le soleil perça avec force entre les nuages et brilla sur le champ de blé. Je me mis aussitôt à manœuvrer les leviers et commençai à moissonner. Alors que j’avais à peine terminé, le ciel s’obscurcit et aussitôt les craquements du tonnerre se firent entendre.
Krefeld : « Mon serviteur, annule le voyage en Inde ! » Je ne l’ai fait que lorsque le Seigneur me l’ordonna pour la deuxième fois. J’avais déjà retiré les billets à l’agence de voyage et je devais prendre le vol le vendredi, en octobre 1976. L’avion avec lequel je devais voyager de Bombay à Madras prit feu après le décollage et alla s’écraser, faisant périr les 96 passagers. Mon nom était sur la liste des passagers (ceci a été confirmé par un appel téléphonique du ministère des Affaires étrangères), cependant, ce n’était pas encore mon jour pour rentrer à la maison.
Edmonton, Canada : « Mon serviteur, Je t’ai choisi, conformément à Matthieu 24 :45 à 47, pour distribuer la nourriture au temps convenable. » Ceci fut pour moi la réponse venant de la bouche du Seigneur, après que, le jour précédent le frère Bablitz m’avait posé la question, si mon ministère se trouvait aussi dans la Bible, comme celui de frère Branham. Jusqu’à ce moment-là, je ne le savais pas moi-même. Ô, quelle fidélité de Dieu ! Amen. Le frère Branham m’avait dit, en effet, le 3 décembre 1962 : « Frère Frank, attends avant de distribuer la nourriture, jusqu’à ce que tu reçoives le reste. »
Krefeld : « Mon serviteur, quand l’action finale commencera, Je parlerai de nouveau avec toi. Alors Mon Esprit sera sanctifié en toi… » À cette occasion, la ville de Zürich a aussi été mentionnée. Je persiste à croire que Dieu fera Lui-même, à la fin, une œuvre brève et puissante, à laquelle nous aurons part : « Car le Seigneur exécutera pleinement et promptement sur la terre ce qu’Il a résolu » (Rom. 9 :28).
Krefeld : «Mon serviteur, quand les frontières s’ouvriront, J’appellerai l’Épouse des pays de l’Est… » Dans la vision, je me trouvais sur l’estrade dans une grande salle de festin. Beaucoup de personnes entrèrent et prirent place. Puis je vis qu’il y avait encore partout des chaises vides. À l’instant suivant, la voix du Seigneur retentit, venant d’en haut, à droite du lustre sous lequel je me tenais : « Mon serviteur, lorsque cela arrive, Ma venue est très, très proche » ! Alors je vis des groupes venant des pays de l’Est entrer l’un après l’autre de manière ordonnée. Le frère conducteur de chaque groupe venait me saluer, puis allait avec le reste du groupe dans la salle. Après que le dernier groupe fut entré, je jetai un regard sur la salle : maintenant, toutes les places étaient occupées. Je fis cette expérience treize ans avant la chute du mur de Berlin, en 1989, et de l’ouverture des frontières de l’Est. À l’époque, en 1976, personne ne s’imaginait que le bloc des pays de l’Est se dissoudrait et qu’il y aurait une réunification de l’Allemagne et de l’Europe.
Krefeld : « Mon serviteur, rends-toi sur le terrain adjacent, consacre-le Moi et construis dessus… » Le terrain à côté de notre église avait été un camp de prisonniers durant la seconde guerre mondiale et une clôture de 2,30 mètres de haut le séparait encore d’avec notre terrain. Je passai par la porte étroite qui mène au centre commercial pour me rendre sur le terrain, je m’agenouillai parmi les buissons et je consacrai ce lieu au Dieu des cieux, pour Son Église ici sur terre. Aujourd’hui, sur ce terrain se trouvent les bâtiments de la mission, l’imprimerie, le bureau, les pièces pour l’expédition et la piscine pour les baptêmes.
Krefeld : « Mon serviteur, vas trouver R.T., prends les anciens avec toi et lis-lui la parole que le prophète Ésaïe dit à Ézéchias. Il sera guéri (És. 38). » Frère Russ, frère Schmidt et moi, fîmes ce que le Seigneur avait ordonné et Dieu confirma Sa parole par un miracle de guérison !
