Lettre circulaire N° 20 – Janvier 1980 (1979-12)

UNE GENERATION SPIRITUELLE

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C’est par amour que Dieu nous a engendrés par l’Esprit et fait naître à nouveau pour une espérance vivante. Une naissance parmi les hommes est le résultat d’une conception, laquelle a lieu après que des rapports d’amour et une union aient eu lieu. Il en va de même pour les choses spirituelles. Dieu S’est approché de nous dans des rapports d’amour. Christ a été engendré par le Saint-Esprit. De la même manière, chaque enfant de Dieu est engendré à une nouvelle vie par l’Esprit de Dieu. De même que dans le naturel un enfant, après avoir été engendré, entre par la naissance dans ce monde-ci, ainsi l’enfant de Dieu, qui est engendré par l’Esprit, entre par la naissance dans ce monde-. De même que l’existence d’un enfant parmi les hommes ne peut être contestée après qu’il est né, ainsi l’évidence d’un enfant de Dieu né de nouveau ne peut être contestée. Les deux sont une réalité. Par la naissance terrestre, nous sommes des enfants d’homme; par la naissance spirituelle, nous devenons des enfants de Dieu.

“Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu...” (1 Jean 3.2). “Puisque vous avez été régénérés, non par une semence corruptible, mais par une semence incorruptible, par la parole vivante et permanente de Dieu” (1 Pier. 1. 23). Le salut vient du Seigneur, car c’est Lui qui produit en nous à la fois le vouloir et le faire. Qu’est-ce donc qu’Israël a bien pu faire pour son salut et sa délivrance? C’est en fait par la délivrance que se réalisa la promesse faite à Abraham. Qu’a donc obtenu Moïse par ses débats avec Pharaon? Dieu n’a-t-Il pas intentionnellement disposé, puis endurci le coeur de ce dominateur? Mais au moment précis où chaque famille israélite se conforma aux ordonnances de Dieu, où l’agneau fut immolé, le sang placé sur les poteaux et le linteau de la porte, et où ils mangèrent la viande rôtie au feu, c’est à ce moment-là qu’ils purent sortir parfaitement équipés, sauvés et délivrés. C’est sur ceux qui ne se trouvaient pas sous le sang versé pour l’expiation que le jugement de Dieu tomba, et c’est eux que l’ange destructeur frappa. Les premiers-nés d’Israël furent préservés. La promesse de salut et de délivrance s’accomplit et prit force de loi au moment où le sang de l’agneau coula. Ceux qui avaient obtenu grâce auprès de Dieu, et qui avaient été élus, sortirent en tant que peuple de l’alliance. C’est à ce moment-là qu’ils devinrent “l’Eglise” de l’ancienne alliance (ceux qui sont “appelés hors de”). Le mot “Eglise” (ou Assemblée) se trouve mentionné pour la première fois dans Exode 12.3.

“Car l’âme (ou la vie) de la chair est dans le sang. Je vous l’ai donné sur l’autel, afin qu’il servit d’expiation pour vos âmes, car c’est par l’âme (ou vie) que le sang fait l’expiation” (Lév. 17.11). Lorsque Jésus-Christ notre Seigneur, l’Agneau de Dieu, mourut à Golgotha, c’est alors qu’eut lieu un plein salut, une parfaite délivrance, et que le croyant put sortir de l’esclavage. Tous ceux qui ont été prédestinés avant la fondation du monde à être des fils et des filles de Dieu font partie intégrante de la rédemption parfaitement achevée.

“Combien plus le sang de Christ, qui, par un esprit éternel, s’est offert lui-même sans tache à Dieu, purifiera-t-il votre conscience des oeuvres mortes, afin que vous serviez le Dieu vivant!”. Nous sommes compris dans le plan de salut de Dieu. Notre Seigneur a fait retentir une parole puissante, alors qu’Il était cloué à la croix pour l’humanité, et s’écria: “Tout est accompli!”.

“Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent; mais pour nous qui sommes sauvés, elle est une puissance de Dieu” (1 Cor. 1.18). A l’heure où les ténèbres régnaient, la lumière divine rayonna pour tous ceux qui croiraient. La Vie spirituelle qui se trouvait dans le Sang divin fut donnée par ce moyen afin que ce soit par grâce que nous La recevions.

“Il leur dit: Ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est répandu pour plusieurs” (Marc 14.24). Il s’agit d’une rédemption inconditionnelle que Dieu a accomplie, c’est-à-dire que Dieu ne dit pas: «Tu dois faire ceci ou cela» – mais d’un acte divin. Cette parole: “Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé” a été confirmée alors même que Christ était cloué sur la croix. Le brigand invoqua le Nom du Seigneur, et il reçut cette réponse: “Je te le dis en vérité, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis”.

Au moment où le Sang de l’Agneau de Dieu fut répandu, nos péchés furent pardonnés et notre faute fut expiée.

“En qui nous avons la rédemption, la rémission des péchés” (Col. 1.14). “Et ceux qu’il a prédestinés, il les a aussi appelés selon son dessein” (Rom. 8.30). Dieu n’a encore jamais rien fait à moitié; tout ce qu’Il fait est parfait. A Ses yeux, l’Eglise est déjà parvenue à Son achèvement.

