Lettre circulaire N° 22 – Juillet 1980 (1980-05)
Précisément maintenant où nous sommes si proches du retour de Jésus-Christ, le passage biblique suivant prend une signification toute particulière.
“Et prenons garde l’un à l’autre pour nous exciter à l’amour et aux bonnes oeuvres, n’abandonnant pas le rassemblement de nous-mêmes, comme quelques-uns ont l’habitude de faire, mais nous exhortant l’un l’autre, et cela d’autant plus que vous voyez le jour approcher. Car si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés...” (Héb. 10.24-26 – Darby).
Ici, nous trouvons le péché volontaire en rapport avec l’assemblée, le service divin, et le fait de rester loin de l’assemblée. Aucun de ceux qui appartiennent à l’Eglise n’a le droit de rester loin du service divin, et par cela de dédaigner l’assemblée du Dieu vivant. Il importe que dans ce temps nous discernions le Corps de Christ et ne péchions point contre l’Eglise du Dieu vivant. Le Seigneur Lui-même a payé le prix le plus haut et le plus précieux pour faire de nous Sa propriété. Par le Saint-Esprit, l’assemblée sera réunie à l’organisme vivant du Corps de Jésus-Christ. En son temps, Jésus avait dit à Ses disciples: “Vous serez tous scandalisés; car il est écrit: Je frapperai le berger, et les brebis seront dispersées” (Marc 14.27). Mais ensuite, ils se sont rassemblés pour avoir communion avec Lui et entre eux, jusqu’à ce qu’ils aient reçu la promesse du Père. En tant qu’enfants de Dieu, nous devons prendre garde à nos réactions, et cela plus particulièrement dans une situation critique.
Luc 9.51-55 nous décrit un événement particulier. Le Seigneur se trouve sur le chemin de Jérusalem et Il envoie Ses messagers pour préparer un logis pour passer la nuit, et ils se trouvent dans une ville des Samaritains. Il est connu que les Juifs et les Samaritains n’ont point de relations entre eux (Jean 4.9). Parce que le Seigneur montait à Jérusalem, les habitants de ce lieu ne voulaient point le recevoir. Nous sommes très étonnés en lisant ce que dirent les deux apôtres: “Et ses disciples, Jacques et Jean, voyant cela, dirent: Seigneur, veux-tu que nous disions que le feu descende du ciel et les consume, comme aussi fit Elie?” (v. 54 – Darby).
Intérieurement, ils étaient excités, et ils ne savaient pas ce qu’ils disaient, bien que ce fût extérieurement pour leur Maître qu’ils prenaient fait et cause. Malgré leur excitation, ils demandèrent cependant en premier au Seigneur: “Seigneur, veux-tu que...”. N’est-ce pas une leçon pour nous tous qu’en toute circonstance nous demandions: «Seigneur, que veux-Tu que je fasse?». Cependant, nous devons dire que bien qu’ils demandaient au Seigneur Sa volonté, leurs paroles n’avaient pas en vue le salut, mais l’extermination des gens. En plus de cela, ils se référaient à Elie. En tant que croyants, nous pouvons tomber tous les jours dans la même situation. C’est-à-dire avoir de bonnes intentions, être zélés pour notre Seigneur, et pourtant nous trouver sous une fausse influence. Le bon Esprit a le salut en vue, mais le mauvais veut la destruction. Le Seigneur les reprit très sévèrement par ces paroles: “Vous ne savez de quel esprit vous êtes animés. Car le Fils de l’homme est venu, non pour perdre les âmes des hommes, mais pour les sauver”.
Pour en revenir au texte d’introduction, il faut qu’une fois encore il soit insisté sur la sagesse et la sobriété pour vaquer à la prière et agir. La fin est proche, et seul celui qui persévère jusqu’à la fin sera couronné. Satan sait qu’il a peu de temps, il est furieux et voudrait tout détruire; cependant, le Seigneur construira Son Eglise. Il n’est pas seulement Celui qui commence, Il est aussi Celui qui achève; Il a tous les droits sur le groupe racheté par Son Sang, sur les premiers-nés qui sont transformés à Son image. Frère Branham a dit que nous prendrions avec nous seulement le caractère qui aura été formé en nous.
