Lettre circulaire N° 33 – Janvier 1987
Comme chacun de ceux qui ont été appelés par Dieu pour un ministère, ainsi moi aussi je ne peux faire que ce qu’Il m’a ordonné. Je ne peux pas simplement imiter ce que d’autres ont fait, mais je dois accomplir mon ministère selon l’ordre divin reçu. En lisant les Saintes Ecritures, nous constatons que chaque vrai homme de Dieu avait des tâches tout à fait différentes à accomplir.
Le prophète Noé n’a fait ni signe ni miracle, il a simplement bâti l’arche ainsi que le Seigneur le lui avait dit (Gen. 6:22).
Abraham n’était pas un prophète venu prêcher la repentance au milieu du peuple. Il ne fit également que ce que le Seigneur lui avait ordonné et il se mit en route pour la Terre promise. Le ministère de Moïse fut tout à fait différent. Par lui eurent lieu de puissants signes et miracles car Dieu en avait ainsi décidé. Moïse agit selon ce qui lui avait été ordonné.
Le ministère de Josué se distingua de nouveau de celui de tous les autres. Cependant lui aussi exécuta exactement ce qui lui avait été ordonné.
Elie et Elisée firent eux aussi des signes et des miracles puissants. Comme Elisée avait demandé la double portion, il accomplit exactement deux fois plus de miracles qu’Elie.
Le prophète Esaïe a mis par écrit au cours des 66 chapitres l’ensemble de l’histoire du salut comme on ne la trouve plus dans tout l’Ancien Testament. Cependant pas une seule confirmation divine de son ministère n’est mentionnée. C’est pourtant lui qui a écrit sur la naissance de Jésus, sur le ministère de Jean-Baptiste, les souffrances de notre Rédempteur, et même sur un nouveau ciel et une nouvelle terre. Celui qui le comparerait à Moïse pourrait demander: «Où donc se trouve la confirmation de son ministère?».
Passons à Jérémie et Ezéchiel qui ont eux aussi pour une part contribué à l’histoire du salut et à son déroulement; prenons les prophètes, de Daniel à Malachie, et nous verrons que tous ont exécuté ce que Dieu leur avait ordonné de faire, et écrit ce qui leur avait été donné par inspiration divine. Aucun d’eux n’a copié l’autre, chacun avait reçu un appel originel et un ministère correspondant au plan et à la volonté de Dieu. On n’a pas le droit de les classer ou de donner un rang à aucun d’eux, disant que l’un aurait été grand, l’autre petit, et que Dieu aurait confirmé ici et non pas là. La première chose qu’un enfant de Dieu doit avoir est le respect devant une décision divine, et dans ce cas-ci il doit l’avoir à l’égard d’un appel céleste. Tous ceux qui veulent subsister devant Dieu auront ce même respect à l’égard de ceux que le Seigneur a établis et mandatés.
Lorsque nous passons au Nouveau Testament nous rencontrons en premier le ministère de Jean-Baptiste. Il n’avait aucun signe ou miracle à montrer mais il a annoncé la Parole de l’heure, le message de Dieu pour ce moment-là, et il a frayé le chemin du Seigneur. Jésus Luimême dit de Jean-Baptiste: “Parmi ceux qui sont nés de femmes, il n’en a été suscité aucun de plus grand que Jean le Baptiseur” (Mat. 11:11). De même dans les Actes des apôtres, ainsi que dans les épîtres, nous rencontrons la multiplicité des ministères correspondant à leur appel. La tâche d’un Paul était autre que celle d’un Pierre. Il ne nous a pas été rapporté la même chose d’un Timothée ou d’un Tite que d’un Pierre et d’un Paul. Cependant ces serviteurs de Dieu avaient tous une chose en commun: la même Parole et la même révélation, car ils puisaient à la même source.
Personne ne peut attendre de moi que j’imite le ministère de frère Branham, mais chacun peut être sûr que je proclame le pur message divin que le Seigneur a maintes fois confirmé. Comme frère Branham pouvait dire: «J’ai prêché la même Parole que Paul a prêchée» et que des millions s’exclamèrent: «C’est là-dessus que nous nous reposons!», moi aussi je peux dire: «Ce que Paul et frère Branham ont annoncé, c’est cela même que j’ai prêché!». Si je voulais consigner par écrit les nombreux témoignages de guérisons et de confirmations surnaturelles, celles-ci rempliraient une brochure supplémentaire. Je voudrais juste mentionner un miracle de guérison marquant que nous avons expérimenté dernièrement. En avril de l’année dernière nous avons reçu une demande de prière d’un frère et d’une soeur de Tchécoslovaquie. Leur unique enfant était malade depuis deux ans; il avait été abandonné par les médecins et était voué à une mort certaine. Sa guérison qui eut lieu un mercredi soir fut un exaucement direct de prière.
Ces dernières années, je me suis principalement consacré au travail de traduction et à la prédication. Plus nous nous approchons de la fin, plus la confirmation surnaturelle parmi ceux qui écoutent et croient la Parole ira en augmentant. Le 3:12.1962, alors que nous étions déjà revenus à la voiture, j’ai demandé à frère Branham si moi aussi je pouvais prier pour les malades. Il me répondit mot pour mot: «Frère Frank, quiconque a été appelé pour annoncer l’Evangile a aussi été appelé à prier pour les malades». Ensuite il me serra dans ses bras et me bénit en priant.