Krefeld : « Mon serviteur, vas là-bas, prononce la Parole, car la femme croyante ne doit pas être ridiculisée devant son mari incroyant. » Une chère sœur avait fait 300 km pour venir à la réunion avec une voiture toute neuve ; toutefois, lorsqu’elle s’apprêta à repartir chez elle, le véhicule ne démarrait plus – pas même après que plusieurs professionnels d’entre nos frères, ainsi que le service de dépannage soient intervenus. J’étais en train de traverser la salle de prière lorsque la voix du Seigneur retentit. Personne ne peut s’imaginer quelle certitude, quel absolu s’ensuit quand une Parole provient de la bouche du Seigneur ! J’allai au dehors (quelques frères se trouvaient encore sur les lieux), je rencontrai la sœur et lui dis : « Vas à ta voiture, fais-la démarrer, car c’est ainsi que le Seigneur a dit. » La sœur objecta : « Mais, nous avons déjà tout essayé… » Je l’interrompis : « Ne parle pas, vas et fais ce qui t’a été dit au Nom du Seigneur ! » Aussitôt dit, aussitôt fait : La voiture démarra au premier contact et la sœur rentra chez elle avec sa voiture sans autre incident ! Le lendemain, le véhicule ne rendit plus aucun signe de démarrage et dut être remorqué chez un mécanicien. Là ils découvrirent que la pompe à essence était défectueuse et qu’il fallait la remplacer.
Krefeld : Le samedi 18 novembre 1978, vers 10 heures, le Seigneur me parla dans le bureau du Centre missionnaire : « Mon serviteur, sonde les Actes des apôtres, et vois si une seule fois un homme a été appelé au ministère avec sa femme. » Je pris ma Bible et lus dans les Actes des apôtres et je me rendis bientôt compte que même les sept hommes choisis pour s’occuper des veuves avaient été appelés sans leurs femmes. Par cette sommation, une prophétie qui avait été prononcée en mai 1976, à savoir que je devais consacrer un couple au ministère, (ce que je fis, pensant que cela était le Ainsi dit le Seigneur), fut démasquée par Dieu Lui-même comme étant fausse.
Krefeld : En décembre 1980, au cours d’un voyage missionnaire en Afrique, à Accra au Ghana, j’ai été piqué par des moustiques quatre fois en une nuit. Une fois de retour de voyage, le premier janvier, on m’emmena à l’hôpital, où la malaria fut diagnostiquée à un stade avancé. Trois jours plus tard, j’entendis les paroles que le médecin-chef, professeur Dr. Becker, adressa à ses collègues : « C’est trop tard. C’est trop tard. Il n’y a plus rien à faire à ce stade ; ni médicament, ni transfusion sanguine. » Je pouvais encore entendre, mais j’étais trop faible pour parler. Je sentais que la fin approchait et mon unique question était : « Seigneur, mon Sauveur, comment suis-je devant Toi ? » Et puis je fus enlevé de mon corps, je fus emporté dans un ciel d’azur et je vis une foule innombrable, habillée en blanc. Ils étaient tous dans la fleur de l’âge (Job 33:25). La diversité des couleurs de leurs cheveux était frappante. Toutes les sœurs avaient de longs cheveux lâchés. Nous étions enlevés majestueusement toujours plus haut. Puis je vis quelque chose qui ressemblait à une ligne de séparation horizontale, comme on peut le voir lors d’un lever de soleil au-dessus des nuages. Par l’Esprit, je savais que nous allions ensuite rencontrer le Seigneur dans les airs. C’est pourquoi je regardai vers le haut et je vis la Sainte Cité. Des ondes de bonheur glorieux envahissaient mon corps céleste. Je savais que ceci était l’enlèvement. Ma déception fut grande lorsque je revins dans mon corps terrestre.
Krefeld : « Mon serviteur, rassemble-Moi Mon peuple, tous ceux qui ont fait alliance avec Moi par le sacrifice. Je veux leur faire entendre Mes paroles… » Plus tard, je trouvai deux passages des Écritures qui expriment la même chose : Deutéronome 4 :10 : « Assemble auprès de moi le peuple ! Je veux leur faire entendre mes paroles… » et le Psaume 50:5-6 : « Rassemblez-moi mes fidèles, qui ont fait alliance avec moi par le sacrifice ! Et les cieux publieront sa justice, car c’est Dieu qui est juge ». Le peuple de Dieu qui est la véritable Église de la nouvelle Alliance, est rassemblé maintenant pour écouter la Parole de Dieu. Nous devons accepter ce que Dieu nous a offert par l’Alliance du Nouveau Testament : « … car ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est répandu pour beaucoup » (Mat. 26 :28). Celui qui appartient au peuple de Dieu viendra pour écouter les Paroles de Dieu. Tous les autres poursuivront leurs propres chemins. L’Écriture s’accomplit : « Celui qui est de Dieu écoute les paroles de Dieu ; vous n’écoutez pas, parce que vous n’êtes pas de Dieu » (Jean 8 :47).
Varna, Bulgarie : Le 15 juillet 1999 aux alentours de midi, pendant un voyage missionnaire, j’ai été enlevé hors de mon corps dans le Paradis : Je vis la plénitude de la lumière, composée des couleurs de l’arc-en-ciel, qui se mouvait harmonieusement. Je savais par l’Esprit que le Trône était plus haut sur ma droite, car de cet endroit la lumière jaillissante apparaissait plus couleur feu. À gauche, un chœur d’hommes chantait en allemand, les mains élevées, les paroles du Psaume 34 : « L’ange de l’Éternel campe autour de ceux qui le craignent, et il les arrache au danger. L’Ange de l’Éternel est ici maintenant ! Sentez et voyez combien l’Éternel est bon ! Heureux l’homme qui cherche en Lui son refuge ! » Frère Branham a dit 68 fois : « L’Ange du Seigneur est ici sur l’estrade » : C’était la présence du Seigneur dans la lumière surnaturelle.
