Au commencement était la Parole - pas l'interprétation
Quelqu’un doit le dire et faire retentir l’avertissement. Dans tous les pays du monde, les représentants en fonction de chaque religion luttent pour leurs propres pensées doctrinales et défendent leurs traditions comme «culture directive». Tous envoient leurs missionnaires, lesquels sont partout zélés dans leurs activités. Nous n’avons pas seulement beaucoup de religions de par le monde, mais aussi 342 «Eglises chrétiennes» unies dans le «Conseil oecuménique des Eglises», qui fut fondé le 23 août 1948 à Amsterdam. Tous se réfèrent à Dieu et à la Bible, agissent et enseignent cependant de façon fondamentalement différente. Tous bâtissent visiblement leur propre royaume, tout en appelant cela le Royaume de Dieu. Pour l’Eglise de Jésus-Christ, il ne s’agit pas d’être reconnu par les gens de cette terre, de devenir une puissance de ce monde, mais bien plutôt de combattre pour la foi biblique qui a été confiée dès le commencement aux saints et à ceux qui étaient consacrés à Dieu (Jude v. 3). C’était ce qu’avait sur le coeur l’apôtre en ce temps-là, et c’est aujourd’hui aussi ce que nous avons à coeur. La Parole de Dieu doit être reconnue en toutes choses commeseule valable, et toute interprétation et enseignement d’homme doit être mis à nu et reconnu comme étant: tromperie de l’ennemi.Cela n’a aucun sens si un évangéliste parle du retour de Christ, prêche les signes du temps de la fin, et qu’en même temps il demeure avec le vieux levain des traditions et des doctrines non bibliques. Chacun de ceux qui cherchent sincèrement, doit prendre conscience en lisant cet exposé, de la direction dans laquelle il s’est engagé. Il doit comprendre, qu’en ce qui le concerne également, la Parole de Dieu ne restera pas sans effet, mais qu’Elle accomplira réellement ce pour quoi Elle a été envoyée (Es. 55.11).
A cause de cela, relevons que si quelque chose a besoin d’être corrigé, il faut que cela puisse être fait au Nom du Seigneur. La triste réalité est que la Chrétienté ne remarque absolument pas qu’elle vit dans une foi faussée. Partout il y a des interprétations, mais pas la Parole!
Paul était certain de publier le véritable Evangile qu’il avait reçu par la révélation de Jésus-Christ, et c’est conscient de sa responsabilité directe devant Dieu qu’il a prononcé la malédiction contre tous ceux qui publiaient un autre évangile (Gal. chap. 1). Cependant, aujourd’hui, presque tous parlent de bénédictions et prêchent un autre évangile, sans en être conscients. Et de nouveau, nous demandons: «Que disent les Saintes Ecritures?». Et pour celui qui est de Dieu, seule la réponse venant de la Parole de Dieu aura de la valeur. Tous les autres continueront à demeurer et vivre selon les points de vue de l’enseignement de leurs Eglises et ils les défendront.
Au cours de l’histoire de l’Eglise, beaucoup de passages bibliques ont été mal compris et arbitrairement interprétés, surtout celui de Matthieu 28.19: “…les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit”(Segond) — même de la part de traducteurs de la Bible hautement estimés — et qui le sont encore aujourd’hui. La même chose se rencontre au sujet de la très importante déclaration de notre Seigneur dans Jean 20.23: “Ceux à qui vous pardonnerez les péchés, ils leur seront pardonnés; et ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus”(Segond). Sur d’autres thèmes également on se disputa vivement, et en fin de compte chaque doctrine a été plus ou moins mal comprise et interprétée. C’est contre cela qu’ici nous élevons, de la part de Dieu, une accusation. Si nous voulons réellement et sincèrement nous trouver hors du chaos religieux, nous devons retourner au commencement, afin d’éprouver de quelle façon les apôtres ont compris et mis en pratique de tels passages ou ces thèmes tant contestés—sur lesquels du moins eux ne se sont jamais disputés.
