Au commencement était la Parole - pas l'interprétation

LE NOM DANS L’ANCIEN ET LE NOUVEAU TESTAMENT

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L’importance du Nom de notre Seigneur doit être encore une fois mise en évidence dans Sa signification globale, pour la foi, le baptême et le plein salut. Dans le prophète Joël, nous trouvons plusieurs informations sur le Nom du Seigneur qui doit être invoqué pour le salut des âmes. La promesse est celle-ci: “Et il arrivera que, quiconque invoquera le nom de l’Eternel sera sauvé”(Joël 2.32). Dans sa première prédication, Pierre se réfère à cette parole prophétique devant la foule rassemblée. Le: “Et il arrivera…”devint à cause de la rédemption: “Et il arriva…”“Ceux donc qui reçurent saparole,furent baptisés; et en ce jour-là furent ajoutées environ trois mille âmes”(Actes 2.41).

L’apôtre a pensé au même Seigneur que Joël, Seigneur sur Lequel ce dernier a prophétisé. Au jour de la fondation de l’Eglise du Nouveau Testament, il est clairement montré de quel Nom il s’agit dans Actes 2.38: “Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ, en rémission des péchés…”.C’est l’exemple valable pour tous les temps, concernant l’accomplissement de l’ordre de mission pour l’Eglise du Nouveau Testament. La pratique traditionnelle trinitaire du baptême est un blasphème à l’égard de l’ordre donné pour le baptême, parce qu’elle renie le Nom.La doctrine de Christ, qui est en même temps la doctrine et la pratique des apôtres, ne peut être trouvée que dans la Parole de Dieu. Se réclamer uniquement de Christ et de Pierre ne sert à personne. Ce qui n’est pas en accord harmonieux avec toute la Parole, n’est pas juste du tout!

Les passages bibliques suivants doivent encore servir à placer avec insistance devant nos yeux l’importance du baptême. Paul s’inclut lui-même lorsqu’il rend témoignage: “Ignorez-vousque nous tous qui avons été baptisés pour le Christ Jésus,nous avons été baptisés pour sa mort ? Nous avons doncété ensevelis avec lui par le baptême, pour la mort,afin que comme Christ a été ressuscité d’entre les morts par la gloire du Père,ainsi nous aussi nous marchions en nouveauté de vie.Car si nous avons été identifiés avec lui dans la ressemblance de sa mort, nous le serons donc aussi dans la ressemblance de sa résurrection”(Rom. 6.3-5). “…étant ensevelis avec lui dans le baptême, dans lequel aussi vous avez été ressuscités ensemble par la foi en l’opération de Dieu qui l’a ressuscité d’entre les morts”(Col. 2.12).

L’aspersion traditionnelle mais non biblique des nourrissons est même nommée «baptême», pourtant elle ne l’est pas. Le mot grec pour baptême «baptisma», signifie «être plongé». Ceci est connu de tous les théologiens. De plus il y a un terrible malentendu sur les paroles de Jésus dans Jean 3.5, et de leur emploi: “En vérité, en vérité, je te dis: Si quelqu’un n’est né d’eau et de l’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu”.Ce texte a totalement été sorti de son contexte pour être interprété comme le «baptême de la nouvelle naissance (régénération)», qui est cru et enseigné. Le nourrisson, qui ne sait rien de l’expérience de la grâce, du salut et de la nouvelle naissance, devrait-il naître de nouveau par un acte officiel? Si plus tard au cours de la vie on veut parler de Jésus-Christ avec les personnes qui ont été baptisées «chrétiennement», elles ne veulent alors rien entendre de la grâce et veulent être laissées en paix pour ce qui concerne cet argument. Contre la doctrine du baptême et de sa pratique non bibliques, une accusation est aussi élevée devant le tribunal de Dieu.

A l’origine, le baptême n’était accompli que pour ceux qui étaient devenus croyants, et conformément aux Saintes Ecritures, ils étaient plongés une seule fois sous l’eau. De même qu’un mort est placé dans le cercueil sur le dos et enseveli de cette manière, ainsi celui qui est mort à lui-même avec Christ est enseveli symboliquement avec Lui dans le baptême (Rom. 6.3-11). Le fait de le ressortir de l’eau signifie que la personne concernée marche désormais dans une nouvelle vie avec Christ. On ne doit pas continuer à discuter au sujet de Dieu ou contester le baptême, mais maintenant, au contraire, l’ordre divin doit être de nouveau remis en activité: “Il y a un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême. Il y a un seul Dieu et Père de tous, qui est au-dessus de tout, et partout, et en nous tous”(Eph. 4.5-6).