Tout est grâce : l’appel, le mandat et les expériences qui y sont reliées. Il demeure vrai que le message doit précéder la seconde venue de Christ. Frère Branham l’a dit 17 fois, et rien ne peut annuler ce qui a été fixé avant la fondation du monde dans le Plan du salut divin : « J’annonce dès le commencement ce qui doit arriver, et longtemps d’avance ce qui n’est pas encore accompli ; Je dis : Mes arrêts subsisteront, et j’exécuterai toute ma volonté » (És. 46 :10).
En raison de la prédestination divine, j’ai pu exécuter mon mandat dans le Plan du salut jusqu’à ce jour. Fidèle à ce que le Seigneur m’ordonna le 2 avril 1962, j’organisai déjà des réunions dans 5 pays et dans 25 villes de l’Europe occidentale en 1966/67, peu après le départ dans la gloire de frère Branham. À partir de 1968, je voyageai aussi dans les pays de l’Europe de l’Est en passant par Moscou et jusqu’en Oural et en Sibérie. D’autres pays et d’autres continents suivirent. Je suis allé de ville en ville, d’un pays à l’autre, d’un continent à l’autre, et j’ai annoncé la Parole, comme le Seigneur me l’a ordonné, le 2 avril 1962 – même au Caire, à Damas, à Alep et à Beyrouth.
J’ai enseigné la parole de Dieu et prêché le message, également au Canada, aux États-Unis, en Amérique latine, en Afrique, en Asie, en Australie et en Nouvelle Zélande, et même à Pékin, où je fus reçu comme un invité officiel, au début des années 80. Le Seigneur fidèle a accordé Sa grâce à chaque voyage et Il a fait abonder Ses bénédictions. Je prends très au sérieux Son mandat, qui a été confirmé par frère Branham le 3 décembre 1962, devant plusieurs témoins : Je distribue la nourriture et je prêche la Parole de Dieu éternellement valable, partout où l’occasion se présente.
Pendant les 55 ans depuis cette extraordinaire expérience du 2 avril 1962, j’ai pu visiter 160 pays, pour certains à plusieurs reprises et dans plus de 650 villes. Les voyages missionnaires mensuels durant toute cette période de temps ont accumulé plus de 10 millions de miles. Je ne reste jamais plus d’un à deux jours au même endroit et tout au plus le temps de tenir 2 ou 3 réunions, et ensuite je continue dans la ville suivante, afin d’annoncer ce dernier message de la part de Dieu, jusqu’à ce que les derniers prédestinés soient appelés. Par des émissions TV, les pays que je n’ai pas encore pu visiter moi-même sont tout de même atteints. Ainsi, la bonne nouvelle du Royaume est prêchée dans le monde entier pour servir de témoignage à toutes les nations (Mat. 24:14) et pour appeler les élus à sortir (2 Cor. 6 :14-18), et alors viendra la fin ; c’est ce que le Seigneur a dit.
Durant toutes ces années, nous avons aussi eu ici au Centre missionnaire de nombreuses réunions bénies. Même si Satan, en 1979, a essayé de me détruire et de détruire la confiance dans le mandat divin ainsi que l’église et l’œuvre toute entière, par des calomnies et par la diffamation, nous avons poursuivi malgré tout le chemin, avec l’aide de Dieu, comme le Seigneur a déjà dit dans Ésaïe 54:17 : « Toute arme forgée contre toi sera sans effet ; et toute langue qui s’élèvera en justice contre toi, tu la condamneras. Tel est l’héritage des serviteurs de l’Éternel, tel est le salut qui leur viendra de moi, dit l’Éternel. »
Les vrais croyants ont pris la Parole de notre Seigneur à cœur : « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui reçoit celui que j’aurai envoyé me reçoit, et celui qui me reçoit, reçoit celui qui m’a envoyé » (Jean 13:20), et ils sont restés fidèles. Malheureusement, ceci aussi s’accomplit : « Mais tous n’ont pas obéi à la bonne nouvelle. Aussi Ésaïe dit-il : Seigneur, qui a cru à notre prédication ? » (Rom. 10 :16). J’ai dû comprendre qu’il en est du serviteur comme de son Seigneur et aussi d’autres serviteurs de Dieu, comme cela a été le cas en particulier pour Job et sa famille. L’apôtre Jacques écrivit : « Voici, nous disons bienheureux ceux qui ont souffert patiemment. Vous avez entendu parler de la patience de Job, et vous avez vu la fin que le Seigneur lui accorda (Job 42 :10), car le Seigneur est plein de miséricorde et de compassion » (Jacq. 5:11). Tout comme Job, l’Église connaîtra aussi une restauration en double mesure. Ce que le Seigneur déclara pour l’Église demeure vrai pour toujours : « ... et que les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle » (Mat. 16 :18).