L’apôtre Jean écrit: “Ce qui était dès le commencement, ce que nous avons entendu, ce que nous avons vu de nos yeux, ce que nous avons contemplé et que nos mains ont touché… nous vous l’annonçons…”— pas ce qui est venu plus tard. Au début, dans l’Eglise du Nouveau Testament, tout s’est déroulé comme Pierre, qui avait été établi par le Seigneur ressuscité Lui-même et avait reçu les clés du Royaume des Cieux, l’avait commandé. Dès la première prédication au jour de Pentecôte, il montra la porte à ceux qui cherchaient et l’ouvrit à ceux qui crurent. Il leur montra, au travers de la repentance et du baptême, le chemin étroit qui conduit à la Vie éternelle. C’est ainsi qu’ils vinrent à l’obéissance de la foi et entrèrent consciemment dans le Royaume de Dieu. Cela correspondait exactement à ce que notre Seigneur avait dit dans Matthieu, chapitre 28, et aussi dans l’ordre de mission donné dans l’Evangile de Marc: “Celui qui aura cru et qui aura été baptisé sera sauvé;et celui qui n’aura pas cru sera condamné”(Marc 16.16).
Tout d’abord Pierre avait suivi l’invitation du ressuscité relatée dans l’Evangile de Luc: “… et que la repentance et la rémission des péchés fussent prêchées en son nom à toutesles nations…”(Luc 24.47). Dans la première prédication s’accomplit donc aussi ce que notre Seigneur avait dit dans l’Evangile de Jean: “A quiconque vous remettrez les péchés, ils sont remis; et à quiconque vous les retiendrez, ils sont retenus”(Jean 20.23).
Au travers de la publication de l’Evangile, le pardon a été prêché et expérimenté par ceux qui ont cru. A ceux qui étaient venus à la foi, l’homme de Dieu de la première heure pouvait dire: «Vos péchés vous sont pardonnés en Son Nom!». Mais à tous ceux qui ne crurent pas, il devait nécessairement dire: «Vos péchés ne vous sont pas pardonnés!». La foi vient de ce qui est prêché, et la prédication vient de la Parole de Dieu (Rom. 10.17). A ceux qui crurent, les péchés furent pardonnés, à ceux qui ne crurent pas, ils leur furent retenus.C’est ainsi que s’accomplit ce que le Seigneur a dit jusqu’à aujourd’hui, sous la publication de l’Evangile de Jésus-Christ. L’ordre de mission fut ainsi donné lors du premier rassemblement à Pentecôte, tel qu’il se trouve dans l’ensemble des quatre évangiles, et correctement prêché et exécuté! En premier vient la prédication qui produit la foi, ensuite l’Esprit conduit à la repentance, et ainsi l’individu reçoit le pardon. Les expériences suivantes sont le baptême dans l’eau et le baptême de l’Esprit.
Celui qui pense voir une contradiction entre l’ordre de mission du Seigneur et son accomplissement pratiqué par les apôtres, n’a pas compris qu’il faut réellement baptiser dans le Nom.Père n’est certainement pas un nom, Fils et Saint-Esprit ne le sont pas davantage. Ce sont des désignations, comme «Créateur», «Sauveur», «Roi», etc. Cependant nous devons baptiser dans le Nom seul, comme cela s’est aussi fait au début.
Après tout, quel serait le Livre que nous lisons s’Il contenait des contradictions! Les contradictions se trouvent dans la tête des gens, après que l’ennemi leur a interprété la Parole. Ainsi la Parole de Dieu est rendue non crédible et les traditions des Eglises sont justifiées. Ainsi dit le Seigneur: “Vous annulez bien le commandement de Dieu, afin de garder votre tradition… annulant la parole de Dieu par votre tradition que vous vous êtes transmise…”(Marc 7.9-13).