A Samarie, Philippe publia la bonne nouvelle du Royaume de Dieu et le Nom de Jésus-Christ. Et tous ceux qui crurent, hommes ou femmes, furent baptisés au Nom du Seigneur Jésus(Actes 8.1-17). Lorsque l’évangéliste annonça à l’intendant de la Reine l’Evangile de Jésus-Christ, en conformité avec la Parole du prophète Esaïe, celui-ci lui dit: “Voici de l’eau,qu’est-ce qui m’empêche d’être baptisé ?”.Philippe confirme cette possibilité en disant: “Si tu crois de tout ton coeur, cela est permis. Et répondant, il dit: Je crois que Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Et il donna l’ordre qu’on arrêtât le char, et ils descendirent tous deux à l’eau, et Philippe et l’eunuque; et Philippe le baptisa(Actes 8.34-40 — Darby + note). Déjà Jean-Baptiste baptisait là où se trouvait beaucoup d’eau (Jean 3.23), afin qu’ils puissent être plongés correctement dans les eaux. Jésus Lui-même lorsqu’Il fut baptisé par lui, remonta hors de l’eau après le baptême (Mat. 3.16).

Lors d’un baptême biblique les deux, le baptisé et le baptiseur, descendent dans l’eau. Quelqu’un voudrait-il nier ce fait, bien qu’il soit décrit ainsi? La succession correcte demeure valable: prédication, foi, baptême. Quel est l’homme qui ose contester Dieu et Sa Parole pour persévérer dans une tradition non biblique?

Dans l’Ancien Testament, c’était le Nom du Seigneur YAHWEH qui était invoqué. Dans le Nouveau Testament, c’est le Nom de YAHSHUA, et c’est le même JE SUIS, qui pouvait dire: “En vérité, en vérité, je vous dis: Avant qu’Abraham fût, JE SUIS”(Jean 8.58). YAHWEH de l’Ancien Testament est YAHSHUA–JESUS du Nouveau Testament. Dans l’Ancien Testament, Il apparaît dans un corps spirituel, alors que dans le Nouveau Il vient dans un corps de chair à cause de nous qui sommes dans un corps de chair, et ceci afin de nous sauver.

Paul résume cela ainsi: “…si tu confesses de ta bouche Jésus comme Seigneuret que tu croies dans ton coeur que Dieu l’a ressuscité d’entre les morts, tu seras sauvé. Car du coeur on croit à justice, et de la bouche on fait confession à salut. Car l’écriture dit: «Quiconque croit en lui ne sera pas confus»Car il n’y a pas de différence de Juif et de Grec, car le même Seigneur de tous est riche envers tous ceux qui l’invoquent;«car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé»”(Rom. 10.9-13).

Au chapitre 3 des Actes des apôtres, nous est relaté le miracle de guérison du paralytique. Pierre dit: “Je n’ai ni argent ni or, mais ce que j’ai je te le donne:Au nom de Jésus-Christ le Nazaréen, lève-toi et marche(v. 3). Au chapitre 4, les apôtres sont conduits devant le Sanhédrin à cause de cette guérison et on leur demande: “Par quelle puissance ou par quel nom avez-vous fait ceci?”.La réponse de Pierre est celle-ci: “…sachez, vous tous, et tout le peuple d’Israël,que ç’a été par le nom de Jésus-Christ le Nazaréen,que vous, vous avez crucifié, et que Dieu a ressuscité d’entre les morts; c’est, dis-je,par ce nom que cet homme est ici devant vous plein de santé.Celui-ci est la pierre méprisée par vous qui bâtissez, qui est devenue la pierre angulaire; et il n’y a de saluten aucun autre; car aussi il n’y a point d’autre nom sous le ciel, qui soit donné parmi les hommes, par lequel il nous faille être sauvés(v. 7-12). Paul, l’apôtre rempli de puissance et ayant reçu un appel céleste direct, écrit: Et quelque chose que vous fassiez, en parole ou en oeuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus, rendant grâces par lui à Dieu le Père”(Col. 3.17) .