Des frères et des sœurs du monde entier sont déjà venus à nos réunions internationales qui ont lieu chaque mois. De plus, maintenant, plus de 1700 petits groupes, comme aussi des assemblées entières, suivent par Internet dans plus de 170 pays. Le Dieu Tout-puissant a pris soin dans tous les domaines : pour les anciens et les diacres, pour la chorale et pour ceux qui jouent les instruments, qui enrichissent ainsi nos cultes ; pour les frères et sœurs qui maîtrisent plusieurs langues, afin que les réunions en direct et aussi les brochures puissent être traduites en 15 langues ; pour les collaborateurs efficaces dans la technique, dans l’imprimerie et à l’expédition. Dès le début, nous avons pu envoyer toutes les brochures, les livres, les CDs et les DVDs gratuitement dans le monde entier, car Dieu a toujours conduit des frères et sœurs à soutenir cette œuvre missionnaire universelle. IL n’a rien oublié. Qu’Il soit remercié pour cela.
Nous attendons sous peu l’œuvre finale de Dieu parmi les Siens, comme cela est écrit dans Jacques 5 :7-8 : « Soyez donc patients, frères, jusqu’à l’avènement du Seigneur. Voici, le laboureur attend le précieux fruit de la terre, prenant patience à son égard, jusqu’à ce qu’il ait reçu les pluies de la première et de l’arrière-saison. Vous aussi, soyez patients, affermissez vos cœurs, car l’avènement du Seigneur est proche. » Bienheureux tous ceux qui participent maintenant à ce que Dieu fait dans le présent !
Le dimanche 2 avril 2017, cela faisait exactement 55 ans depuis que le Seigneur fidèle m’a appelé, selon Sa volonté et conformément à Son plan du Salut. Paul a témoigné de son appel trois fois : précisément dans Actes 9, Actes 22 et Actes 26. Frère Branham également a témoigné de son appel assez souvent. Ceux qui trouvèrent grâce devant Dieu crurent ; les autres passèrent à côté de cela. La même chose se produit maintenant.
L’apôtre Paul se présente de la manière suivante: « Paul, serviteur de Jésus-Christ, appelé à être apôtre, mis à part pour annoncer l’Évangile de Dieu… » (Rom. 1 :1). L’apôtre Jacques aussi se présente comme un « serviteur » : « Jacques, serviteur de Dieu et du Seigneur Jésus-Christ… » (Jacq. 1 :1). L’apôtre Pierre fit de même : « Simon Pierre, serviteur et apôtre de Jésus-Christ, à ceux qui ont reçu en partage… » (2 Pi. 1 :1). Un fidèle serviteur exécute exactement toutes les instructions de son Seigneur, comme son Seigneur le lui ordonne.
Dans plusieurs lettres circulaires, j’ai aussi relaté les autres différentes expériences qui sont en relation directe avec le ministère dont le Rédempteur m’a chargé Lui-même. Plusieurs fois, Il m’a interpellé en disant « mon serviteur » et je peux nommer tous les lieux où et lorsque cela est arrivé. Pas une seule fois il a été question d’un rêve, mais à chaque fois, j’étais bien éveillé. Tout comme Paul, je peux attester devant Dieu et devant les hommes : « Et il arriva… » (Actes 22:6 – Roi Jacques). Qui peut comprendre ce que cela signifie d’entendre la voix pénétrante du Seigneur et quelle responsabilité, lorsqu’on reçoit directement Ses instructions ?
Krefeld : Mon témoignage de l’expérience extraordinaire du 2 avril 1962 vous est connu depuis des années. Au lever du jour, j’entendis la voix puissante du Seigneur : « Mon serviteur, le temps pour toi dans cette ville est bientôt fini. Je t’enverrai dans d’autres villes pour prêcher Ma Parole. » Je répondis : « Bien-aimé Seigneur, ils ne m’écouteront pas… » Sa réponse fut : « Mon serviteur, le temps vient où ils t’écouteront. Emmagasinez de la nourriture et des aliments, car il arrive une grande famine. Alors tu te tiendras au milieu du peuple et tu distribueras la nourriture… » et puis ont suivi les détails que je devais respecter. Les deux dernières choses que le Seigneur m’ordonna furent : « Mon serviteur, ne fonde pas d’églises locales et n’édite pas de recueil de cantiques, car ceci est un signe d’une dénomination... » Je suis convaincu que les églises locales sont bibliques, mais ce n’est pas mon devoir de fonder des églises dans d’autres villes ou dans d’autres pays. Et si chez nous, comme dans toutes les assemblées, il est d’usage de chanter des cantiques à partir d’un recueil, je n’ai pas le droit d’en éditer un de moi-même. J’ai suivi avec exactitude ce que le Seigneur a dit.
