Lettre circulaire Avril 2009
NÉS DE DIEU ET PARTICIPANTS DE LA NATURE DIVINE (2 Pierre 1:3-11)
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«La postérité le servira…» (Psaumes 22:30; Ésaïe 53:10; etc.) et reçoit la nature divine (2 Pierre 1:3-7). Tous ceux qui sont engendrés de Dieu et nés de nouveau, en tant que fils et filles de Dieu, ont la même nature divine que celle du Fils de Dieu. Le mot grec gennao signifie «engendrer» aussi bien qu’«enfanter» et cela s’applique tant au Fils de Dieu qu’aux fils et filles de Dieu. Quand ce mot est utilisé en relation avec un homme, la traduction devrait être «engendrer» (ou naître de) comme par exemple dans Genèse 5 où il est cité à plusieurs reprises: «Adam, âgé de cent trente ans, engendra un fils… Seth, âgé de cent cinq ans, engendra Énosch…». Quand il est utilisé en relation avec une femme, la traduction devrait être «enfanter». «Adam connut Eve, sa femme; elle conçut, et enfanta…» (Genèse 4:1). Au sujet de Marie, nous lisons: «…et elle enfanta son fils premier-né» (Luc 2 :7). L’apôtre Jean a écrit en détail sur ce sujet (Jean 3:7; 1 Jean 2:29; 1 Jean 3:9; 1 Jean 5:1; 1 Jean 5:18; etc.). C’est un fait avéré que chaque naissance est précédée d’un engendrement et que la semence se manifeste dans la vie par la naissance. «Si vous savez qu’il est juste, reconnaissez que quiconque pratique la justice est né de (engendré par) lui» (1 Jean 2:29). «Quiconque est né de (engendré par) Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui; et il ne peut pécher, parce qu’il est né de (engendré par) Dieu» (1 Jean 3:9). «Parce que tout ce qui est né de (engendré par) Dieu triomphe du monde; et la victoire qui triomphe du monde, c’est notre foi» (1 Jean 5:4).
En regardant aux vierges sages, nous voyons l’histoire se répéter comme avec Marie: elle reçut la promesse, la crut, le Saint-Esprit vint immédiatement sur elle et ainsi la Parole fut faite chair. La même chose arrive maintenant avec ceux qui constituent l’Église-Épouse. Ils reçoivent par la foi la Parole de la promesse pour ce temps, le Saint-Esprit vient sur eux et la semence de la Parole se manifeste. Comme Marie, ils disent: «…qu’il me soit fait selon ta parole». Lorsqu’il est question des vierges sages, il n’y a plus d’interférence humaine. Elles pareillement ne connaissent aucun homme, aucune semence étrangère et aucune doctrine non scripturaire. Les vierges folles peuvent croire des interprétations absurdes telles que sept hommes spéciaux achèveront l’Épouse, que le Seigneur serait déjà revenu et tant d’autres choses semblables. Cependant, les vierges sages ne tolèrent aucune interprétation. Elles sont l’Épouse Parole et par conséquent, elles ne peuvent être coupables de fornication spirituelle. Ainsi elles demeurent pures et les promesses de Dieu deviennent une réalité en elles. Les enfants de la promesse croient la Parole de la promesse et reçoivent l’Esprit de la promesse (Rom. 9:8; Gal. 4:28; Éph. 1:13).