«Tout», signifie tout, et c’est ainsi que l’ordonne l’homme de Dieu. Tout doit être fait dans l’Eglise de la Nouvelle Alliance dans le Nom d’Alliance du Nouveau Testament. A qui devons-nous donner raison: A Dieu ou aux hommes? Pierre à Jérusalem, Philippe en Samarie, Paul à Ephèse — partout, tous ont baptisé au Nom du Seigneur Jésus-Christ. C’est ainsi que subsiste le témoignage du baptême — correct bibliquement — sur le témoignage d’au moins trois témoins. Peut-on oser tout simplement passer à côté de cela?

Nous voyons que l’accent, dans l’Ancien et le Nouveau Testament, est mis sur le Nom du Seigneur, dans Lequel tout s’accomplit: En tout lieu où je mettrai la mémoire de mon nom, je viendrai à toi, et je te bénirai”(Ex. 20.24). “…car là où deux ou trois sontassemblés en mon nom, je suis là au milieu d’eux(Mat. 18.20). Au Psaume 22.22 nous lisons: J’annoncerai ton nom à mes frères…”.Dans le Sermon sur la montagne, il nous est dit de quelle façon nous devons prier: “Vous donc, priez ainsi: Notre Père qui est dans les cieux,que ton nom soit sanctifié(Mat. 6.9). Dans la prière sacerdotale nous lisons: J’ai manifesté ton nomaux hommes que tu m’as donnés du monde”(Jean 17.6). Un peu plus loin, le Fils de Dieu prie ainsi: “Père saint, garde-lesen ton nom que tu m’as donné…” (v. 11). “Et je leur ai faitconnaître ton nom, et je le leur ferai connaître(v. 26). Il s’agit du Nom qui est au-dessus de tout nom, dans Lequel Dieu, en tant que Père, s’est révélé dans le Fils. Ecoutez ceci, vous tous les peuples, et toi, peuple de Dieu, prend au sérieux cet avertissement bien intentionné; crois-le et agis en conséquence!

L’importance du Nom de notre Seigneur doit être encore une fois mise en évidence dans Sa signification globale, pour la foi, le baptême et le plein salut. Dans le prophète Joël, nous trouvons plusieurs informations sur le Nom du Seigneur qui doit être invoqué pour le salut des âmes. La promesse est celle-ci: “Et il arrivera que, quiconque invoquera le nom de l’Eternel sera sauvé” (Joël 2.32). Dans sa première prédication, Pierre se réfère à cette parole prophétique devant la foule rassemblée. Le: “Et il arrivera…” devint à cause de la rédemption: “Et il arriva…”“Ceux donc qui reçurent sa parole, furent baptisés; et en ce jour-là furent ajoutées environ trois mille âmes” (Actes 2.41).

L’apôtre a pensé au même Seigneur que Joël, Seigneur sur Lequel ce dernier a prophétisé. Au jour de la fondation de l’Eglise du Nouveau Testament, il est clairement montré de quel Nom il s’agit dans Actes 2.38: “Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ, en rémission des péchés…”. C’est l’exemple valable pour tous les temps, concernant l’accomplissement de l’ordre de mission pour l’Eglise du Nouveau Testament. La pratique traditionnelle trinitaire du baptême est un blasphème à l’égard de l’ordre donné pour le baptême, parce qu’elle renie le Nom. La doctrine de Christ, qui est en même temps la doctrine et la pratique des apôtres, ne peut être trouvée que dans la Parole de Dieu. Se réclamer uniquement de Christ et de Pierre ne sert à personne. Ce qui n’est pas en accord harmonieux avec toute la Parole, n’est pas juste du tout!