Marseille, France : « Mon serviteur, lève-toi et lis 2 Timothée chapitre 4, car je veux te parler… » Le soir précédent, on m’avait posé la question, qu’est-ce que les 7 tonnerres d’Apocalypse 10. Je n’avais pas su répondre. Le matin suivant, le Seigneur Lui-même me donna la réponse par l’Écriture Sainte : « Prêche la parole, insiste en toute occasion, favorable ou non, reprends, censure, exhorte, avec toute douceur et en instruisant… » Je posai alors ma Bible sur la table, levai mes mains et dis : « Bien-aimé Seigneur, aussi certain que Tu m’as ordonné de lire ce texte, de même il est certain que, ce que les 7 tonnerres ont dit n’a pas été écrit en tant que Parole de Dieu. Par conséquent, on ne peut pas prêcher à ce propos. » C’est Ainsi dit le Seigneur. Les vrais serviteurs de Jésus-Christ ont été obligés par Dieu Lui-même à ne prêcher que ce qui est écrit (Apoc. 1 :1-3), et ils ne doivent rien retrancher ni ajouter à ce qui est écrit (Apoc. 22:18-20). Les sept tonnerres d’Apocalypse 10 retentiront seulement lorsque le Seigneur, en tant qu’Ange de l’alliance, descendra et posera Ses pieds sur la terre et sur la mer.
Krefeld : La vision avec le champ de blé et la moissonneuse-batteuse fut exceptionnelle. Cet événement a été le sujet de beaucoup de médisance. Il y a de nombreuses années, un frère a même écrit une brochure à ce propos, qui portait le titre : « L’acte de la moissonneuse-batteuse ». Dans cette brochure, je suis désigné comme l’antichrist, le séducteur etc. et je suis le sujet de beaucoup de moqueries. Je ne redonne, en présence de Dieu, que ce que j’ai vu et entendu : Je fus transporté en Esprit près d’un très vaste champ de blé très mûr et je vis les épis pleins, déjà jaunis par le soleil, qui se penchaient tous uniformément. Je sais que durant toute la période de la grâce, la Parole a été semée telle que la Semence et que dans chaque âge de l’Église a eu lieu la moisson des âmes des vainqueurs. Cependant, l’Écriture parle aussi de ce qui arrivera tout à la fin, lorsque le blé sera rassemblé dans les greniers célestes (Mat. 3 :12). Je remarquai qu’il n’y avait pas de mauvaise herbe sur toute l’étendue du champ de blé et en Esprit, je sus que l’ivraie avait déjà été arrachée, comme il est écrit : « Arrachez d’abord l’ivraie, et liez-la en gerbes… » (Mat. 13:30). Alors je regardai à gauche et je vis une moissonneuse-batteuse toute neuve. À cet instant même, le Seigneur parla d’une voix puissante : « Mon serviteur, la moissonneuse-batteuse t’est destinée, car tu dois engranger la moisson… » J’y allai immédiatement et montai sur la moissonneuse. Mais le ciel devint très sombre : cela ressemblait à un combat qui se déroulait dans les nuages déchaînés. Et je dis : « Seigneur fidèle, il est trop tard ; je ne peux pas engranger la moisson, les jugements s’abattent sur la terre. » Au même instant, le soleil perça avec force entre les nuages et brilla sur le champ de blé. Je me mis aussitôt à manœuvrer les leviers et commençai à moissonner. Alors que j’avais à peine terminé, le ciel s’obscurcit et aussitôt les craquements du tonnerre se firent entendre.
Krefeld : « Mon serviteur, annule le voyage en Inde ! » Je ne l’ai fait que lorsque le Seigneur me l’ordonna pour la deuxième fois. J’avais déjà retiré les billets à l’agence de voyage et je devais prendre le vol le vendredi, en octobre 1976. L’avion avec lequel je devais voyager de Bombay à Madras prit feu après le décollage et alla s’écraser, faisant périr les 96 passagers. Mon nom était sur la liste des passagers (ceci a été confirmé par un appel téléphonique du ministère des Affaires étrangères), cependant, ce n’était pas encore mon jour pour rentrer à la maison.
Edmonton, Canada : « Mon serviteur, Je t’ai choisi, conformément à Matthieu 24 :45 à 47, pour distribuer la nourriture au temps convenable. » Ceci fut pour moi la réponse venant de la bouche du Seigneur, après que, le jour précédent le frère Bablitz m’avait posé la question, si mon ministère se trouvait aussi dans la Bible, comme celui de frère Branham. Jusqu’à ce moment-là, je ne le savais pas moi-même. Ô, quelle fidélité de Dieu ! Amen. Le frère Branham m’avait dit, en effet, le 3 décembre 1962 : « Frère Frank, attends avant de distribuer la nourriture, jusqu’à ce que tu reçoives le reste. »
Krefeld : « Mon serviteur, quand l’action finale commencera, Je parlerai de nouveau avec toi. Alors Mon Esprit sera sanctifié en toi… » À cette occasion, la ville de Zürich a aussi été mentionnée. Je persiste à croire que Dieu fera Lui-même, à la fin, une œuvre brève et puissante, à laquelle nous aurons part : « Car le Seigneur exécutera pleinement et promptement sur la terre ce qu’Il a résolu» (Rom. 9 :28).
