Baptême - Repas du Seigneur - Lavage des pieds

LA CONDITION

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La condition fondamentale pour être baptisé est la foi personnelle.Peu avant Son Ascension, le Seigneur ressuscité donna cet ordre très clair à Ses disciples: “Allez dans tout le monde, et prêchez l’évangile àtoute la création. Celui qui aura cru et qui aura été baptisé sera sauvé” (Marc 16.15,16). En premier lieu il doit y avoir la proclamation du message de salut conforme à l’Ecriture, et non pas un acte religieux.

Par le moyen de la prédication de la réconciliation qui nous a été accordée en Christ, le Crucifié, les hommes sont rapprochés de l’offre de grâce de Dieu. Comme il est écrit, la foi vient de la prédication, et la prédication vient de la Parole de Dieu (Rom. 10.17). Avec cela le Saint-Esprit produit dans celui qui écoute la FOI nécessaire. Il faut que l’individu parvienne à un assentiment intérieur, à une réponse affirmative et à une acceptation consciente du don Divin de la grâce.La personne est poussée à faire une expérience personnelle du salut, et elle devient croyante. Conformément à Romains 8.16, l’Esprit rend témoignage à chacun de ceux qui ont fait cette expérience qu’il est devenu un enfant de Dieu. C’est la certitude du salut, qui a de la valeur devant Dieu par la foi en la justification.

Après cela vient le deuxième pas: le baptême. “Ceux donc qui reçurent saparole, furent baptisés” (Act. 2.41), voilà ce qui nous a été dit le jour de la fondation de l’Eglise du Nouveau Testament. Le résultat de la première prédication le jour de Pentecôte fut saisissant. Environ trois mille de ceux qui entendirent la Parole La reçurent dans la foi comme étant le Message divin, et ils se firent baptiser. On demeura avec ce modèle biblique jusque dans le troisième siècle après Christ.

Les apôtres et autres hommes, revêtus de la Toute-Puissance de l’Esprit, s’en allèrent prêcher l’Evangile. L’un d’entre eux était Philippe, par le ministère duquel un puissant réveil éclata en Samarie. Là aussi, des personnes vinrent à la foi et se firent ensuite baptiser (Act. 8.16).

Conduit par l’Esprit, cet évangéliste rencontra cet officier de la cour d’Ethiopie, lequel lisait précisément dans le chapitre 53 d’Esaïe (Act. 8.26-39 — Segond). Il est dit au verset 35: “Alors Philippe, ouvrant la bouche et commençant par ce passage, lui annonça la bonne nouvelle de Jésus”.La prédication résultait de la Parole prophétique sur Laquelle elle s’appuie et dans laquelle le salut que Dieu voulait accorder à l’humanité avait été annoncé d’avance.

Au milieu de la prédication, l’eunuque interrompit l’homme de Dieu et dit: “Voici de l’eau; qu’est-ce qui empêche que je sois baptisé?”. La condition que Philippe apportait en plein accord avec la Parole du Seigneur et des apôtres est celle-ci: “Si tu crois de tout ton coeur, cela est possible”. La réponse vint, spontanée: “Je crois que Jésus Christ est le Fils de Dieu”. “Il fit arrêter le char; Philippe et l’eunuque descendirent tous deux dans l’eau, et Philippe baptisa l’eunuque” (v. 38). Là aussi, la foi vint de la prédication, et celle-ci encore une fois vint de la Parole de Dieu. L’Esprit de Dieu avait agi en celui qui écoutait et aussitôt le baptême biblique suivit.

Par le moyen d’une révélation particulière, Pierre fut envoyé à Césarée dans la maison du centenier romain Corneille (Actes 10). Sa prédication eut de nouveau un résultat biblique. Il nous est relaté ceci: “Comme Pierre prononçait encore ces mots, le Saint-Esprit descendit sur tous ceux qui écoutaient la parole” (v. 44). Afin que ceux qui étaient devenus croyants accomplissent toute justice et que le commandement du Seigneur soit satisfait, l’apôtre dit: “Peut-on refuser l’eau du baptême à ceux qui ont reçu le Saint-Esprit aussi bien que nous?” (v. 47). C’est exactement ainsi qu’aujourd’hui encore chaque véritable croyant procédera et sefera baptiser bibliquement, même s’il a déjà reçu le Saint-Esprit.Tout ce que Dieu fait continue sans changement jusqu’à la fin dans une pleine concordance.