Les passages bibliques suivants doivent encore servir à placer avec insistance devant nos yeux l’importance du baptême. Paul s’inclut lui-même lorsqu’il rend témoignage: “Ignorez-vous que nous tous qui avons été baptisés pour le Christ Jésus,nous avons été baptisés pour sa mort ? Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême, pour la mort,afin que comme Christ a été ressuscité d’entre les morts par la gloire du Père, ainsi nous aussi nous marchions en nouveauté de vie. Car si nous avons été identifiés avec lui dans la ressemblance de sa mort, nous le serons donc aussi dans la ressemblance de sa résurrection” (Rom. 6.3-5). “… étant ensevelis avec lui dans le baptême, dans lequel aussi vous avez été ressuscités ensemble par la foi en l’opération de Dieu qui l’a ressuscité d’entre les morts” (Col. 2.12).

L’aspersion traditionnelle mais non biblique des nourrissons est même nommée «baptême», pourtant elle ne l’est pas. Le mot grec pour baptême «baptisma», signifie «être plongé». Ceci est connu de tous les théologiens. De plus il y a un terrible malentendu sur les paroles de Jésus dans Jean 3.5, et de leur emploi: “En vérité, en vérité, je te dis: Si quelqu’un n’est né d’eau et de l’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu”. Ce texte a totalement été sorti de son contexte pour être interprété comme le «baptême de la nouvelle naissance (régénération)», qui est cru et enseigné. Le nourrisson, qui ne sait rien de l’expérience de la grâce, du salut et de la nouvelle naissance, devrait-il naître de nouveau par un acte officiel? Si plus tard au cours de la vie on veut parler de Jésus-Christ avec les personnes qui ont été baptisées «chrétiennement», elles ne veulent alors rien entendre de la grâce et veulent être laissées en paix pour ce qui concerne cet argument. Contre la doctrine du baptême et de sa pratique non bibliques, une accusation est aussi élevée devant le tribunal de Dieu.

A l’origine, le baptême n’était accompli que pour ceux qui étaient devenus croyants, et conformément aux Saintes Ecritures, ils étaient plongés une seule fois sous l’eau. De même qu’un mort est placé dans le cercueil sur le dos et enseveli de cette manière, ainsi celui qui est mort à lui-même avec Christ est enseveli symboliquement avec Lui dans le baptême (Rom. 6.3-11). Le fait de le ressortir de l’eau signifie que la personne concernée marche désormais dans une nouvelle vie avec Christ. On ne doit pas continuer à discuter au sujet de Dieu ou contester le baptême, mais maintenant, au contraire, l’ordre divin doit être de nouveau remis en activité: “Il y a un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême. Il y a un seul Dieu et Père de tous, qui est au-dessus de tout, et partout, et en nous tous” (Eph. 4.5-6).

A Samarie, Philippe publia la bonne nouvelle du Royaume de Dieu et le Nom de Jésus-Christ. Et tous ceux qui crurent, hommes ou femmes, furent baptisés au Nom du Seigneur Jésus (Actes 8.1-17). Lorsque l’évangéliste annonça à l’intendant de la Reine l’Evangile de Jésus-Christ, en conformité avec la Parole du prophète Esaïe, celui-ci lui dit: “Voici de l’eau,qu’est-ce qui m’empêche d’être baptisé ?”.Philippe confirme cette possibilité en disant: “Si tu crois de tout ton coeur, cela est permis. Et répondant, il dit: Je crois que Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Et il donna l’ordre qu’on arrêtât le char, et ils descendirent tous deux à l’eau, et Philippe et l’eunuque; et Philippe le baptisa (Actes 8.34-40 — Darby + note). Déjà Jean-Baptiste baptisait là où se trouvait beaucoup d’eau (Jean 3.23), afin qu’ils puissent être plongés correctement dans les eaux. Jésus Lui-même lorsqu’Il fut baptisé par lui, remonta hors de l’eau après le baptême (Mat. 3.16).

Lors d’un baptême biblique les deux, le baptisé et le baptiseur, descendent dans l’eau. Quelqu’un voudrait-il nier ce fait, bien qu’il soit décrit ainsi? La succession correcte demeure valable: prédication, foi, baptême. Quel est l’homme qui ose contester Dieu et Sa Parole pour persévérer dans une tradition non biblique?