Krefeld : « Mon serviteur, quand les frontières s’ouvriront, J’appellerai l’Épouse des pays de l’Est… » Dans la vision, je me trouvais sur l’estrade dans une grande salle de festin. Beaucoup de personnes entrèrent et prirent place. Puis je vis qu’il y avait encore partout des chaises vides. À l’instant suivant, la voix du Seigneur retentit, venant d’en haut, à droite du lustre sous lequel je me tenais : « Mon serviteur, lorsque cela arrive, Ma venue est très, très proche » ! Alors je vis des groupes venant des pays de l’Est entrer l’un après l’autre de manière ordonnée. Le frère conducteur de chaque groupe venait me saluer, puis allait avec le reste du groupe dans la salle. Après que le dernier groupe fut entré, je jetai un regard sur la salle : maintenant, toutes les places étaient occupées. Je fis cette expérience treize ans avant la chute du mur de Berlin, en 1989, et de l’ouverture des frontières de l’Est. À l’époque, en 1976, personne ne s’imaginait que le bloc des pays de l’Est se dissoudrait et qu’il y aurait une réunification de l’Allemagne et de l’Europe.
Krefeld : « Mon serviteur, rends-toi sur le terrain adjacent, consacre-le Moi et construis dessus… » Le terrain à côté de notre église avait été un camp de prisonniers durant la seconde guerre mondiale et une clôture de 2,30 mètres de haut le séparait encore d’avec notre terrain. Je passai par la porte étroite qui mène au centre commercial pour me rendre sur le terrain, je m’agenouillai parmi les buissons et je consacrai ce lieu au Dieu des cieux, pour Son Église ici sur terre. Aujourd’hui, sur ce terrain se trouvent les bâtiments de la mission, l’imprimerie, le bureau, les pièces pour l’expédition et la piscine pour les baptêmes.
Krefeld : « Mon serviteur, vas trouver R.T., prends les anciens avec toi et lis-lui la parole que le prophète Ésaïe dit à Ézéchias. Il sera guéri (És. 38). » Frère Russ, frère Schmidt et moi, fîmes ce que le Seigneur avait ordonné et Dieu confirma Sa parole par un miracle de guérison !
Krefeld : « Mon serviteur, vas là-bas, prononce la Parole, car la femme croyante ne doit pas être ridiculisée devant son mari incroyant. » Une chère sœur avait fait 300 km pour venir à la réunion avec une voiture toute neuve ; toutefois, lorsqu’elle s’apprêta à repartir chez elle, le véhicule ne démarrait plus – pas même après que plusieurs professionnels d’entre nos frères, ainsi que le service de dépannage soient intervenus. J’étais en train de traverser la salle de prière lorsque la voix du Seigneur retentit. Personne ne peut s’imaginer quelle certitude, quel absolu s’ensuit quand une Parole provient de la bouche du Seigneur ! J’allai au dehors (quelques frères se trouvaient encore sur les lieux), je rencontrai la sœur et lui dis : « Vas à ta voiture, fais-la démarrer, car c’est ainsi que le Seigneur a dit. » La sœur objecta : « Mais, nous avons déjà tout essayé… » Je l’interrompis : « Ne parle pas, vas et fais ce qui t’a été dit au Nom du Seigneur ! » Aussitôt dit, aussitôt fait : La voiture démarra au premier contact et la sœur rentra chez elle avec sa voiture sans autre incident ! Le lendemain, le véhicule ne rendit plus aucun signe de démarrage et dut être remorqué chez un mécanicien. Là ils découvrirent que la pompe à essence était défectueuse et qu’il fallait la remplacer.
Krefeld : Le samedi 18 novembre 1978, vers 10 heures, le Seigneur me parla dans le bureau du Centre missionnaire : « Mon serviteur, sonde les Actes des apôtres, et vois si une seule fois un homme a été appelé au ministère avec sa femme. » Je pris ma Bible et lus dans les Actes des apôtres et je me rendis bientôt compte que même les sept hommes choisis pour s’occuper des veuves avaient été appelés sans leurs femmes. Par cette sommation, une prophétie qui avait été prononcée en mai 1976, à savoir que je devais consacrer un couple au ministère, (ce que je fis, pensant que cela était le Ainsi dit le Seigneur), fut démasquée par Dieu Lui-même comme étant fausse.