Nous ne trouvons aucune indication dans les Saintes Ecritures concernant un baptême d’entant ou une aspersion de bébé. Celui qui cherche à justifier cette manière de faire par les événements relatés dans Luc 18.15-17 devrait encore lire en plus de cela les passages parallèles se trouvant dans Matthieu 19.13-15 et Marc 10.13-16. Il ressort clairement de cela que le Seigneur Jésus a uniquement imposé les mains aux enfants qui Lui avaient été apportés, qu’Il les a pris dans Ses bras et les a bénis. Le Maître n’a jamais rien dit d’un baptême d’enfant. Aujourd’hui encore, dans les communautés bibliques, les parents croyants apportent leurs enfants à seule fin qu’ils soient consacrés au Seigneur dans la prière et qu’ils soient bénis.

Le deuxième passage auquel on se réfère également pour le baptême des enfants ne dit rien à ce sujet. Lorsque Paul et Silas étaient en prison à Philippes, quelque chose de surnaturel arriva et une grande frayeur tomba sur le geôlier. Il demanda aux deux hommes de Dieu: “Seigneurs, que faut-il que je fasse pour être sauvé?” (Act. 16.30). Ils lui répondirent: “Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta maison”. Au verset suivant nous lisons ceci: “Et ils lui annoncèrent la Parole du Seigneur, ainsi qu’à tous ceux qui étaient dans sa maison”. Nous voyons de nouveau ici qu’ils maintinrent fidèlement l’ordre de mission: tout d’abord eut lieu la prédication que tous ceux de sa maison écoutèrent et reçurent avec foi, avant de se faire baptiser:“Et il les prit en cette même heure de la nuit, et lava leurs plaies; et sur-le-champ il fut baptisé, lui et les siens”. Le geôlier et ceux qui setrouvaient dans sa maison vinrent premièrement à la foi par la prédication, puis ils se firent baptiser. Il ne ressort d’aucune de ces paroles qu’à cette occasion des enfants ou des bébés aient été baptisés.

La pratique du baptême telle qu’elle est généralement connue aujourd’hui est privée de tout fondement biblique; l’histoire de l’Eglise en rend aussi témoignage. Cette pratique tire son origine de l’époque où avait lieu la cruelle christianisation par la contrainte, où des maisons entières et des peuples furent baptisés contre leur volonté. Pour remplacer la foi qui est nécessaire pour recevoir le baptême, on eut recours plus tard à des parrains et marraines, ce qui est également une pratique entièrement non biblique. Comme nous avons pu le voir clairement en nous référant aux passages des Ecritures déjà exposés, l’homme doit prendre personnellement sa décision devant Dieu.Dans la plupart des cas malheureusement, la prédication dans les églises officielles et indépendantes ne correspond pas au modèle apostolique, et c’est pourquoi aussi les résultats bibliques font défaut.

La condition fondamentale pour être baptisé est la foi personnelle. Peu avant Son Ascension, le Seigneur ressuscité donna cet ordre très clair à Ses disciples: “Allez dans tout le monde, et prêchez l’évangile à toute la création. Celui qui aura cru et qui aura été baptisé sera sauvé”(Marc 16.15,16). En premier lieu il doit y avoir la proclamation du message de salut conforme à l’Ecriture, et non pas un acte religieux.

    Par le moyen de la prédication de la réconciliation qui nous a été accordée en Christ, le Crucifié, les hommes sont rapprochés de l’offre de grâce de Dieu. Comme il est écrit, la foi vient de la prédication, et la prédication vient de la Parole de Dieu (Rom. 10.17). Avec cela le Saint-Esprit produit dans celui qui écoute la FOI nécessaire. Il faut que l’individu parvienne à un assentiment intérieur, à une réponse affirmative et à une acceptation consciente du don Divin de la grâce. La personne est poussée à faire une expérience personnelle du salut, et elle devient croyante. Conformément à Romains 8.16, l’Esprit rend témoignage à chacun de ceux qui ont fait cette expérience qu’il est devenu un enfant de Dieu. C’est la certitude du salut, qui a de la valeur devant Dieu par la foi en la justification.

    Après cela vient le deuxième pas: le baptême. “Ceux donc qui reçurent sa parole, furent baptisés”(Act. 2.41), voilà ce qui nous a été dit le jour de la fondation de l’Eglise du Nouveau Testament. Le résultat de la première prédication le jour de Pentecôte fut saisissant. Environ trois mille de ceux qui entendirent la Parole La reçurent dans la foi comme étant le Message divin, et ils se firent baptiser. On demeura avec ce modèle biblique jusque dans le troisième siècle après Christ.

    Les apôtres et autres hommes, revêtus de la Toute-Puissance de l’Esprit, s’en allèrent prêcher l’Evangile. L’un d’entre eux était Philippe, par le ministère duquel un puissant réveil éclata en Samarie. Là aussi, des personnes vinrent à la foi et se firent ensuite baptiser (Act. 8.16).