Les vierges sages n’ont pas que des lampes/la lumière, elles ont également des vases d’huile afin de remplir leurs lampes pour que celles-ci ne s’éteignent pas. Cela nous rappelle le prophète Élie qui fut envoyé vers une veuve à Sarepta et il lui dit: «Car ainsi parle l’Éternel, le Dieu d’Israël: la farine qui est dans le pot ne manquera point et l’huile qui est dans la cruche ne diminuera point, jusqu’au jour où l’Éternel fera tomber de la pluie sur la face du sol» (1 Rois 17:14). On a besoin de la farine pour préparer du pain; l’huile est nécessaire pour la lampe. En continuant la lecture, nous voyons ses paroles confirmées: «La farine qui était dans le pot ne manqua point, et l’huile qui était dans la cruche ne diminua point, selon la parole que l’Éternel avait prononcée par Élie» (1 Rois 17:16). De la même manière maintenant ces deux choses nous serons suffisamment accordées jusqu’à ce que tombe la pluie de l’arrière-saison (Ésaïe 44:3; Jér. 5:24; Jacq. 5:7; etc.). Dans la prédication «la Parole parlée est la semence originelle», frère Branham a dit: «Quand ce messager oint arrivera, il plantera évidemment la semence de la Bible tout entière, commençant au serpent pour arriver jusqu’au messager pendant la première pluie…ensuite dans la dernière pluie, viendra un Mont Carmel, une confrontation: La Bible s’accomplit à la lettre».
Nous croyons au message d’Élie pour notre temps et nourrissons nos âmes avec la précieuse nourriture spirituelle. Les vierges sages expérimentent en ce moment le remplissage d’huile dans les vases afin de pouvoir ravitailler leurs lampes. Cela les distingue encore plus des vierges folles qui se sont séparées de l’Église, et par cela du récipient d’huile qui est relié directement au chandelier (Zach. 4:2; Apoc. 1-3).
En fin de compte, l’objectif capital est de croire sans compromis, sous la conduite directe du Saint-Esprit, et d’expérimenter ce que Dieu a promis dans Sa Parole. Alors, ces paroles deviendront une réalité en nous: «Et bienheureuse est celle qui a cru; car il y aura un accomplissement des choses qui lui ont été dites de la part du Seigneur» (Luc 1:45). La promesse que Dieu nous a faite inclut l’appel à sortir, la séparation, la purification selon 2 Cor. 6:14 – 7:1 ainsi que la totale restauration de toutes choses dans leur état original. Tandis que les folles sont encore dans des discussions sur différents sujets, les sages expérimentent l’accomplissement des promesses.
En ce qui concerne la préparation personnelle de tous ceux qui appartiennent à l’Église-Épouse, nous devons sérieusement réaliser que dans les derniers instants avant le mariage, sur le plan naturel, une épouse ne s’inquiète plus de tout ce qui se passe autour d’elle. Elle ne s’intéresse plus à ce que les gens disent ou font mais elle est plutôt déterminée à être prête. Le prophète Jérémie a dit: «La jeune fille oublie-t-elle ses ornements, la fiancée sa ceinture?» (Jér. 2:32). C’est le cas maintenant avec ceux qui font partie de l’Épouse: ils ont un lavage d’eau dans la Parole de Dieu (Éph. 5:26); ils plongent leurs regards dans le miroir de la Parole (Jacq. 1:19-27); ils seront revêtus de fin lin qui sont les oeuvres justes des saints (Apoc. 19:8) et se préparent pour rencontrer l’Époux.
L’apôtre Jacques nous a sérieusement avertis de rejeter toute souillure et de recevoir avec douceur la parole qui a été plantée en nous, et qui peut sauver nos âmes. Il ajouta: «Mettez en pratique la parole, et ne vous bornez pas à l’écouter, en vous trompant vous-mêmes». Il poursuivit plus loin en écrivant: «Car, si quelqu’un écoute la parole et ne la met pas en pratique, il est semblable à un homme qui regarde dans un miroir son visage naturel…». Finalement, il nous est dit qu’un simple regard dans le miroir ne suffit pas: «et qui, après s’être regardé, s’en va, et oublie aussitôt comment il était» (Jacq. 1:22-24).