Précisément maintenant où nous sommes si proches du retour de Jésus-Christ, le passage biblique suivant prend une signification toute particulière.
“Et prenons garde l’un à l’autre pour nous exciter à l’amour et aux bonnes oeuvres, n’abandonnant pas le rassemblement de nous-mêmes, comme quelques-uns ont l’habitude de faire, mais nous exhortant l’un l’autre, et cela d’autant plus que vous voyez le jour approcher. Car si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés...” (Héb. 10.24-26 – Darby).
Ici, nous trouvons le péché volontaire en rapport avec l’assemblée, le service divin, et le fait de rester loin de l’assemblée. Aucun de ceux qui appartiennent à l’Eglise n’a le droit de rester loin du service divin, et par cela de dédaigner l’assemblée du Dieu vivant. Il importe que dans ce temps nous discernions le Corps de Christ et ne péchions point contre l’Eglise du Dieu vivant. Le Seigneur Lui-même a payé le prix le plus haut et le plus précieux pour faire de nous Sa propriété. Par le Saint-Esprit, l’assemblée sera réunie à l’organisme vivant du Corps de Jésus-Christ. En son temps, Jésus avait dit à Ses disciples: “Vous serez tous scandalisés; car il est écrit: Je frapperai le berger, et les brebis seront dispersées” (Marc 14.27). Mais ensuite, ils se sont rassemblés pour avoir communion avec Lui et entre eux, jusqu’à ce qu’ils aient reçu la promesse du Père. En tant qu’enfants de Dieu, nous devons prendre garde à nos réactions, et cela plus particulièrement dans une situation critique.
Luc 9.51-55 nous décrit un événement particulier. Le Seigneur se trouve sur le chemin de Jérusalem et Il envoie Ses messagers pour préparer un logis pour passer la nuit, et ils se trouvent dans une ville des Samaritains. Il est connu que les Juifs et les Samaritains n’ont point de relations entre eux (Jean 4.9). Parce que le Seigneur montait à Jérusalem, les habitants de ce lieu ne voulaient point le recevoir. Nous sommes très étonnés en lisant ce que dirent les deux apôtres: “Et ses disciples, Jacques et Jean, voyant cela, dirent: Seigneur, veux-tu que nous disions que le feu descende du ciel et les consume, comme aussi fit Elie?” (v. 54 – Darby).
Intérieurement, ils étaient excités, et ils ne savaient pas ce qu’ils disaient, bien que ce fût extérieurement pour leur Maître qu’ils prenaient fait et cause. Malgré leur excitation, ils demandèrent cependant en premier au Seigneur: “Seigneur, veux-tu que...”. N’est-ce pas une leçon pour nous tous qu’en toute circonstance nous demandions: «Seigneur, que veux-Tu que je fasse?». Cependant, nous devons dire que bien qu’ils demandaient au Seigneur Sa volonté, leurs paroles n’avaient pas en vue le salut, mais l’extermination des gens. En plus de cela, ils se référaient à Elie. En tant que croyants, nous pouvons tomber tous les jours dans la même situation. C’est-à-dire avoir de bonnes intentions, être zélés pour notre Seigneur, et pourtant nous trouver sous une fausse influence. Le bon Esprit a le salut en vue, mais le mauvais veut la destruction. Le Seigneur les reprit très sévèrement par ces paroles: “Vous ne savez de quel esprit vous êtes animés. Car le Fils de l’homme est venu, non pour perdre les âmes des hommes, mais pour les sauver”.
Pour en revenir au texte d’introduction, il faut qu’une fois encore il soit insisté sur la sagesse et la sobriété pour vaquer à la prière et agir. La fin est proche, et seul celui qui persévère jusqu’à la fin sera couronné. Satan sait qu’il a peu de temps, il est furieux et voudrait tout détruire; cependant, le Seigneur construira Son Eglise. Il n’est pas seulement Celui qui commence, Il est aussi Celui qui achève; Il a tous les droits sur le groupe racheté par Son Sang, sur les premiers-nés qui sont transformés à Son image. Frère Branham a dit que nous prendrions avec nous seulement le caractère qui aura été formé en nous.