Lettre circulaire N° 20 – Janvier 1980 (1979-12)

ORIENTATION SPIRITUELLE

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L’Eglise a besoin, actuellement, d’une claire orientation pour les choses à venir. Si nous voulons aller de l’avant, il est impossible de regarder en arrière. Par ce que Dieu a fait au travers du ministère sans précédent de frère Branham, nous devons discerner l’action future du Saint-Esprit. Dans le Message de la fin, qui est la Parole de Dieu révélée pour ce temps, se trouve tout ce que nous devons savoir. Mais ce n’est que sous la direction du Saint-Esprit que nous sera montrée la connexion existant actuellement avec les voies de Dieu conformément à l’évolution spirituelle. C’est distinctement que Jean entendit cet appel: “Monte ici, et je te ferai voir ce qui doit arriver dans la suite” (Apoc. 4.1).

L’appel divin ne vient pas du sud ou du nord, mais bien d’en haut, et il nous attire vers le haut. Amen! Seul celui qui peut discerner entre la voix de l’homme et la voix de Dieu peut aussi recevoir la révélation par le Saint-Esprit des choses à venir, et il saura également comment ordonner les choses présentes. Il est écrit: “Quand le consolateur sera venu, l’Esprit de vérité, il vous conduira (C’est au pluriel) dans toute la vérité; car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu’il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir” (Jean 16.13).

Bien que dans Apocalypse 2 et 3, le message soit adressé à l’ange de chaque Eglise, à la fin de chaque missive, il est dit: “Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Eglises”. On peut parler de l’ange-messager jour et nuit sans pour autant avoir compris ce que l’Esprit dit aux Eglises. La différence se trouve entre la compréhension intellectuelle de la lettre, et la compréhension de l’ensemble du Message qui est devenu vivant pour nous par l’Esprit. Dans le Royaume de Dieu, quand une période est terminée, une autre commence.

Josué avait reçu une tâche qui se rapportait à l’avenir, fondée sur la promesse divine et sur la base du message prophétique de Moïse. Elisée invoqua le Dieu d’Elie, saisit la promesse qui lui était échue, et prenant le manteau du prophète, il agit dans la foi. Là où Elie s’est arrêté, c’est là que commença le service d’Elisée. Quand Jean-Baptiste eut achevé sa tâche, le Seigneur Jésus commença la Sienne. Après que chaque parole et chaque promesse se rapportant à Lui furent accomplies, une grande tâche fut confiée à l’Eglise. Il y a toujours une suite dans le Royaume de Dieu. Quand, sous Luther, cessa le réveil du temps de la réformation, commença la visitation de la grâce sous Wesley. Là où le ministère de frère Branham fut interrompu doit commencer ce qui en constitue la suite. Cela ne doit pas s’arrêter à un enthousiasme de l’âme, mais cela doit devenir une action de l’Esprit pénétrante, et persévérante jusqu’à la fin, qui nous pousse dans les profondeurs de la Parole. La crainte de Dieu doit revenir. La maison de Dieu ne peut rester plus longtemps une caverne de voleurs, mais elle doit redevenir un lieu d’adoration. Il est possible qu’à la fin comme au commencement, ces deux choses se trouvent dans l’Eglise: le jugement et la grâce.

Dans l’Eglise du début, on aurait pu parler sur beaucoup de choses: sur Pilate, sur la trahison de Judas, sur le reniement de Pierre, et aussi sur tout ce que le diable avait préparé. Cependant, dès le moment où le Saint-Esprit fut répandu, ils commencèrent à publier les faits glorieux de Dieu. De même maintenant, cela ne peut se faire que par une effusion de l’Esprit. Dans la première prédication qu’il prononça, Pierre, inspiré par l’Esprit, se référa à David, et dit: “Comme il était prophète, et qu’il savait que Dieu lui avait promis avec serment de faire asseoir un de ses descendants sur son trône, c’est la résurrection du Christ qu’il a prévue et annoncée...”.

Du point de vue humain, Pierre aurait pu désigner David de plusieurs manières, mais il était rempli de l’Esprit, et il considéra toutes choses du point de vue Divin. Amen! Que le Seigneur tourne vers nous Sa face pour nous faire grâce, qu’Il use de miséricorde envers Son peuple et, dans ces temps de la fin, nous ramène à ce qu’était l’Eglise au commencement.

