Lettre circulaire N° 44 – Avril 1995
La différence entre une désignation, un titre, et ce que représente un nom est à proprement parler connu et bien compréhensible. Dieu est tout en tous et en tout. Ainsi, par exemple, créateur n’est pas un nom, mais il exprime ce qu’est Dieu par rapport à la création. La même chose est juste à son égard en tant que Rédempteur, Guérisseur, Roi, Juge, etc. Dès le commencement Dieu S’est fait connaître aux Siens – Abraham, Isaac et Jacob, par exemple – comme le Dieu Tout-puissant.
Mais lorsque le temps vint où la conclusion de l’Alliance avec Israël devait avoir lieu, le Seigneur Dieu Se révéla dans le Nom de Yahweh (Ex. 6:2,3). Dès lors ce Nom fut employé pendant tout le temps de la première alliance, et Il consiste dans les quatre lettres JHWH, qui furent appelées plus tard “tétragramme”. Des experts ont compté qu’il se trouve écrit plus de cinq mille fois dans la Bible.
Pour la conclusion de l’Alliance du Nouveau Testament l’annonce du Nom était celui-ci: “Voici, la vierge concevra et elle enfantera un fils, et elle appellera son nom Emmanuel” (Esa. 7:14; Mat. 1:23). Puis nous sommes informés à ce sujet que cet Emmanuel reçut le Nom de Jésus. Malheureusement dans nos Bibles ce Nom est rendu sous la forme grecque. Dans la forme originale hébraïque Yashuah exprimait bien qui était en fait devenu un homme. Dans le Nom de Yashuah se trouve inclus Yahweh; il signifie Yahweh-Sauveur, de même qu’Emmanuel signifie “Dieu avec nous”.
Depuis que le Nouveau Testament a été écrit en grec, dans toutes les traductions de la Bible faites dans le monde entier on a reproduit par Jésus le Nom de notre Seigneur. Contre cela Dieu n’a manifestement rien objecté, et Il a entièrement exaucé les prières sincères de millions de croyants qui, pendant le temps de la grâce, se sont approchés de Son trône de grâce au Nom du Seigneur Jésus-Christ. De même, tous les baptêmes bibliques ont été faits en ce Nom. Ce que Paul écrit dans Colossiens 3:17 est valable en chaque langue: “Et quelque chose que vous fassiez, en parole ou en oeuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus”.
Personne n’a besoin d’apprendre l’hébreux, pour la bonne raison que Dieu parle à chaque peuple dans sa propre langue. C’est ainsi qu’il nous est relaté que chacun de ceux des 17 nations différentes rassemblées le jour de Pentecôte à Jérusalem, a compris dans sa propre langue ce qui avait été dit sous la direction du Saint-Esprit: “Et ils étaient tous hors d’euxmêmes et s’étonnaient, disant: Voici, tous ceux-ci qui parlent ne sont-ils pas des Galiléens? Et comment les entendons-nous, chacun dans son propre langage, celui du pays dans lequel nous sommes nés?”.
Si donc maintenant des frères se lèvent en prétendant que le Nom invoqué pour le baptême et la prière doit être prononcé en hébreux, c’est là une affirmation tout à fait fausse. Aussitôt que le temps sera arrivé pour les Juifs, ils prononceront bien entendu ce Nom en leur langue. Pour nous ce qui est valable jusqu’à la fin, c’est ce qui se trouve écrit dans nos Bibles. Par la puissance du Nom de Jésus-Christ Dieu a accompli de grands signes et miracles; dans notre génération, et tout particulièrement dans le ministère de frère Branham, il a confirmé Sa parole exactement comme au temps des apôtres, bien qu’en leur temps ils s’exprimaient en hébreu et qu’en notre temps nous utilisons l’expression mise à notre disposition dans les traductions de nos Bibles. Les frères qui veulent maintenant une fois de plus se faire remarquer par une soi-disant “connaissance toute particulière” ne se trouvent pas sous la conduite du Saint-Esprit. Ils ne discernent pas que Dieu a Sa manière de faire avec l’Eglise sortie des nations, et seulement plus tard Sa manière de faire à l’égard d’Israël.
Ces frères doivent accepter le reproche d’agir selon leur propre autorité, car il ressort de leur manière de faire que leur motif était d’apporter quelque chose de particulier afin de paraître être quelqu’un. Ce qui est valable devant Dieu pour l’Eglise des nations, c’est le Nom tel qu’Il se trouve dans la traduction de nos Bibles. Pour les Juifs ce sera ce qui se trouve écrit dans leur langue. Dieu ne va pas employer un homme des nations pour distribuer un enseignement en hébreux.
De plus, sur l’écriteau apposé sur la croix à Golgotha, Pilate avait fait faire l’inscription en hébreu, en grec et en latin (Jean 19:19-22). Si Dieu avait trouvé important que seule la signification de la langue hébraïque ressorte, Il n’aurait certainement pas permis que la parole “Jésus le Nazaréen, le roi des Juifs” ait été écrite dans les deux autres langues. Comme nous le savons tous, le salut de Dieu a d’abord été annoncé aux Juifs, puis à toutes les nations païennes, du milieu desquelles le Seigneur s’est choisi un peuple qui Lui appartienne en propre. Par la présente j’adjure ces frères à revenir à la simplicité et à la pureté de la Parole, et de la pratique de cette Parole au sein de l’Eglise du Seigneur.