“Etant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ” (Rom. 5.1).

C’est par amour que Dieu nous a engendrés par l’Esprit et fait naître à nouveau pour une espérance vivante. Une naissance parmi les hommes est le résultat d’une conception, laquelle a lieu après que des rapports d’amour et une union aient eu lieu. Il en va de même pour les choses spirituelles. Dieu S’est approché de nous dans des rapports d’amour. Christ a été engendré par le Saint-Esprit. De la même manière, chaque enfant de Dieu est engendré à une nouvelle vie par l’Esprit de Dieu. De même que dans le naturel un enfant, après avoir été engendré, entre par la naissance dans ce monde-ci, ainsi l’enfant de Dieu, qui est engendré par l’Esprit, entre par la naissance dans ce monde-. De même que l’existence d’un enfant parmi les hommes ne peut être contestée après qu’il est né, ainsi l’évidence d’un enfant de Dieu né de nouveau ne peut être contestée. Les deux sont une réalité. Par la naissance terrestre, nous sommes des enfants d’homme; par la naissance spirituelle, nous devenons des enfants de Dieu. 

“Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu...” (1 Jean 3.2). “Puisque vous avez été régénérés, non par une semence corruptible, mais par une semence incorruptible, par la parole vivante et permanente de Dieu” (1 Pier. 1. 23). Le salut vient du Seigneur, car c’est Lui qui produit en nous à la fois le vouloir et le faire. Qu’est-ce donc qu’Israël a bien pu faire pour son salut et sa délivrance? C’est en fait par la délivrance que se réalisa la promesse faite à Abraham. Qu’a donc obtenu Moïse par ses débats avec Pharaon? Dieu n’a-t-Il pas intentionnellement disposé, puis endurci le coeur de ce dominateur? Mais au moment précis où chaque famille israélite se conforma aux ordonnances de Dieu, où l’agneau fut immolé, le sang placé sur les poteaux et le linteau de la porte, et où ils mangèrent la viande rôtie au feu, c’est à ce moment-là qu’ils purent sortir parfaitement équipés, sauvés et délivrés. C’est sur ceux qui ne se trouvaient pas sous le sang versé pour l’expiation que le jugement de Dieu tomba, et c’est eux que l’ange destructeur frappa. Les premiers-nés d’Israël furent préservés. La promesse de salut et de délivrance s’accomplit et prit force de loi au moment où le sang de l’agneau coula. Ceux qui avaient obtenu grâce auprès de Dieu, et qui avaient été élus, sortirent en tant que peuple de l’alliance. C’est à ce moment-là qu’ils devinrent “l’Eglise” de l’ancienne alliance (ceux qui sont “appelés hors de”). Le mot “Eglise” (ou Assemblée) se trouve mentionné pour la première fois dans Exode 12.3. 

“Car l’âme (ou la vie) de la chair est dans le sang. Je vous l’ai donné sur l’autel, afin qu’il servit d’expiation pour vos âmes, car c’est par l’âme (ou vie) que le sang fait l’expiation” (Lév. 17.11). Lorsque Jésus-Christ notre Seigneur, l’Agneau de Dieu, mourut à Golgotha, c’est alors qu’eut lieu un plein salut, une parfaite délivrance, et que le croyant put sortir de l’esclavage. Tous ceux qui ont été prédestinés avant la fondation du monde à être des fils et des filles de Dieu font partie intégrante de la rédemption parfaitement achevée. 

“Combien plus le sang de Christ, qui, par un esprit éternel, s’est offert lui-même sans tache à Dieu, purifiera-t-il votre conscience des oeuvres mortes, afin que vous serviez le Dieu vivant!”. Nous sommes compris dans le plan de salut de Dieu. Notre Seigneur a fait retentir une parole puissante, alors qu’Il était cloué à la croix pour l’humanité, et s’écria: “Tout est accompli!”.

“Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent; mais pour nous qui sommes sauvés, elle est une puissance de Dieu” (1 Cor. 1.18). A l’heure où les ténèbres régnaient, la lumière divine rayonna pour tous ceux qui croiraient. La Vie spirituelle qui se trouvait dans le Sang divin fut donnée par ce moyen afin que ce soit par grâce que nous La recevions. 

“Il leur dit: Ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est répandu pour plusieurs” (Marc 14.24). Il s’agit d’une rédemption inconditionnelle que Dieu a accomplie, c’est-à-dire que Dieu ne dit pas: «Tu dois faire ceci ou cela» – mais d’un acte divin. Cette parole: “Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé” a été confirmée alors même que Christ était cloué sur la croix. Le brigand invoqua le Nom du Seigneur, et il reçut cette réponse: “Je te le dis en vérité, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis”.

Au moment où le Sang de l’Agneau de Dieu fut répandu, nos péchés furent pardonnés et notre faute fut expiée. 

“En qui nous avons la rédemption, la rémission des péchés” (Col. 1.14). “Et ceux qu’il a prédestinés, il les a aussi appelés selon son dessein” (Rom. 8.30). Dieu n’a encore jamais rien fait à moitié; tout ce qu’Il fait est parfait. A Ses yeux, l’Eglise est déjà parvenue à Son achèvement. 

“Etant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ” (Rom. 5.1).