L’Esprit de Dieu révèle les manquements de chacun individuellement. Il convainc du péché, de la justice et du jugement (Jean 16:7-15) et il conduit également dans toute la vérité ainsi que dans l’obéissance. Nous mettons alors en pratique la Parole et pouvons marcher en pleine harmonie avec Dieu comme le fit Hénoc, en accord avec Sa Parole et Sa Volonté. Lorsque nous lisons dans Éphésiens 5:27 que le Seigneur se présentera à Lui-même une Église irrépréhensible, sans tache, ni ride, alors nous devons aussi lire les Écritures respectives pour savoir ce qui est exigé de chacun de nous individuellement afin de mener une vie agréable à Dieu. David posa cette question: «Qui pourra monter à la montagne de l’Éternel? Qui s’élèvera jusqu’à son lieu saint? Celui qui a les mains innocentes et le cœur pur; celui qui ne livre pas son âme au mensonge, et qui ne jure pas pour tromper» (Ps. 24:3-4). Dans le sermon sur la Montagne, notre Seigneur a dit: «Heureux ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu» (Mat. 5:8). David, qui avait personnellement subi beaucoup d’épreuves, écrivit ce qui suit sous la conduite du Saint-Esprit: «Celui qui marche dans l’intégrité, qui pratique la justice et qui dit la vérité selon son cœur. Il ne calomnie point avec sa langue, Il ne fait point de mal à son semblable, et il ne jette point l’opprobre sur son prochain» (Ps. 15:2-3).
Il serait conseillé à chaque croyant de se référer à 1 Corinthiens 6:9-10 pour une évaluation biblique de sa vie et pour déterminer s’il y a encore certains manquements qui pourraient l’exclure du Royaume de Dieu. Les calomniateurs devront rester dehors ainsi que les idolâtres et tous ceux qui sont mentionnés dans cette Écriture. Dans Galates 5:19-21, l’apôtre nous expose toute une liste de ces choses. Les Écritures relatives doivent susciter une réponse personnelle dans chaque individu ou sinon ce n’est qu’un bref coup d’œil dans le miroir et tout demeure comme auparavant. C’est seulement lorsque nous prenons au sérieux les avertissements que nous comprenons ce qui est écrit dans Hébreux 12:14: «Recherchez la paix avec tous, et la sanctification, sans laquelle personne ne verra le Seigneur…». Il est important pour chacun de nous d’être trouvé dans la foi parfaite et dans l’obéissance dans notre marche sur le chemin resserré. La sournoiserie de l’ennemi se manifeste dans les croyants qui s’intéressent plus à ce que les autres ont fait et qui, selon leur opinion, n’aurait pas dû arriver. Nous ferions mieux de nous examiner nous-mêmes, afin de trouver ce qui doit être corrigé dans notre propre vie pour que nous puissions rencontrer le Seigneur, et prendre à cœur cet avertissement: «Quel rapport y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles?… qu’y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres? Quelle part a le fidèle avec l’infidèle?» (2 Cor. 6:14-18). Nous devons aussi prendre tout ce que le Seigneur a ordonné comme un commandement: «…Ne touchez pas à ce qui est impur, et je vous accueillerai. Je serai pour vous un père, et vous serez pour moi des fils et des filles, dit le Seigneur tout-puissant». Une fois de plus, l’apôtre mit l’accent sur les choses fondamentales: «Ayant donc de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit, en achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu» (2 Cor. 7:1).
Dans chaque âge tout au long de l’histoire, seuls ceux à qui une part dans l’élection de la grâce fut accordée (Rom. 11:5) écoutèrent ce que l’Esprit avait à dire aux églises (Apoc. 2+3) tandis que les autres furent endurcis (Rom. 11:7). Maintenant que nous sommes si proches du Retour de l’Époux, l’appel final à sortir et la préparation de l’Église-Épouse sont entrain d’avoir lieu. Dieu a tout fait; Il nous a envoyé le messager, nous a donné le message et Il nous conduit de clarté en clarté. Après que le christianisme déchu eût été décrit dans Apocalypse 17 comme Babylone la grande prostituée, l’appel retentit pour la dernière fois pour tous les vrais croyants dans Apocalypse 18:4: «Et j’entendis du ciel une autre voix qui disait: Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n’ayez point de part à ses fléaux». C’est l’appel final que doivent suivre tous ceux qui appartiennent à l’Église-Épouse avant le Retour de l’Époux. L’appel à sortir et la séparation sont suivis de la pleine restauration. C’est de cette manière qu’à la fin, toutes choses reviennent à leur état original comme au commencement de l’Église du Nouveau Testament.
