Lettre circulaire N° 20 – Janvier 1980 (1979-12)
Moïse plaça devant le peuple d’Israël la bénédiction et la malédiction. La malédiction suit la désobéissance, alors que la bénédiction vient sur celui qui obéit. Le choix entre la vie et la mort fut placée devant nos premiers parents. Avant que la bénédiction de Dieu, au travers de Christ, puisse venir sur nous, la malédiction devait nécessairement être enlevée de dessus nous. C’est par la mort de la croix que la malédiction a été ôtée. Il est écrit: “Car celui qui est pendu est un objet de malédiction auprès de Dieu” (Deut. 21.23). “Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous, – car il est écrit: Maudit est quiconque est pendu au bois”.
La grâce de Dieu prévaut sur le jugement, car Celui qui a donné la loi et qui est le Juge, est aussi le Sauveur. Il a pris sur Lui le jugement qu’Il avait prononcé, afin de réaliser une rédemption éternelle (Héb. 9.12). Par Sa grâce, Il a satisfait à Ses propres exigences, car celles-ci étaient conformes à Sa justice Divine. Après cette terrible nuit où Il subit la trahison, fut livré entre les mains des pécheurs, éprouva le désespoir, fut environné de profondes ténèbres et goûta aux douleurs de la mort, la vie de résurrection vint à nouveau. Alléluia! Un glorieux jour de résurrection commença à poindre. Du soir et du matin sortit un jour nouveau, le jour du salut. Déjà lors de la création naturelle, il y eut un soir et un matin qui formèrent ensemble un jour.
Moïse plaça devant le peuple d’Israël la bénédiction et la malédiction. La malédiction suit la désobéissance, alors que la bénédiction vient sur celui qui obéit. Le choix entre la vie et la mort fut placée devant nos premiers parents. Avant que la bénédiction de Dieu, au travers de Christ, puisse venir sur nous, la malédiction devait nécessairement être enlevée de dessus nous. C’est par la mort de la croix que la malédiction a été ôtée. Il est écrit: “Car celui qui est pendu est un objet de malédiction auprès de Dieu” (Deut. 21.23). “Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous, – car il est écrit: Maudit est quiconque est pendu au bois”.
La grâce de Dieu prévaut sur le jugement, car Celui qui a donné la loi et qui est le Juge, est aussi le Sauveur. Il a pris sur Lui le jugement qu’Il avait prononcé, afin de réaliser une rédemption éternelle (Héb. 9.12). Par Sa grâce, Il a satisfait à Ses propres exigences, car celles-ci étaient conformes à Sa justice Divine. Après cette terrible nuit où Il subit la trahison, fut livré entre les mains des pécheurs, éprouva le désespoir, fut environné de profondes ténèbres et goûta aux douleurs de la mort, la vie de résurrection vint à nouveau. Alléluia! Un glorieux jour de résurrection commença à poindre. Du soir et du matin sortit un jour nouveau, le jour du salut. Déjà lors de la création naturelle, il y eut un soir et un matin qui formèrent ensemble un jour.