Lettre circulaire N° 42 – Mai 1994

JERUSALEM – LA PIERRE PESANTE

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Ce n’est pas Gaza ou Jéricho, pas plus que la Côte occidentale ou les hauteurs du Golan qui seront une pierre pesante pour tous les peuples, mais bien Jérusalem. Tous ceux qui s’en chargeront s’y meurtriront certainement (Zach. 12:2,3). Par le traité de Gaza et de Jéricho les peuples des alentours se trouvent placés directement devant la porte d’entrée de Jérusalem. Toutes les nations de l’ONU ont pris maintenant position pour Arafat, et par cela même contre Israël. C’est cet homme-là qui en 1974 énonçait son plan de conquête comme suit: «Dans la première phase nous établirons des têtes de ponts stratégiques à Gaza et Jéricho pour conquérir Jérusalem à partir de là. Car celui qui tient Jérusalem a tout Israël». Six jours après la signature du traité à Washington, c’est-à-dire le 19 septembre 1993, devant 19 ministres des affaires étrangères de la Ligne arabe, au Caire, il répéta le même plan d’échelonnement. Il lut, tiré du statut de l’O.L.P., sa thèse bien connue et termina par ces mots: «Notre but est l’anéantissement d’Israël». Lors de plusieurs guerres déjà – et Arafat y était depuis la première, en 1948 – on voulait, comme ils disent, «jeter Israël à la mer».

Jusqu’aujourd’hui Jérusalem a été uniquement la capitale d’Israël, jamais celle d’un autre peuple. Pour les deux autres religions mondiales, le Catholicisme et l’islam, cette ville était jusqu’ici d’importance plutôt moyenne. Mais singulièrement maintenant, ces deux religions jettent leurs regards d’une manière croissante sur Israël et plus particulièrement sur Jérusalem. Elles négligent La Mecque et Médina, Lourdes et Fatima, et se concentrent de tou-tes leurs forces sur Jérusalem. Le Vatican fait même valoir des prétentions sur des propriétés du temps des Croisades. De quel droit fait-il cela?

Ainsi la devise de l’O.L.P. est: premièrement Gaza et la Côte occidentale, ensuite Jérusalem et tout Israël. C’est pourquoi Arafat a fait imprimer les armoiries de son Etat couvrant tout Israël, de Eilat en passant par Jérusalem et Tel Aviv, jusqu’à Haïffa. D’après son point de vue c’est là l’Etat Palestinien – lequel n’a en vérité jamais existé comme tel – qui devrait maintenant naître. L’usage du nom de Palestine vient de la désignation gréco-romaine «Palaistine» et était employée pour le pays des Philistins. C’est aujourd’hui ce qui forme la bande de Gaza, rien de plus. Bien que le Premier-ministre israélien Rabin ait souligné à Washington la notion de paix – lorsqu’il cita cette parole d’Ecclésiaste 3:8: “… un temps d’aimer, et un temps de haïr; un temps de guerre, et un temps de paix” – des temps tout à fait mauvais se trouvent encore devant le peuple d’Israël et la ville de Jérusalem.

Les Saintes Ecritures ne disent pas qu’une véritable paix sera établie par des négociations politiques et religieuses. En réalité, ce qui arrive maintenant n’est que la réalisation de cette expression: On parle de paix et on débat de cela. Cependant cet avertissement de l’Ecriture demeure: Quand ils diront: Paix et sûreté, alors une subite destruction viendra sur eux, comme les douleurs sur celle qui est enceinte, et ils n’échapperont point” (1 Thess. 5:3).

Le 29 septembre 1938 déjà, le Premier Ministre britannique Chamberlain annonçait, après la signature du traité de Munich avec Hitler: «Peace in our days» – «Paix en nos jours». A peine deux mois plus tard, à savoir le 9 novembre 1938, les synagogues dans l’Allemagne d’Hitler étaient en flammes. 91 Juifs furent assassinés par les nazis, plus de 26:000 furent amenés dans des camps de concentration et un nombre incalculable de commerces juifs furent dévastés. Le 13 septembre 1993, à Washington, le slogan était: «Peace in our time» – «Paix en notre temps». Cependant, ce qui arrivera est ce que Dieu a prédit dans les Saintes Ecritures, par exemple dans Zacharie 12 et 14, comme aussi dans d’autres passages.