«La postérité le servira…» (Psaumes 22:30; Ésaïe 53:10; etc.) et reçoit la nature divine (2 Pierre 1:3-7). Tous ceux qui sont engendrés de Dieu et nés de nouveau, en tant que fils et filles de Dieu, ont la même nature divine que celle du Fils de Dieu. Le mot grec gennao signifie «engendrer» aussi bien qu’«enfanter» et cela s’applique tant au Fils de Dieu qu’aux fils et filles de Dieu. Quand ce mot est utilisé en relation avec un homme, la traduction devrait être «engendrer» (ou naître de) comme par exemple dans Genèse 5 où il est cité à plusieurs reprises: «Adam, âgé de cent trente ans, engendra un fils… Seth, âgé de cent cinq ans, engendra Énosch…». Quand il est utilisé en relation avec une femme, la traduction devrait être «enfanter». «Adam connut Eve, sa femme; elle conçut, et enfanta…» (Genèse 4:1). Au sujet de Marie, nous lisons: «…et elle enfanta son fils premier-né» (Luc 2 :7). L’apôtre Jean a écrit en détail sur ce sujet (Jean 3:7; 1 Jean 2:29; 1 Jean 3:9; 1 Jean 5:1; 1 Jean 5:18; etc.). C’est un fait avéré que chaque naissance est précédée d’un engendrement et que la semence se manifeste dans la vie par la naissance. «Si vous savez qu’il est juste, reconnaissez que quiconque pratique la justice est né de (engendré par) lui» (1 Jean 2:29). «Quiconque est né de (engendré par) Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui; et il ne peut pécher, parce qu’il est né de (engendré par) Dieu» (1 Jean 3:9). «Parce que tout ce qui est né de (engendré par) Dieu triomphe du monde; et la victoire qui triomphe du monde, c’est notre foi» (1 Jean 5:4).
En regardant aux vierges sages, nous voyons l’histoire se répéter comme avec Marie: elle reçut la promesse, la crut, le Saint-Esprit vint immédiatement sur elle et ainsi la Parole fut faite chair. La même chose arrive maintenant avec ceux qui constituent l’Église-Épouse. Ils reçoivent par la foi la Parole de la promesse pour ce temps, le Saint-Esprit vient sur eux et la semence de la Parole se manifeste. Comme Marie, ils disent: «…qu’il me soit fait selon ta parole». Lorsqu’il est question des vierges sages, il n’y a plus d’interférence humaine. Elles pareillement ne connaissent aucun homme, aucune semence étrangère et aucune doctrine non scripturaire. Les vierges folles peuvent croire des interprétations absurdes telles que sept hommes spéciaux achèveront l’Épouse, que le Seigneur serait déjà revenu et tant d’autres choses semblables. Cependant, les vierges sages ne tolèrent aucune interprétation. Elles sont l’Épouse Parole et par conséquent, elles ne peuvent être coupables de fornication spirituelle. Ainsi elles demeurent pures et les promesses de Dieu deviennent une réalité en elles. Les enfants de la promesse croient la Parole de la promesse et reçoivent l’Esprit de la promesse (Rom. 9:8; Gal. 4:28; Éph. 1:13).
Les vierges sages n’ont pas que des lampes/la lumière, elles ont également des vases d’huile afin de remplir leurs lampes pour que celles-ci ne s’éteignent pas. Cela nous rappelle le prophète Élie qui fut envoyé vers une veuve à Sarepta et il lui dit: «Car ainsi parle l’Éternel, le Dieu d’Israël: la farine qui est dans le pot ne manquera point et l’huile qui est dans la cruche ne diminuera point, jusqu’au jour où l’Éternel fera tomber de la pluie sur la face du sol» (1 Rois 17:14). On a besoin de la farine pour préparer du pain; l’huile est nécessaire pour la lampe. En continuant la lecture, nous voyons ses paroles confirmées: «La farine qui était dans le pot ne manqua point, et l’huile qui était dans la cruche ne diminua point, selon la parole que l’Éternel avait prononcée par Élie» (1 Rois 17:16). De la même manière maintenant ces deux choses nous serons suffisamment accordées jusqu’à ce que tombe la pluie de l’arrière-saison (Ésaïe 44:3; Jér. 5:24; Jacq. 5:7; etc.). Dans la prédication «la Parole parlée est la semence originelle», frère Branham a dit: «Quand ce messager oint arrivera, il plantera évidemment la semence de la Bible tout entière, commençant au serpent pour arriver jusqu’au messager pendant la première pluie…ensuite dans la dernière pluie, viendra un Mont Carmel, une confrontation: La Bible s’accomplit à la lettre».
