Lettre circulaire Décembre 2012

La marque d’identification

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«C’est en cela que se révèlent les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice et n’aime pas son frère, n’est point de Dieu. Car le message que vous avez entendu dès le commencement, c’est que nous nous aimions les uns les autres…» (1 Jean 3:10-11 – Version Ostervald). Cette parole démontre clairement en quoi les enfants de Dieu et les enfants du diable sont reconnaissables (Matt. 13:38), à savoir tout particulièrement par l’amour fraternel. Nous aussi nous avons entendu le message original, celui qui était dès le commencement. Où la Parole nous place-t-elle? Durant sa vie, le messager fut une fois ravi dans le paradis et là-bas, il entendit ces paroles pénétrantes: «Only perfect love will enter here!» – «Seul l’amour parfait entrera ici!»

En effet, cela est très sérieux: «Quiconque hait son frère est un meurtrier, et vous savez qu’aucun meurtrier n’a la vie éternelle demeurant en lui» (1  Jean 3:9-15). «Quiconque hait son frère…» est semblable à un meurtrier; cela nous ramène à Caïn (Gen. 4). La haine est l’opposé de l’amour; la haine rejette, l’amour reçoit. Oui, le Seigneur parle avec plus d’insistance encore: «Si quelqu’un dit: J’aime Dieu, et qu’il haïsse son frère, c’est un menteur; car celui qui n’aime pas son frère qu’il voit, comment peut-il aimer Dieu qu’il ne voit pas?» (1  Jean 4:20). Les élus prennent à cœur de telles déclarations et ils s’examinent eux-mêmes. Les autres ne se sentiront pas du tout concernés. Ils continueront d’aimer à la manière de Caïn (1 Jean 3:12). Caïn et Abel étaient dans le même sein maternel, comme aussi Ésaü et Jacob: l’un fut agréé, l’autre rejeté. Au jour de l’enlèvement, deux seront dans un lit, l’un sera pris et l’autre laissé (Luc 17:34).

Par Ésaü et Jacob, Dieu nous a démontré de Son point de vue ce que signifie l’acceptation et le rejet, ainsi que l’amour et la haine. «Oracle, parole de l’Éternel à Israël par Malachie. Je vous ai aimés, dit l’Éternel. Et vous dites: En quoi nous as-tu aimés? Ésaü n’est-il pas frère de Jacob? dit l’Éternel. Cependant j’ai aimé Jacob, et j’ai eu de la haine pour Ésaü…» (Mal. 1:1-3; Rom. 9:13).

Jacob voulait obtenir le droit d’aînesse sur lequel reposait, depuis le début, la bénédiction de Dieu (Gen. 25:29-34). Il ne signifia rien pour Ésaü, tandis que Jacob le voulait à tout prix. Dieu est amour. Sa haine envers Ésaü consistait dans le rejet. Lui-même a dit: «J’ai aimé Jacob (accepté), et j’ai eu de la haine pour Ésaü (rejeté).» Tout d’abord, c’est Ésaü qui a rejeté Dieu en ce qu’il dédaigna le droit d’aînesse. Ensuite, il commença à persécuter Jacob. Il en est encore ainsi aujourd’hui: celui qui abandonne le droit d’aînesse ou ne l’a pas encore obtenu, persécute celui qui l’a reçu par grâce; jamais le contraire.

Dieu n’agit pas arbitrairement et n’oblige personne à recevoir les bénédictions du droit d’aînesse que nous obtenons uniquement en Jésus-Christ, le premier-né entre plusieurs frères (Rom. 8:28-30). Jacob lutta avec Dieu et s’exclama: «Je ne te laisserai point aller, que tu ne m’aies béni» (Gen. 32:22-32). Le trompeur devint Israël – celui qui combat avec Dieu. Quiconque est né de Dieu a le droit d’aînesse et il est une nouvelle créature en Christ (2 Cor. 5:17).

Ceci demeure vrai pour toujours: Quiconque est né de Dieu, croit Dieu ainsi que Sa parole et ne peut pécher par incrédulité, «… parce qu’il est né de Dieu» (1 Jean 3:9). Le péché originel de l’incrédulité et de la désobéissance qui s’ensuit est une fois pour toute réglé par la foi et l’obéissance véritable. Abraham crut (Gen. 15:6) et Abraham obéit à Dieu (Gen. 22:16), ainsi maintenant la semence d’Abraham croit et obéit à Dieu exactement de la même manière (Ga. 3:6-20; Jacq. 2:21-26). Aussi certain que la tête du serpent a été écrasée (Gen. 3:15) et que notre foi est devenue la victoire qui triomphe du monde (1 Jean 5:4), il est tout aussi certain que nous avons reçu la nature divine, la nature de Jésus-Christ, par la nouvelle naissance et «… Sa semence demeure en nous.»