Krefeld : En décembre 1980, au cours d’un voyage missionnaire en Afrique, à Accra au Ghana, j’ai été piqué par des moustiques quatre fois en une nuit. Une fois de retour de voyage, le premier janvier, on m’emmena à l’hôpital, où la malaria fut diagnostiquée à un stade avancé. Trois jours plus tard, j’entendis les paroles que le médecin-chef, professeur Dr. Becker, adressa à ses collègues : « C’est trop tard. C’est trop tard. Il n’y a plus rien à faire à ce stade ; ni médicament, ni transfusion sanguine. » Je pouvais encore entendre, mais j’étais trop faible pour parler. Je sentais que la fin approchait et mon unique question était : « Seigneur, mon Sauveur, comment suis-je devant Toi ? » Et puis je fus enlevé de mon corps, je fus emporté dans un ciel d’azur et je vis une foule innombrable, habillée en blanc. Ils étaient tous dans la fleur de l’âge (Job 33:25). La diversité des couleurs de leurs cheveux était frappante. Toutes les sœurs avaient de longs cheveux lâchés. Nous étions enlevés majestueusement toujours plus haut. Puis je vis quelque chose qui ressemblait à une ligne de séparation horizontale, comme on peut le voir lors d’un lever de soleil au-dessus des nuages. Par l’Esprit, je savais que nous allions ensuite rencontrer le Seigneur dans les airs. C’est pourquoi je regardai vers le haut et je vis la Sainte Cité. Des ondes de bonheur glorieux envahissaient mon corps céleste. Je savais que ceci était l’enlèvement. Ma déception fut grande lorsque je revins dans mon corps terrestre.
Krefeld : « Mon serviteur, rassemble-Moi Mon peuple, tous ceux qui ont fait alliance avec Moi par le sacrifice. Je veux leur faire entendre Mes paroles… » Plus tard, je trouvai deux passages des Écritures qui expriment la même chose : Deutéronome 4 :10 : « Assemble auprès de moi le peuple ! Je veux leur faire entendre mes paroles… » et le Psaume 50:5-6 : « Rassemblez-moi mes fidèles, qui ont fait alliance avec moi par le sacrifice !Et les cieux publieront sa justice, car c’est Dieu qui est juge ». Le peuple de Dieu qui est la véritable Église de la nouvelle Alliance, est rassemblé maintenant pour écouter la Parole de Dieu. Nous devons accepter ce que Dieu nous a offert par l’Alliance du Nouveau Testament : « … car ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est répandu pour beaucoup » (Mat. 26 :28). Celui qui appartient au peuple de Dieu viendra pour écouter les Paroles de Dieu. Tous les autres poursuivront leurs propres chemins. L’Écriture s’accomplit : « Celui qui est de Dieu écoute les paroles de Dieu ; vous n’écoutez pas, parce que vous n’êtes pas de Dieu » (Jean 8 :47).
Varna, Bulgarie : Le 15 juillet 1999 aux alentours de midi, pendant un voyage missionnaire, j’ai été enlevé hors de mon corps dans le Paradis : Je vis la plénitude de la lumière, composée des couleurs de l’arc-en-ciel, qui se mouvait harmonieusement. Je savais par l’Esprit que le Trône était plus haut sur ma droite, car de cet endroit la lumière jaillissante apparaissait plus couleur feu. À gauche, un chœur d’hommes chantait en allemand, les mains élevées, les paroles du Psaume 34 : « L’ange de l’Éternel campe autour de ceux qui le craignent, et il les arrache au danger. L’Ange de l’Éternel est ici maintenant ! Sentez et voyez combien l’Éternel est bon ! Heureux l’homme qui cherche en Lui son refuge ! » Frère Branham a dit 68 fois : « L’Ange du Seigneur est ici sur l’estrade » : C’était la présence du Seigneur dans la lumière surnaturelle.
Tout est grâce : l’appel, le mandat et les expériences qui y sont reliées. Il demeure vrai que le message doit précéder la seconde venue de Christ. Frère Branham l’a dit 17 fois, et rien ne peut annuler ce qui a été fixé avant la fondation du monde dans le Plan du salut divin : « J’annonce dès le commencement ce qui doit arriver, et longtemps d’avance ce qui n’est pas encore accompli ; Je dis : Mes arrêts subsisteront, et j’exécuterai toute ma volonté » (És. 46 :10).
En raison de la prédestination divine, j’ai pu exécuter mon mandat dans le Plan du salut jusqu’à ce jour. Fidèle à ce que le Seigneur m’ordonna le 2 avril 1962, j’organisai déjà des réunions dans 5 pays et dans 25 villes de l’Europe occidentale en 1966/67, peu après le départ dans la gloire de frère Branham. À partir de 1968, je voyageai aussi dans les pays de l’Europe de l’Est en passant par Moscou et jusqu’en Oural et en Sibérie. D’autres pays et d’autres continents suivirent. Je suis allé de ville en ville, d’un pays à l’autre, d’un continent à l’autre, et j’ai annoncé la Parole, comme le Seigneur me l’a ordonné, le 2 avril 1962 – même au Caire, à Damas, à Alep et à Beyrouth.