Nous croyons au message d’Élie pour notre temps et nourrissons nos âmes avec la précieuse nourriture spirituelle. Les vierges sages expérimentent en ce moment le remplissage d’huile dans les vases afin de pouvoir ravitailler leurs lampes. Cela les distingue encore plus des vierges folles qui se sont séparées de l’Église, et par cela du récipient d’huile qui est relié directement au chandelier (Zach. 4:2; Apoc. 1-3).
En fin de compte, l’objectif capital est de croire sans compromis, sous la conduite directe du Saint-Esprit, et d’expérimenter ce que Dieu a promis dans Sa Parole. Alors, ces paroles deviendront une réalité en nous: «Et bienheureuse est celle qui a cru; car il y aura un accomplissement des choses qui lui ont été dites de la part du Seigneur» (Luc 1:45). La promesse que Dieu nous a faite inclut l’appel à sortir, la séparation, la purification selon 2 Cor. 6:14 – 7:1 ainsi que la totale restauration de toutes choses dans leur état original. Tandis que les folles sont encore dans des discussions sur différents sujets, les sages expérimentent l’accomplissement des promesses.
En ce qui concerne la préparation personnelle de tous ceux qui appartiennent à l’Église-Épouse, nous devons sérieusement réaliser que dans les derniers instants avant le mariage, sur le plan naturel, une épouse ne s’inquiète plus de tout ce qui se passe autour d’elle. Elle ne s’intéresse plus à ce que les gens disent ou font mais elle est plutôt déterminée à être prête. Le prophète Jérémie a dit: «La jeune fille oublie-t-elle ses ornements, la fiancée sa ceinture?» (Jér. 2:32). C’est le cas maintenant avec ceux qui font partie de l’Épouse: ils ont un lavage d’eau dans la Parole de Dieu (Éph. 5:26); ils plongent leurs regards dans le miroir de la Parole (Jacq. 1:19-27); ils seront revêtus de fin lin qui sont les oeuvres justes des saints (Apoc. 19:8) et se préparent pour rencontrer l’Époux.
L’apôtre Jacques nous a sérieusement avertis de rejeter toute souillure et de recevoir avec douceur la parole qui a été plantée en nous, et qui peut sauver nos âmes. Il ajouta: «Mettez en pratique la parole, et ne vous bornez pas à l’écouter, en vous trompant vous-mêmes». Il poursuivit plus loin en écrivant: «Car, si quelqu’un écoute la parole et ne la met pas en pratique, il est semblable à un homme qui regarde dans un miroir son visage naturel…». Finalement, il nous est dit qu’un simple regard dans le miroir ne suffit pas: «et qui, après s’être regardé, s’en va, et oublie aussitôt comment il était» (Jacq. 1:22-24).
