Lettre circulaire N° 20 – Janvier 1980 (1979-12)

BENEDICTIONS ET EPREUVES

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Avant la venue de grandes bénédictions, nous pouvons être soumis aux plus grandes épreuves. Il est dit de notre Seigneur: “Aussitôt, l’Esprit poussa Jésus dans le désert, où il passa quarante jours, tenté par Satan. Il était avec les bêtes sauvages, et les anges le servaient” (Marc 1.12,13).

De grands hommes de Dieu durent passer par des profondeurs inimaginables, et cela avant qu’ils ne puissent gravir les hauteurs qui leur étaient réservées. Il nous est dit que Job avait été richement béni par Dieu. Tout ce qui lui appartenait était protégé. Il était un homme pieux et craignant Dieu, ennemi de tout mal. Un jour, Dieu permit à Satan de le frapper, et très rapidement, tout ce qu’il possédait fut jeté à terre et détruit. Sa famille, ses propriétés, tout avait été anéanti par Satan. Cet homme, considéré de Dieu, devant lequel jeunes et vieux s’inclinaient sur la place publique, se trouva alors assis sur un tas de cendres, abattu et méprisé de tous. Tous s’étaient détournés de lui, et ses amis, qui en réalité n’en étaient pas, ajoutèrent encore à sa douleur. Mais lui s’écria: “Je sais que mon rédempteur est vivant!”. Dans tous les temps, tous serviteurs et enfants de Dieu eurent le même témoignage. “Voici, nous disons bienheureux ceux qui ont souffert patiemment. Vous avez entendu parler de la patience de Job, et vous avez vu la fin que le Seigneur lui accorda, car le Seigneur est plein de miséricorde et de compassion” (Jacq. 5.12).

Ce n’est pas au commencement mais à la fin que nous serons couronnés.

Avant la venue de grandes bénédictions, nous pouvons être soumis aux plus grandes épreuves. Il est dit de notre Seigneur: “Aussitôt, l’Esprit poussa Jésus dans le désert, où il passa quarante jours, tenté par Satan. Il était avec les bêtes sauvages, et les anges le servaient” (Marc 1.12,13). 

De grands hommes de Dieu durent passer par des profondeurs inimaginables, et cela avant qu’ils ne puissent gravir les hauteurs qui leur étaient réservées. Il nous est dit que Job avait été richement béni par Dieu. Tout ce qui lui appartenait était protégé. Il était un homme pieux et craignant Dieu, ennemi de tout mal. Un jour, Dieu permit à Satan de le frapper, et très rapidement, tout ce qu’il possédait fut jeté à terre et détruit. Sa famille, ses propriétés, tout avait été anéanti par Satan. Cet homme, considéré de Dieu, devant lequel jeunes et vieux s’inclinaient sur la place publique, se trouva alors assis sur un tas de cendres, abattu et méprisé de tous. Tous s’étaient détournés de lui, et ses amis, qui en réalité n’en étaient pas, ajoutèrent encore à sa douleur. Mais lui s’écria: “Je sais que mon rédempteur est vivant!”. Dans tous les temps, tous serviteurs et enfants de Dieu eurent le même témoignage. “Voici, nous disons bienheureux ceux qui ont souffert patiemment. Vous avez entendu parler de la patience de Job, et vous avez vu la fin que le Seigneur lui accorda, car le Seigneur est plein de miséricorde et de compassion” (Jacq. 5.12). 

Ce n’est pas au commencement mais à la fin que nous serons couronnés.