J’ai enseigné la parole de Dieu et prêché le message, également au Canada, aux États-Unis, en Amérique latine, en Afrique, en Asie, en Australie et en Nouvelle Zélande, et même à Pékin, où je fus reçu comme un invité officiel, au début des années 80. Le Seigneur fidèle a accordé Sa grâce à chaque voyage et Il a fait abonder Ses bénédictions. Je prends très au sérieux Son mandat, qui a été confirmé par frère Branham le 3 décembre 1962, devant plusieurs témoins : Je distribue la nourriture et je prêche la Parole de Dieu éternellement valable, partout où l’occasion se présente.
Pendant les 55 ans depuis cette extraordinaire expérience du 2 avril 1962, j’ai pu visiter 160 pays, pour certains à plusieurs reprises et dans plus de 650 villes. Les voyages missionnaires mensuels durant toute cette période de temps ont accumulé plus de 10 millions de miles. Je ne reste jamais plus d’un à deux jours au même endroit et tout au plus le temps de tenir 2 ou 3 réunions, et ensuite je continue dans la ville suivante, afin d’annoncer ce dernier message de la part de Dieu, jusqu’à ce que les derniers prédestinés soient appelés. Par des émissions TV, les pays que je n’ai pas encore pu visiter moi-même sont tout de même atteints. Ainsi, la bonne nouvelle du Royaume est prêchée dans le monde entier pour servir de témoignage à toutes les nations (Mat. 24:14) et pour appeler les élus à sortir (2 Cor. 6 :14-18), et alors viendra la fin ; c’est ce que le Seigneur a dit.
Durant toutes ces années, nous avons aussi eu ici au Centre missionnaire de nombreuses réunions bénies. Même si Satan, en 1979, a essayé de me détruire et de détruire la confiance dans le mandat divin ainsi que l’église et l’œuvre toute entière, par des calomnies et par la diffamation, nous avons poursuivi malgré tout le chemin, avec l’aide de Dieu, comme le Seigneur a déjà dit dans Ésaïe 54:17 : « Toute arme forgée contre toi sera sans effet ; et toute langue qui s’élèvera en justice contre toi, tu la condamneras. Tel est l’héritage des serviteurs de l’Éternel, tel est le salut qui leur viendra de moi, dit l’Éternel. »
Les vrais croyants ont pris la Parole de notre Seigneur à cœur : « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui reçoit celui que j’aurai envoyé me reçoit, et celui qui me reçoit, reçoit celui qui m’a envoyé » (Jean 13:20), et ils sont restés fidèles. Malheureusement, ceci aussi s’accomplit : « Mais tous n’ont pas obéi à la bonne nouvelle. Aussi Ésaïe dit-il : Seigneur, qui a cru à notre prédication ?» (Rom. 10 :16). J’ai dû comprendre qu’il en est du serviteur comme de son Seigneur et aussi d’autres serviteurs de Dieu, comme cela a été le cas en particulier pour Job et sa famille. L’apôtre Jacques écrivit : « Voici, nous disons bienheureux ceux qui ont souffert patiemment. Vous avez entendu parler de la patience de Job, et vous avez vu la fin que le Seigneur lui accorda (Job 42 :10), *car le Seigneur est plein de miséricorde et de compassion» (Jacq. 5:11). Tout comme Job, l’Église connaîtra aussi une restauration en double mesure. Ce que le Seigneur déclara pour l’Église demeure vrai pour toujours : *« ... et que les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle » (Mat. 16 :18).
Des frères et des sœurs du monde entier sont déjà venus à nos réunions internationales qui ont lieu chaque mois. De plus, maintenant, plus de 1700 petits groupes, comme aussi des assemblées entières, suivent par Internet dans plus de 170 pays. Le Dieu Tout-puissant a pris soin dans tous les domaines : pour les anciens et les diacres, pour la chorale et pour ceux qui jouent les instruments, qui enrichissent ainsi nos cultes ; pour les frères et sœurs qui maîtrisent plusieurs langues, afin que les réunions en direct et aussi les brochures puissent être traduites en 15 langues ; pour les collaborateurs efficaces dans la technique, dans l’imprimerie et à l’expédition. Dès le début, nous avons pu envoyer toutes les brochures, les livres, les CDs et les DVDs gratuitement dans le monde entier, car Dieu a toujours conduit des frères et sœurs à soutenir cette œuvre missionnaire universelle. IL n’a rien oublié. Qu’Il soit remercié pour cela.
Nous attendons sous peu l’œuvre finale de Dieu parmi les Siens, comme cela est écrit dans Jacques 5 :7-8 : « Soyez donc patients, frères, jusqu’à l’avènement du Seigneur. Voici, le laboureur attend le précieux fruit de la terre, prenant patience à son égard, jusqu’à ce qu’il ait reçu les pluies de la première et de l’arrière-saison. Vous aussi, soyez patients, affermissez vos cœurs, car l’avènement du Seigneur est proche. » Bienheureux tous ceux qui participent maintenant à ce que Dieu fait dans le présent !