Quelqu’un doit le dire et faire retentir l’avertissement. Dans tous les pays du monde, les représentants en fonction de chaque religion luttent pour leurs propres pensées doctrinales et défendent leurs traditions comme «culture directive». Tous envoient leurs missionnaires, lesquels sont partout zélés dans leurs activités. Nous n’avons pas seulement beaucoup de religions de par le monde, mais aussi 342 «Eglises chrétiennes» unies dans le «Conseil oecuménique des Eglises», qui fut fondé le 23 août 1948 à Amsterdam. Tous se réfèrent à Dieu et à la Bible, agissent et enseignent cependant de façon fondamentalement différente. Tous bâtissent visiblement leur propre royaume, tout en appelant cela le Royaume de Dieu. Pour l’Eglise de Jésus-Christ, il ne s’agit pas d’être reconnu par les gens de cette terre, de devenir une puissance de ce monde, mais bien plutôt de combattre pour la foi biblique qui a été confiée dès le commencement aux saints et à ceux qui étaient consacrés à Dieu (Jude v. 3). C’était ce qu’avait sur le coeur l’apôtre en ce temps-là, et c’est aujourd’hui aussi ce que nous avons à coeur. La Parole de Dieu doit être reconnue en toutes choses comme seule valable,et toute interprétation et enseignement d’homme doit être mis à nu et reconnu comme étant: tromperie de l’ennemi. Cela n’a aucun sens si un évangéliste parle du retour de Christ, prêche les signes du temps de la fin, et qu’en même temps il demeure avec le vieux levain des traditions et des doctrines non bibliques. Chacun de ceux qui cherchent sincèrement, doit prendre conscience en lisant cet exposé, de la direction dans laquelle il s’est engagé. Il doit comprendre, qu’en ce qui le concerne également, la Parole de Dieu ne restera pas sans effet, mais qu’Elle accomplira réellement ce pour quoi Elle a été envoyée (Es. 55.11).
A cause de cela, relevons que si quelque chose a besoin d’être corrigé, il faut que cela puisse être fait au Nom du Seigneur. La triste réalité est que la Chrétienté ne remarque absolument pas qu’elle vit dans une foi faussée. Partout il y a des interprétations, mais pas la Parole!
Paul était certain de publier le véritable Evangile qu’il avait reçu par la révélation de Jésus-Christ, et c’est conscient de sa responsabilité directe devant Dieu qu’il a prononcé la malédiction contre tous ceux qui publiaient un autre évangile (Gal. chap. 1). Cependant, aujourd’hui, presque tous parlent de bénédictions et prêchent un autre évangile, sans en être conscients. Et de nouveau, nous demandons: «Que disent les Saintes Ecritures?». Et pour celui qui est de Dieu, seule la réponse venant de la Parole de Dieu aura de la valeur. Tous les autres continueront à demeurer et vivre selon les points de vue de l’enseignement de leurs Eglises et ils les défendront.
Au cours de l’histoire de l’Eglise, beaucoup de passages bibliques ont été mal compris et arbitrairement interprétés, surtout celui de Matthieu 28.19: “… les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit” (Segond) — même de la part de traducteurs de la Bible hautement estimés — et qui le sont encore aujourd’hui. La même chose se rencontre au sujet de la très importante déclaration de notre Seigneur dans Jean 20.23: “Ceux à qui vous pardonnerez les péchés, ils leur seront pardonnés; et ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus” (Segond). Sur d’autres thèmes également on se disputa vivement, et en fin de compte chaque doctrine a été plus ou moins mal comprise et interprétée. C’est contre cela qu’ici nous élevons, de la part de Dieu, une accusation. Si nous voulons réellement et sincèrement nous trouver hors du chaos religieux, nous devons retourner au commencement, afin d’éprouver de quelle façon les apôtres ont compris et mis en pratique de tels passages ou ces thèmes tant contestés —sur lesquels du moins eux ne se sont jamais disputés.