L’Eglise a besoin, actuellement, d’une claire orientation pour les choses à venir. Si nous voulons aller de l’avant, il est impossible de regarder en arrière. Par ce que Dieu a fait au travers du ministère sans précédent de frère Branham, nous devons discerner l’action future du Saint-Esprit. Dans le Message de la fin, qui est la Parole de Dieu révélée pour ce temps, se trouve tout ce que nous devons savoir. Mais ce n’est que sous la direction du Saint-Esprit que nous sera montrée la connexion existant actuellement avec les voies de Dieu conformément à l’évolution spirituelle. C’est distinctement que Jean entendit cet appel: “Monte ici, et je te ferai voir ce qui doit arriver dans la suite” (Apoc. 4.1). 

L’appel divin ne vient pas du sud ou du nord, mais bien d’en haut, et il nous attire vers le haut. Amen! Seul celui qui peut discerner entre la voix de l’homme et la voix de Dieu peut aussi recevoir la révélation par le Saint-Esprit des choses à venir, et il saura également comment ordonner les choses présentes. Il est écrit: “Quand le consolateur sera venu, l’Esprit de vérité, il vous conduira (C’est au pluriel) dans toute la vérité; car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu’il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir” (Jean 16.13). 

Bien que dans Apocalypse 2 et 3, le message soit adressé à l’ange de chaque Eglise, à la fin de chaque missive, il est dit: “Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Eglises”. On peut parler de l’ange-messager jour et nuit sans pour autant avoir compris ce que l’Esprit dit aux Eglises. La différence se trouve entre la compréhension intellectuelle de la lettre, et la compréhension de l’ensemble du Message qui est devenu vivant pour nous par l’Esprit. Dans le Royaume de Dieu, quand une période est terminée, une autre commence. 

Josué avait reçu une tâche qui se rapportait à l’avenir, fondée sur la promesse divine et sur la base du message prophétique de Moïse. Elisée invoqua le Dieu d’Elie, saisit la promesse qui lui était échue, et prenant le manteau du prophète, il agit dans la foi. Là où Elie s’est arrêté, c’est là que commença le service d’Elisée. Quand Jean-Baptiste eut achevé sa tâche, le Seigneur Jésus commença la Sienne. Après que chaque parole et chaque promesse se rapportant à Lui furent accomplies, une grande tâche fut confiée à l’Eglise. Il y a toujours une suite dans le Royaume de Dieu. Quand, sous Luther, cessa le réveil du temps de la réformation, commença la visitation de la grâce sous Wesley. Là où le ministère de frère Branham fut interrompu doit commencer ce qui en constitue la suite. Cela ne doit pas s’arrêter à un enthousiasme de l’âme, mais cela doit devenir une action de l’Esprit pénétrante, et persévérante jusqu’à la fin, qui nous pousse dans les profondeurs de la Parole. La crainte de Dieu doit revenir. La maison de Dieu ne peut rester plus longtemps une caverne de voleurs, mais elle doit redevenir un lieu d’adoration. Il est possible qu’à la fin comme au commencement, ces deux choses se trouvent dans l’Eglise: le jugement et la grâce. 

Dans l’Eglise du début, on aurait pu parler sur beaucoup de choses: sur Pilate, sur la trahison de Judas, sur le reniement de Pierre, et aussi sur tout ce que le diable avait préparé. Cependant, dès le moment où le Saint-Esprit fut répandu, ils commencèrent à publier les faits glorieux de Dieu. De même maintenant, cela ne peut se faire que par une effusion de l’Esprit. Dans la première prédication qu’il prononça, Pierre, inspiré par l’Esprit, se référa à David, et dit: “Comme il était prophète, et qu’il savait que Dieu lui avait promis avec serment de faire asseoir un de ses descendants sur son trône, c’est la résurrection du Christ qu’il a prévue et annoncée...”.

Du point de vue humain, Pierre aurait pu désigner David de plusieurs manières, mais il était rempli de l’Esprit, et il considéra toutes choses du point de vue Divin. Amen! Que le Seigneur tourne vers nous Sa face pour nous faire grâce, qu’Il use de miséricorde envers Son peuple et, dans ces temps de la fin, nous ramène à ce qu’était l’Eglise au commencement.