Comme chacun de ceux qui ont été appelés par Dieu pour un ministère, ainsi moi aussi je ne peux faire que ce qu’Il m’a ordonné. Je ne peux pas simplement imiter ce que d’autres ont fait, mais je dois accomplir mon ministère selon l’ordre divin reçu. En lisant les Saintes Ecritures, nous constatons que chaque vrai homme de Dieu avait des tâches tout à fait différentes à accomplir.
Le prophète Noé n’a fait ni signe ni miracle, il a simplement bâti l’arche ainsi que le Seigneur le lui avait dit (Gen. 6:22).
Abraham n’était pas un prophète venu prêcher la repentance au milieu du peuple. Il ne fit également que ce que le Seigneur lui avait ordonné et il se mit en route pour la Terre promise. Le ministère de Moïse fut tout à fait différent. Par lui eurent lieu de puissants signes et miracles car Dieu en avait ainsi décidé. Moïse agit selon ce qui lui avait été ordonné.
Le ministère de Josué se distingua de nouveau de celui de tous les autres. Cependant lui aussi exécuta exactement ce qui lui avait été ordonné.
Elie et Elisée firent eux aussi des signes et des miracles puissants. Comme Elisée avait demandé la double portion, il accomplit exactement deux fois plus de miracles qu’Elie.
Le prophète Esaïe a mis par écrit au cours des 66 chapitres l’ensemble de l’histoire du salut comme on ne la trouve plus dans tout l’Ancien Testament. Cependant pas une seule confirmation divine de son ministère n’est mentionnée. C’est pourtant lui qui a écrit sur la naissance de Jésus, sur le ministère de Jean-Baptiste, les souffrances de notre Rédempteur, et même sur un nouveau ciel et une nouvelle terre. Celui qui le comparerait à Moïse pourrait demander: «Où donc se trouve la confirmation de son ministère?».
Passons à Jérémie et Ezéchiel qui ont eux aussi pour une part contribué à l’histoire du salut et à son déroulement; prenons les prophètes, de Daniel à Malachie, et nous verrons que tous ont exécuté ce que Dieu leur avait ordonné de faire, et écrit ce qui leur avait été donné par inspiration divine. Aucun d’eux n’a copié l’autre, chacun avait reçu un appel originel et un ministère correspondant au plan et à la volonté de Dieu. On n’a pas le droit de les classer ou de donner un rang à aucun d’eux, disant que l’un aurait été grand, l’autre petit, et que Dieu aurait confirmé ici et non pas là. La première chose qu’un enfant de Dieu doit avoir est le respect devant une décision divine, et dans ce cas-ci il doit l’avoir à l’égard d’un appel céleste. Tous ceux qui veulent subsister devant Dieu auront ce même respect à l’égard de ceux que le Seigneur a établis et mandatés.
Lorsque nous passons au Nouveau Testament nous rencontrons en premier le ministère de Jean-Baptiste. Il n’avait aucun signe ou miracle à montrer mais il a annoncé la Parole de l’heure, le message de Dieu pour ce moment-là, et il a frayé le chemin du Seigneur. Jésus Luimême dit de Jean-Baptiste: “Parmi ceux qui sont nés de femmes, il n’en a été suscité aucun de plus grand que Jean le Baptiseur” (Mat. 11:11). De même dans les Actes des apôtres, ainsi que dans les épîtres, nous rencontrons la multiplicité des ministères correspondant à leur appel. La tâche d’un Paul était autre que celle d’un Pierre. Il ne nous a pas été rapporté la même chose d’un Timothée ou d’un Tite que d’un Pierre et d’un Paul. Cependant ces serviteurs de Dieu avaient tous une chose en commun: la même Parole et la même révélation, car ils puisaient à la même source.
Personne ne peut attendre de moi que j’imite le ministère de frère Branham, mais chacun peut être sûr que je proclame le pur message divin que le Seigneur a maintes fois confirmé. Comme frère Branham pouvait dire: «J’ai prêché la même Parole que Paul a prêchée» et que des millions s’exclamèrent: «C’est là-dessus que nous nous reposons!», moi aussi je peux dire: «Ce que Paul et frère Branham ont annoncé, c’est cela même que j’ai prêché!». Si je voulais consigner par écrit les nombreux témoignages de guérisons et de confirmations surnaturelles, celles-ci rempliraient une brochure supplémentaire. Je voudrais juste mentionner un miracle de guérison marquant que nous avons expérimenté dernièrement. En avril de l’année dernière nous avons reçu une demande de prière d’un frère et d’une soeur de Tchécoslovaquie. Leur unique enfant était malade depuis deux ans; il avait été abandonné par les médecins et était voué à une mort certaine. Sa guérison qui eut lieu un mercredi soir fut un exaucement direct de prière.
Ces dernières années, je me suis principalement consacré au travail de traduction et à la prédication. Plus nous nous approchons de la fin, plus la confirmation surnaturelle parmi ceux qui écoutent et croient la Parole ira en augmentant. Le 3:12.1962, alors que nous étions déjà revenus à la voiture, j’ai demandé à frère Branham si moi aussi je pouvais prier pour les malades. Il me répondit mot pour mot: «Frère Frank, quiconque a été appelé pour annoncer l’Evangile a aussi été appelé à prier pour les malades». Ensuite il me serra dans ses bras et me bénit en priant.