Ce n’est pas Gaza ou Jéricho, pas plus que la Côte occidentale ou les hauteurs du Golan qui seront une pierre pesante pour tous les peuples, mais bien Jérusalem. Tous ceux qui s’en chargeront s’y meurtriront certainement (Zach. 12:2,3). Par le traité de Gaza et de Jéricho les peuples des alentours se trouvent placés directement devant la porte d’entrée de Jérusalem. Toutes les nations de l’ONU ont pris maintenant position pour Arafat, et par cela même contre Israël. C’est cet homme-là qui en 1974 énonçait son plan de conquête comme suit: «Dans la première phase nous établirons des têtes de ponts stratégiques à Gaza et Jéricho pour conquérir Jérusalem à partir de là. Car celui qui tient Jérusalem a tout Israël». Six jours après la signature du traité à Washington, c’est-à-dire le 19 septembre 1993, devant 19 ministres des affaires étrangères de la Ligne arabe, au Caire, il répéta le même plan d’échelonnement. Il lut, tiré du statut de l’O.L.P., sa thèse bien connue et termina par ces mots: «Notre but est l’anéantissement d’Israël». Lors de plusieurs guerres déjà – et Arafat y était depuis la première, en 1948 – on voulait, comme ils disent, «jeter Israël à la mer». 

Jusqu’aujourd’hui Jérusalem a été uniquement la capitale d’Israël, jamais celle d’un autre peuple. Pour les deux autres religions mondiales, le Catholicisme et l’islam, cette ville était jusqu’ici d’importance plutôt moyenne. Mais singulièrement maintenant, ces deux religions jettent leurs regards d’une manière croissante sur Israël et plus particulièrement sur Jérusalem. Elles négligent La Mecque et Médina, Lourdes et Fatima, et se concentrent de tou-tes leurs forces sur Jérusalem. Le Vatican fait même valoir des prétentions sur des propriétés du temps des Croisades. De quel droit fait-il cela? 

Ainsi la devise de l’O.L.P. est: premièrement Gaza et la Côte occidentale, ensuite Jérusalem et tout Israël. C’est pourquoi Arafat a fait imprimer les armoiries de son Etat couvrant tout Israël, de Eilat en passant par Jérusalem et Tel Aviv, jusqu’à Haïffa. D’après son point de vue c’est là l’Etat Palestinien – lequel n’a en vérité jamais existé comme tel – qui devrait maintenant naître. L’usage du nom de Palestine vient de la désignation gréco-romaine «Palaistine» et était employée pour le pays des Philistins. C’est aujourd’hui ce qui forme la bande de Gaza, rien de plus. Bien que le Premier-ministre israélien Rabin ait souligné à Washington la notion de paix – lorsqu’il cita cette parole d’Ecclésiaste 3:8: “… un temps d’aimer, et un temps de haïr; un temps de guerre, et un temps de paix” – des temps tout à fait mauvais se trouvent encore devant le peuple d’Israël et la ville de Jérusalem. 

Les Saintes Ecritures ne disent pas qu’une véritable paix sera établie par des négociations politiques et religieuses. En réalité, ce qui arrive maintenant n’est que la réalisation de cette expression: On parle de paix et on débat de cela. Cependant cet avertissement de l’Ecriture demeure: Quand ils diront: Paix et sûreté, alors une subite destruction viendra sur eux, comme les douleurs sur celle qui est enceinte, et ils n’échapperont point” (1 Thess. 5:3). 

Le 29 septembre 1938 déjà, le Premier Ministre britannique Chamberlain annonçait, après la signature du traité de Munich avec Hitler: «Peace in our days» – «Paix en nos jours». A peine deux mois plus tard, à savoir le 9 novembre 1938, les synagogues dans l’Allemagne d’Hitler étaient en flammes. 91 Juifs furent assassinés par les nazis, plus de 26:000 furent amenés dans des camps de concentration et un nombre incalculable de commerces juifs furent dévastés. Le 13 septembre 1993, à Washington, le slogan était: «Peace in our time» – «Paix en notre temps». Cependant, ce qui arrivera est ce que Dieu a prédit dans les Saintes Ecritures, par exemple dans Zacharie 12 et 14, comme aussi dans d’autres passages.