La différence entre une désignation, un titre, et ce que représente un nom est à proprement parler connu et bien compréhensible. Dieu est tout en tous et en tout. Ainsi, par exemple, créateur n’est pas un nom, mais il exprime ce qu’est Dieu par rapport à la création. La même chose est juste à son égard en tant que Rédempteur, Guérisseur, Roi, Juge, etc. Dès le commencement Dieu S’est fait connaître aux Siens – Abraham, Isaac et Jacob, par exemple – comme le Dieu Tout-puissant.
Mais lorsque le temps vint où la conclusion de l’Alliance avec Israël devait avoir lieu, le Seigneur Dieu Se révéla dans le Nom de Yahweh (Ex. 6:2,3). Dès lors ce Nom fut employé pendant tout le temps de la première alliance, et Il consiste dans les quatre lettres JHWH, qui furent appelées plus tard “tétragramme”. Des experts ont compté qu’il se trouve écrit plus de cinq mille fois dans la Bible.
Pour la conclusion de l’Alliance du Nouveau Testament l’annonce du Nom était celui-ci: “Voici, la vierge concevra et elle enfantera un fils, et elle appellera son nom Emmanuel” (Esa. 7:14; Mat. 1:23). Puis nous sommes informés à ce sujet que cet Emmanuel reçut le Nom de Jésus. Malheureusement dans nos Bibles ce Nom est rendu sous la forme grecque. Dans la forme originale hébraïque Yashuah exprimait bien qui était en fait devenu un homme. Dans le Nom de Yashuah se trouve inclus Yahweh; il signifie Yahweh-Sauveur, de même qu’Emmanuel signifie “Dieu avec nous”.
Depuis que le Nouveau Testament a été écrit en grec, dans toutes les traductions de la Bible faites dans le monde entier on a reproduit par Jésus le Nom de notre Seigneur. Contre cela Dieu n’a manifestement rien objecté, et Il a entièrement exaucé les prières sincères de millions de croyants qui, pendant le temps de la grâce, se sont approchés de Son trône de grâce au Nom du Seigneur Jésus-Christ. De même, tous les baptêmes bibliques ont été faits en ce Nom. Ce que Paul écrit dans Colossiens 3:17 est valable en chaque langue: “Et quelque chose que vous fassiez, en parole ou en oeuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus”.
Personne n’a besoin d’apprendre l’hébreux, pour la bonne raison que Dieu parle à chaque peuple dans sa propre langue. C’est ainsi qu’il nous est relaté que chacun de ceux des 17 nations différentes rassemblées le jour de Pentecôte à Jérusalem, a compris dans sa propre langue ce qui avait été dit sous la direction du Saint-Esprit: “Et ils étaient tous hors d’euxmêmes et s’étonnaient, disant: Voici, tous ceux-ci qui parlent ne sont-ils pas des Galiléens? Et comment les entendons-nous, chacun dans son propre langage, celui du pays dans lequel nous sommes nés?”.
Si donc maintenant des frères se lèvent en prétendant que le Nom invoqué pour le baptême et la prière doit être prononcé en hébreux, c’est là une affirmation tout à fait fausse. Aussitôt que le temps sera arrivé pour les Juifs, ils prononceront bien entendu ce Nom en leur langue. Pour nous ce qui est valable jusqu’à la fin, c’est ce qui se trouve écrit dans nos Bibles. Par la puissance du Nom de Jésus-Christ Dieu a accompli de grands signes et miracles; dans notre génération, et tout particulièrement dans le ministère de frère Branham, il a confirmé Sa parole exactement comme au temps des apôtres, bien qu’en leur temps ils s’exprimaient en hébreu et qu’en notre temps nous utilisons l’expression mise à notre disposition dans les traductions de nos Bibles. Les frères qui veulent maintenant une fois de plus se faire remarquer par une soi-disant “connaissance toute particulière” ne se trouvent pas sous la conduite du Saint-Esprit. Ils ne discernent pas que Dieu a Sa manière de faire avec l’Eglise sortie des nations, et seulement plus tard Sa manière de faire à l’égard d’Israël.
Ces frères doivent accepter le reproche d’agir selon leur propre autorité, car il ressort de leur manière de faire que leur motif était d’apporter quelque chose de particulier afin de paraître être quelqu’un. Ce qui est valable devant Dieu pour l’Eglise des nations, c’est le Nom tel qu’Il se trouve dans la traduction de nos Bibles. Pour les Juifs ce sera ce qui se trouve écrit dans leur langue. Dieu ne va pas employer un homme des nations pour distribuer un enseignement en hébreux.
De plus, sur l’écriteau apposé sur la croix à Golgotha, Pilate avait fait faire l’inscription en hébreu, en grec et en latin (Jean 19:19-22). Si Dieu avait trouvé important que seule la signification de la langue hébraïque ressorte, Il n’aurait certainement pas permis que la parole “Jésus le Nazaréen, le roi des Juifs” ait été écrite dans les deux autres langues. Comme nous le savons tous, le salut de Dieu a d’abord été annoncé aux Juifs, puis à toutes les nations païennes, du milieu desquelles le Seigneur s’est choisi un peuple qui Lui appartienne en propre. Par la présente j’adjure ces frères à revenir à la simplicité et à la pureté de la Parole, et de la pratique de cette Parole au sein de l’Eglise du Seigneur.