Dans l’Ancien Testament, c’était le Nom du Seigneur YAHWEH qui était invoqué. Dans le Nouveau Testament, c’est le Nom de YAHSHUA, et c’est le même JE SUIS, qui pouvait dire: “En vérité, en vérité, je vous dis: Avant qu’Abraham fût, JE SUIS” (Jean 8.58). YAHWEH de l’Ancien Testament est YAHSHUA–JESUS du Nouveau Testament. Dans l’Ancien Testament, Il apparaît dans un corps spirituel, alors que dans le Nouveau Il vient dans un corps de chair à cause de nous qui sommes dans un corps de chair, et ceci afin de nous sauver.

Paul résume cela ainsi: “… si tu confesses de ta bouche Jésus comme Seigneur et que tu croies dans ton coeur que Dieu l’a ressuscité d’entre les morts, tu seras sauvé. Car du coeur on croit à justice, et de la bouche on fait confession à salut. Car l’écriture dit: «Quiconque croit en lui ne sera pas confus»Car il n’y a pas de différence de Juif et de Grec, car le même Seigneur de tous est riche envers tous ceux qui l’invoquent; «car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé»” (Rom. 10.9-13).

Au chapitre 3 des Actes des apôtres, nous est relaté le miracle de guérison du paralytique. Pierre dit: “Je n’ai ni argent ni or, mais ce que j’ai je te le donne: Au nom de Jésus-Christ le Nazaréen, lève-toi et marche (v. 3). Au chapitre 4, les apôtres sont conduits devant le Sanhédrin à cause de cette guérison et on leur demande: “Par quelle puissance ou par quel nom avez-vous fait ceci?”. La réponse de Pierre est celle-ci: “… sachez, vous tous, et tout le peuple d’Israël, que ç’a été par le nom de Jésus-Christ le Nazaréen, que vous, vous avez crucifié, et que Dieu a ressuscité d’entre les morts; c’est, dis-je,par ce nom que cet homme est ici devant vous plein de santé.Celui-ci est la pierre méprisée par vous qui bâtissez, qui est devenue la pierre angulaire; et il n’y a de salut en aucun autre; car aussi il n’y a point d’autre nom sous le ciel, qui soit donné parmi les hommes, par lequel il nous faille être sauvés (v. 7-12). Paul, l’apôtre rempli de puissance et ayant reçu un appel céleste direct, écrit: *“Et quelque chose que vous fassiez, en parole ou en oeuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus*, rendant grâces par lui à Dieu le Père” (Col. 3.17) .

«Tout», signifie tout, et c’est ainsi que l’ordonne l’homme de Dieu. Tout doit être fait dans l’Eglise de la Nouvelle Alliance dans le Nom d’Alliance du Nouveau Testament. A qui devons-nous donner raison: A Dieu ou aux hommes? Pierre à Jérusalem, Philippe en Samarie, Paul à Ephèse — partout, tous ont baptisé au Nom du Seigneur Jésus-Christ. C’est ainsi que subsiste le témoignage du baptême — correct bibliquement — sur le témoignage d’au moins trois témoins. Peut-on oser tout simplement passer à côté de cela?

Nous voyons que l’accent, dans l’Ancien et le Nouveau Testament, est mis sur le Nom du Seigneur, dans Lequel tout s’accomplit: En tout lieu où je mettrai la mémoire de mon nom, je viendrai à toi, et je te bénirai” (Ex. 20.24). “… car là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis là au milieu d’eux (Mat. 18.20). Au Psaume 22.22 nous lisons: J’annoncerai ton nom à mes frères…”. Dans le Sermon sur la montagne, il nous est dit de quelle façon nous devons prier: “Vous donc, priez ainsi: Notre Père qui est dans les cieux, que ton nom soit sanctifié (Mat. 6.9). Dans la prière sacerdotale nous lisons: J’ai manifesté ton nom aux hommes que tu m’as donnés du monde” (Jean 17.6). Un peu plus loin, le Fils de Dieu prie ainsi: “Père saint, garde-les en ton nom que tu m’as donné…(v. 11). “Et je leur ai fait connaître ton nom, et je le leur ferai connaître (v. 26). Il s’agit du Nom qui est au-dessus de tout nom, dans Lequel Dieu, en tant que Père, s’est révélé dans le Fils. Ecoutez ceci, vous tous les peuples, et toi, peuple de Dieu, prend au sérieux cet avertissement bien intentionné; crois-le et agis en conséquence!