Qu’est-ce que la semence divine? La semence est la Parole de Dieu dans laquelle se trouve le germe de vie (Luc 8:11). Les véritables enfants de Dieu demeurent dans la Parole, la Parole semée dans la bonne terre germe (Marc 4:26-29), elle porte du fruit et demeure en eux (Jean 15:5-7). «Il nous a engendrés /faits naître selon sa volonté, par la parole de vérité, afin que nous soyons en quelque sorte les prémices de ses créatures» (Jacq. 1:18). La Parole écrite est devenue Parole révélée (Rom. 10:16-17), par laquelle nous sommes nés pour une espérance vivante (1 Pierre 1:3 + 23). «Mais celui qui garde sa parole, l’amour de Dieu est véritablement parfait en lui…» (1 Jean 2:5) et: «Personne n’a jamais vu Dieu; si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous, et son amour est parfait en nous» (1 Jean 4:12) – en nous jusqu’à l’achèvement! Amen.

Oh, de telles paroles pénètrent si profondément dans nos cœurs! Ce n’est que dans l’amour de Dieu que tous ceux qui appartiennent à l’Église-Épouse atteindront leur perfectionnement, car comme il a été dit au prophète de notre temps, seul l’amour parfait entre là-bas.

Le message divin contenant la partie évangélique, doctrinale et prophétique, ainsi que les expériences du salut, sont aujourd’hui les mêmes qu’au temps des apôtres. La première et la dernière prédication, le premier et le dernier baptême doivent être identiques (Actes 2:37-42). «Un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême» (Éph. 4). Le commandement principal pour tous les enfants de Dieu reste en effet l’amour qui est mis en pratique, comme signe par lequel on reconnaît que Dieu demeure en nous. Toutes les autres choses ne sont que des prétentions sans fondement, des présomptions religieuses et des illusions. Les deux choses existent toujours: la théorie et la réalité. Il y a par exemple l’enseignement sur la conversion et la nouvelle naissance et puis, il y a l’expérience personnelle de la conversion et de la nouvelle naissance. Un véritable enfant de Dieu né de nouveau aura la vie et la nature de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, et portera les fruits du Saint-Esprit.

«C’est en cela que se révèlent les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice et n’aime pas son frère, n’est point de Dieu. Car le message que vous avez entendu dès le commencement, c’est que nous nous aimions les uns les autres…» (1 Jean 3:10-11 – Version Ostervald). Cette parole démontre clairement en quoi les enfants de Dieu et les enfants du diable sont reconnaissables (Matt. 13:38), à savoir tout particulièrement par l’amour fraternel. Nous aussi nous avons entendu le message original, celui qui était dès le commencement. Où la Parole nous place-t-elle? Durant sa vie, le messager fut une fois ravi dans le paradis et là-bas, il entendit ces paroles pénétrantes: «Only perfect love will enter here!» – «Seul l’amour parfait entrera ici!»

En effet, cela est très sérieux: «Quiconque hait son frère est un meurtrier, et vous savez qu’aucun meurtrier n’a la vie éternelle demeurant en lui» (1  Jean 3:9-15). «Quiconque hait son frère…» est semblable à un meurtrier; cela nous ramène à Caïn (Gen. 4). La haine est l’opposé de l’amour; la haine rejette, l’amour reçoit. Oui, le Seigneur parle avec plus d’insistance encore: «Si quelqu’un dit: J’aime Dieu, et qu’il haïsse son frère, c’est un menteur; car celui qui n’aime pas son frère qu’il voit, comment peut-il aimer Dieu qu’il ne voit pas?» (1  Jean 4:20). Les élus prennent à cœur de telles déclarations et ils s’examinent eux-mêmes. Les autres ne se sentiront pas du tout concernés. Ils continueront d’aimer à la manière de Caïn (1 Jean 3:12). Caïn et Abel étaient dans le même sein maternel, comme aussi Ésaü et Jacob: l’un fut agréé, l’autre rejeté. Au jour de l’enlèvement, deux seront dans un lit, l’un sera pris et l’autre laissé (Luc 17:34).

Par Ésaü et Jacob, Dieu nous a démontré de Son point de vue ce que signifie l’acceptation et le rejet, ainsi que l’amour et la haine. «Oracle, parole de l’Éternel à Israël par Malachie. Je vous ai aimés, dit l’Éternel. Et vous dites: En quoi nous as-tu aimés? Ésaü n’est-il pas frère de Jacob? dit l’Éternel. Cependant j’ai aimé Jacob, et j’ai eu de la haine pour Ésaü…» (Mal. 1:1-3; Rom. 9:13).