L’Esprit de Dieu révèle les manquements de chacun individuellement. Il convainc du péché, de la justice et du jugement (Jean 16:7-15) et il conduit également dans toute la vérité ainsi que dans l’obéissance. Nous mettons alors en pratique la Parole et pouvons marcher en pleine harmonie avec Dieu comme le fit Hénoc, en accord avec Sa Parole et Sa Volonté. Lorsque nous lisons dans Éphésiens 5:27 que le Seigneur se présentera à Lui-même une Église irrépréhensible, sans tache, ni ride, alors nous devons aussi lire les Écritures respectives pour savoir ce qui est exigé de chacun de nous individuellement afin de mener une vie agréable à Dieu. David posa cette question: «Qui pourra monter à la montagne de l’Éternel? Qui s’élèvera jusqu’à son lieu saint? Celui qui a les mains innocentes et le cœur pur; celui qui ne livre pas son âme au mensonge, et qui ne jure pas pour tromper» (Ps. 24:3-4). Dans le sermon sur la Montagne, notre Seigneur a dit: «Heureux ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu» (Mat. 5:8). David, qui avait personnellement subi beaucoup d’épreuves, écrivit ce qui suit sous la conduite du Saint-Esprit: «Celui qui marche dans l’intégrité, qui pratique la justice et qui dit la vérité selon son cœur. Il ne calomnie point avec sa langue, Il ne fait point de mal à son semblable, et il ne jette point l’opprobre sur son prochain» (Ps. 15:2-3).
Il serait conseillé à chaque croyant de se référer à 1 Corinthiens 6:9-10 pour une évaluation biblique de sa vie et pour déterminer s’il y a encore certains manquements qui pourraient l’exclure du Royaume de Dieu. Les calomniateurs devront rester dehors ainsi que les idolâtres et tous ceux qui sont mentionnés dans cette Écriture. Dans Galates 5:19-21, l’apôtre nous expose toute une liste de ces choses. Les Écritures relatives doivent susciter une réponse personnelle dans chaque individu ou sinon ce n’est qu’un bref coup d’œil dans le miroir et tout demeure comme auparavant. C’est seulement lorsque nous prenons au sérieux les avertissements que nous comprenons ce qui est écrit dans Hébreux 12:14: «Recherchez la paix avec tous, et la sanctification, sans laquelle personne ne verra le Seigneur…». Il est important pour chacun de nous d’être trouvé dans la foi parfaite et dans l’obéissance dans notre marche sur le chemin resserré. La sournoiserie de l’ennemi se manifeste dans les croyants qui s’intéressent plus à ce que les autres ont fait et qui, selon leur opinion, n’aurait pas dû arriver. Nous ferions mieux de nous examiner nous-mêmes, afin de trouver ce qui doit être corrigé dans notre propre vie pour que nous puissions rencontrer le Seigneur, et prendre à cœur cet avertissement: «Quel rapport y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles?… qu’y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres? Quelle part a le fidèle avec l’infidèle?» (2 Cor. 6:14-18). Nous devons aussi prendre tout ce que le Seigneur a ordonné comme un commandement: «…Ne touchez pas à ce qui est impur, et je vous accueillerai. Je serai pour vous un père, et vous serez pour moi des fils et des filles, dit le Seigneur tout-puissant». Une fois de plus, l’apôtre mit l’accent sur les choses fondamentales: «Ayant donc de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit, en achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu» (2 Cor. 7:1).
Dans chaque âge tout au long de l’histoire, seuls ceux à qui une part dans l’élection de la grâce fut accordée (Rom. 11:5) écoutèrent ce que l’Esprit avait à dire aux églises (Apoc. 2+3) tandis que les autres furent endurcis (Rom. 11:7). Maintenant que nous sommes si proches du Retour de l’Époux, l’appel final à sortir et la préparation de l’Église-Épouse sont entrain d’avoir lieu. Dieu a tout fait; Il nous a envoyé le messager, nous a donné le message et Il nous conduit de clarté en clarté. Après que le christianisme déchu eût été décrit dans Apocalypse 17 comme Babylone la grande prostituée, l’appel retentit pour la dernière fois pour tous les vrais croyants dans Apocalypse 18:4: «Et j’entendis du ciel une autre voix qui disait: Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n’ayez point de part à ses fléaux». C’est l’appel final que doivent suivre tous ceux qui appartiennent à l’Église-Épouse avant le Retour de l’Époux. L’appel à sortir et la séparation sont suivis de la pleine restauration. C’est de cette manière qu’à la fin, toutes choses reviennent à leur état original comme au commencement de l’Église du Nouveau Testament.