L’APOCALYPSE - UN LIVRE SCELLÉ DE 7 SCEAUX ?

Jean mange le livre doux-amer

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“Et la voix, que j’avais entendue du ciel, me parla de nouveau, et dit: Va, prends le petit livre ouvert dans la main de l’ange qui se tient debout sur la mer et sur la terre. Et j’allai vers l’ange, en lui disant de me donner le petit livre. Et il me dit: Prends-le, et avale-le; il sera amer à tes entrailles, mais dans ta bouche il sera doux comme du miel. Je pris le petit livre de la main de l’ange, et je l’avalai; il fut dans ma bouche doux comme du miel, mais quand je l’eus avalé, mes entrailles furent remplies d’amertume. Puis on me dit: Il faut que tu prophétises de nouveau sur beaucoup de peuples, de nations, de langues, et de rois.(Apoc. 10.8‑11).

Il ressort du contexte l’effet provoqué pour avoir “manger le livre”. Le prophète Ezéchiel nous relate une expérience semblable (Ezé. 2.8 à 3.3). Les deux fois il nous est montré symboliquement les hommes de Dieu mangeant le rouleau écrit, ce qui veut dire qu’ils doivent prendre en eux la Parole pour pouvoir ensuite La transmettre. Ensuite le Voyant prophétisa aux peuples et aux rois de la part de Dieu. Remarquez bien: il n’est pas question ici de la publication de l’Evangile, mais il s’agit de prophétiser sur les peuples. Cela fait une grande différence. Les deux prophètes d’Apocalypse 11 ne prêcheront pas aux peuples; ils prêcheront à Israël, mais ils prophétiseront sur les peuples. Maintenant l’Evangile éternellement valable est prêché aux peuples en témoignage (Mat. 24.14). Pendant le ministère des deux prophètes, le AINSI DIT L’ETERNEL sera prononcé aux peuples de la terre, lesquels seront frappés par de terribles plaies.

“Et la voix, que j’avais entendue du ciel, me parla de nouveau, et dit: Va, prends le petit livre ouvert dans la main de l’ange qui se tient debout sur la mer et sur la terre. Et j’allai vers l’ange, en lui disant de me donner le petit livre. Et il me dit: Prends-le, et avale-le; il sera amer à tes entrailles, mais dans ta bouche il sera doux comme du miel. Je pris le petit livre de la main de l’ange, et je l’avalai; il fut dans ma bouche doux comme du miel, mais quand je l’eus avalé, mes entrailles furent remplies d’amertume. Puis on me dit: Il faut que tu prophétises de nouveau sur beaucoup de peuples, de nations, de langues, et de rois. (Apoc. 10.8‑11).

Il ressort du contexte l’effet provoqué pour avoir “manger le livre”. Le prophète Ezéchiel nous relate une expérience semblable (Ezé. 2.8 à 3.3). Les deux fois il nous est montré symboliquement les hommes de Dieu mangeant le rouleau écrit, ce qui veut dire qu’ils doivent prendre en eux la Parole pour pouvoir ensuite La transmettre. Ensuite le Voyant prophétisa aux peuples et aux rois de la part de Dieu. Remarquez bien: il n’est pas question ici de la publication de l’Evangile, mais il s’agit de prophétiser sur les peuples. Cela fait une grande différence. Les deux prophètes d’Apocalypse 11 ne prêcheront pas aux peuples; ils prêcheront à Israël, mais ils prophétiseront sur les peuples. Maintenant l’Evangile éternellement valable est prêché aux peuples en témoignage (Mat. 24.14). Pendant le ministère des deux prophètes, le AINSI DIT L’ETERNEL sera prononcé aux peuples de la terre, lesquels seront frappés par de terribles plaies.