Jacob voulait obtenir le droit d’aînesse sur lequel reposait, depuis le début, la bénédiction de Dieu (Gen. 25:29-34). Il ne signifia rien pour Ésaü, tandis que Jacob le voulait à tout prix. Dieu est amour. Sa haine envers Ésaü consistait dans le rejet. Lui-même a dit: «J’ai aimé Jacob (accepté), et j’ai eu de la haine pour Ésaü (rejeté).» Tout d’abord, c’est Ésaü qui a rejeté Dieu en ce qu’il dédaigna le droit d’aînesse. Ensuite, il commença à persécuter Jacob. Il en est encore ainsi aujourd’hui: celui qui abandonne le droit d’aînesse ou ne l’a pas encore obtenu, persécute celui qui l’a reçu par grâce; jamais le contraire.

Dieu n’agit pas arbitrairement et n’oblige personne à recevoir les bénédictions du droit d’aînesse que nous obtenons uniquement en Jésus-Christ, le premier-né entre plusieurs frères (Rom. 8:28-30). Jacob lutta avec Dieu et s’exclama: «Je ne te laisserai point aller, que tu ne m’aies béni» (Gen. 32:22-32). Le trompeur devint Israël – celui qui combat avec Dieu. Quiconque est né de Dieu a le droit d’aînesse et il est une nouvelle créature en Christ (2 Cor. 5:17).

Ceci demeure vrai pour toujours: Quiconque est né de Dieu, croit Dieu ainsi que Sa parole et ne peut pécher par incrédulité, «… parce qu’il est né de Dieu» (1 Jean 3:9). Le péché originel de l’incrédulité et de la désobéissance qui s’ensuit est une fois pour toute réglé par la foi et l’obéissance véritable. Abraham crut (Gen. 15:6) et Abraham obéit à Dieu (Gen. 22:16), ainsi maintenant la semence d’Abraham croit et obéit à Dieu exactement de la même manière (Ga. 3:6-20; Jacq. 2:21-26). Aussi certain que la tête du serpent a été écrasée (Gen. 3:15) et que notre foi est devenue la victoire qui triomphe du monde (1 Jean 5:4), il est tout aussi certain que nous avons reçu la nature divine, la nature de Jésus-Christ, par la nouvelle naissance et «… Sa semence demeure en nous.»

Qu’est-ce que la semence divine? La semence est la Parole de Dieu dans laquelle se trouve le germe de vie (Luc 8:11). Les véritables enfants de Dieu demeurent dans la Parole, la Parole semée dans la bonne terre germe (Marc 4:26-29), elle porte du fruit et demeure en eux (Jean 15:5-7). «Il nous a engendrés /faits naître selon sa volonté, par la parole de vérité, afin que nous soyons en quelque sorte les prémices de ses créatures» (Jacq. 1:18). La Parole écrite est devenue Parole révélée (Rom. 10:16-17), par laquelle nous sommes nés pour une espérance vivante (1 Pierre 1:3 + 23). «Mais celui qui garde sa parole, l’amour de Dieu est véritablement parfait en lui…» (1 Jean 2:5) et: «Personne n’a jamais vu Dieu; si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous, et son amour est parfait en nous» (1 Jean 4:12) – en nous jusqu’à l’achèvement! Amen.

Oh, de telles paroles pénètrent si profondément dans nos cœurs! Ce n’est que dans l’amour de Dieu que tous ceux qui appartiennent à l’Église-Épouse atteindront leur perfectionnement, car comme il a été dit au prophète de notre temps, seul l’amour parfait entre là-bas.

Le message divin contenant la partie évangélique, doctrinale et prophétique, ainsi que les expériences du salut, sont aujourd’hui les mêmes qu’au temps des apôtres. La première et la dernière prédication, le premier et le dernier baptême doivent être identiques (Actes 2:37-42). «Un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême» (Éph. 4). Le commandement principal pour tous les enfants de Dieu reste en effet l’amour qui est mis en pratique, comme signe par lequel on reconnaît que Dieu demeure en nous. Toutes les autres choses ne sont que des prétentions sans fondement, des présomptions religieuses et des illusions. Les deux choses existent toujours: la théorie et la réalité. Il y a par exemple l’enseignement sur la conversion et la nouvelle naissance et puis, il y a l’expérience personnelle de la conversion et de la nouvelle naissance. Un véritable enfant de Dieu né de nouveau aura la vie et la nature de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, et portera les fruits du Saint-Esprit.