L’apôtre Jean écrit: “Ce qui était dès le commencement, ce que nous avons entendu, ce que nous avons vu de nos yeux, ce que nous avons contemplé et que nos mains ont touché… nous vous l’annonçons…” — pas ce qui est venu plus tard. Au début, dans l’Eglise du Nouveau Testament, tout s’est déroulé comme Pierre, qui avait été établi par le Seigneur ressuscité Lui-même et avait reçu les clés du Royaume des Cieux, l’avait commandé. Dès la première prédication au jour de Pentecôte, il montra la porte à ceux qui cherchaient et l’ouvrit à ceux qui crurent. Il leur montra, au travers de la repentance et du baptême, le chemin étroit qui conduit à la Vie éternelle. C’est ainsi qu’ils vinrent à l’obéissance de la foi et entrèrent consciemment dans le Royaume de Dieu. Cela correspondait exactement à ce que notre Seigneur avait dit dans Matthieu, chapitre 28, et aussi dans l’ordre de mission donné dans l’Evangile de Marc: “Celui qui aura cru et qui aura été baptisé sera sauvé;* et celui qui n’aura pas cru sera condamné”* (Marc 16.16).
Tout d’abord Pierre avait suivi l’invitation du ressuscité relatée dans l’Evangile de Luc: “… et que la repentance et la rémission des péchés fussent prêchées en son nom à toutes les nations…” (Luc 24.47). Dans la première prédication s’accomplitdonc aussi ce que notre Seigneur avait dit dans l’Evangile de Jean: “A quiconque vous remettrez les péchés, ils sont remis; et à quiconque vous les retiendrez, ils sont retenus” (Jean 20.23).
Au travers de la publication de l’Evangile, le pardon a été prêché et expérimenté par ceux qui ont cru. A ceux qui étaient venus à la foi, l’homme de Dieu de la première heure pouvait dire: «Vos péchés vous sont pardonnés en Son Nom!». Mais à tous ceux qui ne crurent pas, il devait nécessairement dire: «Vos péchés ne vous sont pas pardonnés!». La foi vient de ce qui est prêché, et la prédication vient de la Parole de Dieu (Rom. 10.17). A ceux qui crurent, les péchés furent pardonnés, à ceux qui ne crurent pas, ils leur furent retenus.C’est ainsi que s’accomplit ce que le Seigneur a dit jusqu’à aujourd’hui, sous la publication de l’Evangile de Jésus-Christ. L’ordre de mission fut ainsi donné lors du premier rassemblement à Pentecôte, tel qu’il se trouve dans l’ensemble des quatre évangiles, et correctement prêché et exécuté!En premier vient la prédication qui produit la foi, ensuite l’Esprit conduit à la repentance, et ainsi l’individu reçoit le pardon. Les expériences suivantes sont le baptême dans l’eau et le baptême de l’Esprit.
Celui qui pense voir une contradiction entre l’ordre de mission du Seigneur et son accomplissement pratiqué par les apôtres, n’a pas compris qu’il faut réellement baptiser dans le Nom. Père n’est certainement pas un nom, Fils et Saint-Esprit ne le sont pas davantage. Ce sont des désignations, comme «Créateur», «Sauveur», «Roi», etc. Cependant nous devons baptiser dans le Nom seul, comme cela s’est aussi fait au début.
Après tout, quel serait le Livre que nous lisons s’Il contenait des contradictions! Les contradictions se trouvent dans la tête des gens, après que l’ennemi leur a interprété la Parole. Ainsi la Parole de Dieu est rendue non crédible et les traditions des Eglises sont justifiées. Ainsi dit le Seigneur: “Vous annulez bien le commandement de Dieu, afin de garder votre tradition… annulant la parole de Dieu par votre tradition que vous vous êtes transmise…” (Marc 7.9-13).