    Conduit par l’Esprit, cet évangéliste rencontra cet officier de la cour d’Ethiopie, lequel lisait précisément dans le chapitre 53 d’Esaïe (Act. 8.26-39 — Segond). Il est dit au verset 35: “Alors Philippe, ouvrant la bouche et commençant par ce passage, lui annonça la bonne nouvelle de Jésus”.La prédication résultait de la Parole prophétique sur Laquelle elle s’appuie et dans laquelle le salut que Dieu voulait accorder à l’humanité avait été annoncé d’avance.

    Au milieu de la prédication, l’eunuque interrompit l’homme de Dieu et dit: “Voici de l’eau; qu’est-ce qui empêche que je sois baptisé?”.La condition que Philippe apportait en plein accord avec la Parole du Seigneur et des apôtres est celle-ci: “Si tu crois de tout ton coeur, cela est possible”.La réponse vint, spontanée: “Je crois que Jésus Christ est le Fils de Dieu”. “Il fit arrêter le char; Philippe et l’eunuque descendirent tous deux dans l’eau, et Philippe baptisa l’eunuque”(v. 38). Là aussi, la foi vint de la prédication, et celle-ci encore une fois vint de la Parole de Dieu. L’Esprit de Dieu avait agi en celui qui écoutait et aussitôt le baptême biblique suivit.

    Par le moyen d’une révélation particulière, Pierre fut envoyé à Césarée dans la maison du centenier romain Corneille (Actes 10). Sa prédication eut de nouveau un résultat biblique. Il nous est relaté ceci: “Comme Pierre prononçait encore ces mots, le Saint-Esprit descendit sur tous ceux qui écoutaient la parole”(v. 44). Afin que ceux qui étaient devenus croyants accomplissent toute justice et que le commandement du Seigneur soit satisfait, l’apôtre dit: “Peut-on refuser l’eau du baptême à ceux qui ont reçu le Saint-Esprit aussi bien que nous?”(v. 47). C’est exactement ainsi qu’aujourd’hui encore chaque véritable croyant procédera et se fera baptiser bibliquement, même s’il a déjà reçu le Saint-Esprit. Tout ce que Dieu fait continue sans changement jusqu’à la fin dans une pleine concordance.

    Nous ne trouvons aucune indication dans les Saintes Ecritures concernant un baptême d’entant ou une aspersion de bébé. Celui qui cherche à justifier cette manière de faire par les événements relatés dans Luc 18.15-17 devrait encore lire en plus de cela les passages parallèles se trouvant dans Matthieu 19.13-15 et Marc 10.13-16. Il ressort clairement de cela que le Seigneur Jésus a uniquement imposé les mains aux enfants qui Lui avaient été apportés, qu’Il les a pris dans Ses bras et les a bénis. Le Maître n’a jamais rien dit d’un baptême d’enfant. Aujourd’hui encore, dans les communautés bibliques, les parents croyants apportent leurs enfants à seule fin qu’ils soient consacrés au Seigneur dans la prière et qu’ils soient bénis.

    Le deuxième passage auquel on se réfère également pour le baptême des enfants ne dit rien à ce sujet. Lorsque Paul et Silas étaient en prison à Philippes, quelque chose de surnaturel arriva et une grande frayeur tomba sur le geôlier. Il demanda aux deux hommes de Dieu: “Seigneurs, que faut-il que je fasse pour être sauvé?”(Act. 16.30). Ils lui répondirent: “Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta maison”.Au verset suivant nous lisons ceci: “Et ils lui annoncèrent la Parole du Seigneur, ainsi qu’à tous ceux qui étaient dans sa maison”.Nous voyons de nouveau ici qu’ils maintinrent fidèlement l’ordre de mission: tout d’abord eut lieu la prédication que tous ceux de sa maison écoutèrent et reçurent avec foi, avant de se faire baptiser: “Et il les prit en cette même heure de la nuit, et lava leurs plaies; et sur-le-champ il fut baptisé, lui et les siens”.Le geôlier et ceux qui setrouvaient dans sa maison vinrent premièrement à la foi par la prédication, puis ils se firent baptiser. Il ne ressort d’aucune de ces paroles qu’à cette occasion des enfants ou des bébés aient été baptisés.

    La pratique du baptême telle qu’elle est généralement connue aujourd’hui est privée de tout fondement biblique; l’histoire de l’Eglise en rend aussi témoignage. Cette pratique tire son origine de l’époque où avait lieu la cruelle christianisation par la contrainte, où des maisons entières et des peuples furent baptisés contre leur volonté. Pour remplacer la foi qui est nécessaire pour recevoir le baptême, on eut recours plus tard à des parrains et marraines, ce qui est également une pratique entièrement non biblique. Comme nous avons pu le voir clairement en nous référant aux passages des Ecritures déjà exposés, l’homme doit prendre personnellement sa décision devant Dieu. Dans la plupart des cas malheureusement, la prédication dans les églises officielles et indépendantes ne correspond pas au modèle apostolique, et c’est pourquoi aussi les résultats bibliques font défaut.