Lettre circulaire N° 20 – Janvier 1980 (1979-12)

LA POSITION DE LA FEMME DU POINT DE VUE BIBLIQUE

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Après que la prédication Mariage et Divorce ait été publiée, il est nécessaire de dire quelques mots à ce sujet. Ce n’est pas ce que l’un de nous dit ou écrit qui a de l’autorité, mais ce que Dieu a dit et fait écrire garde pour toujours son autorité et le rend obligatoire. Comme dans tout thème que l’on traite, les passages bibliques peuvent être employés dans un sens ou dans l’autre. Malgré les différentes manières de voir, il doit cependant exister le point de vue biblique. Comme l’avait prévu et indiqué frère Branham lui-même dans Mariage et Divorce, quelques-uns peuvent être choqués par différents passages. D’autres comprennent mal l’une ou l’autre de ses déclarations. L’Ecriture Sainte doit être sondée sans idée préconçue pour reconnaître l’état des choses telles que Dieu les a établies.

Cette prédication a été donnée par frère Branham sur les instructions directes du Seigneur qui lui avait parlé auparavant du sein d’une nuée surnaturelle. Il doit donc y avoir là une grande importance. Frère Branham dit qu’il y en a plus que dans aucune prédication faite auparavant, car tout l’exposé est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Il ne s’agit pas ici de: «Ainsi dit frère Branham», ou «Ainsi dit frère ou soeur Untel» mais bien du: AINSI DIT LE SEIGNEUR par Sa Parole et Son Esprit. Que personne ne s’imagine qu’une révélation soit la confirmation d’une manière de voir existant depuis longtemps. A aucun endroit il ne faisait ressortir une différence entre l’Ancien et le Nouveau Testament, car il savait mieux que nous tous que c’était Le Même qui avait parlé dans l’un comme dans l’autre. Qui va oser élever le AINSI DIT LE SEIGNEUR de l’Ancien Testament contre le AINSI DIT LE SEIGNEUR du Nouveau Testament? Dieu ne peut ni Se contredire, ni Se corriger. Si aujourd’hui Il pensait différemment d’il y a deux, quatre ou six mille ans, Il ne serait pas l’Immuable, Celui qui ne varie pas. Toute la Parole de Dieu est: AINSI DIT LE SEIGNEUR. L’Ecriture ne peut être anéantie.

“Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. Car je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu’à ce que tout soit arrivé. Celui donc qui supprimera l’un de ces plus petits commandements, et qui enseignera aux hommes à faire de même, sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux” (Mat. 5.17-19).

Dans la deuxième partie de la prédication, frère Branham parle de ce qui était au commencement. Il se rapporte à Genèse 1.27, lorsque Dieu créa l’homme à Son image, uni en un corps spirituel, homme et femme ne formant qu’un seul. Ce n’est que dans Genèse 2.7 que Dieu forma l’homme de la poussière de la terre. Cependant il était encore seul. Après qu’Adam eut donné un nom à chaque animal, et qu’il n’eut point trouvé d’aide qui lui soit semblable, Dieu fit tomber sur lui un profond sommeil et retira Eve de son corps. Aussi longtemps que l’homme était dans un corps spirituel, il ne pouvait être tenté. Ce n’est que lorsqu’il fut introduit dans un corps charnel qu’il tomba. C’est de cette manière que vinrent sur l’humanité entière le péché, la maladie et la mort. C’est la raison pour laquelle Dieu dut quitter Son Corps spirituel pour venir dans un même corps que nous, un corps charnel, afin de nous délivrer de la condition de chute dans laquelle nous nous trouvions.

“Car Adam a été formé le premier. Eve ensuite; et ce n’est pas Adam qui a été séduit, c’est la femme qui, séduite, s’est rendue coupable de transgression” (1 Tim. 2.13,14). Ce n’est pas Adam, mais Eve qui fut séduite par le serpent. Adam était la création originale, et Eve fut créée plus tard. Après la chute, c’est le serpent qui fut maudit. Ce n’est pas Adam ni Eve qui le furent!

“L’Eternel Dieu dit au serpent: Puisque tu as fait cela, tu seras maudit...” (Gen. 3.14). Manifestement, le serpent marchait debout à l’origine, sinon la Parole de Dieu “tu marcheras sur ton ventre” n’aurait aucun sens. Dans ce même chapitre nous est relatée la conversation entre le serpent et Eve.

“Il dit à la femme: J’augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur...” (Gen. 3.16). La chose est établie de cette façon pour toujours maintenant, de la première à la dernière naissance qui aura lieu. C’est ainsi que Dieu l’a ordonné. Même l’acte de rédemption accompli à Golgotha n’a rien changé à cela. Les conditions naturelles de nos corps demeurent jusqu’à la transmutation de nos corps qui aura lieu au retour de Jésus-Christ.

“Il dit à l’homme: Puisque tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l’arbre au sujet duquel je t’avais donné cet ordre: Tu n’en mangeras point! le sol sera maudit à cause de toi” (Gen. 3.17). Le Seigneur Dieu n’a pas traité tout le monde de la même manière. Chacun reçut la parole qui lui convenait. Après cela, Eve fut placée directement sous l’autorité de l’homme, quand le Seigneur lui dit: “Mais il dominera sur toi”. A cela non plus, Golgotha n’a rien changé. Toute femme qui se soustrait à l’autorité de l’homme se place sous l’autorité de l’ennemi.

“Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur;... en toutes choses” (Eph. 5.22-24). C’est ce qui est écrit. De la même manière que la femme rencontre l’homme, c’est de cette manière qu’elle rencontre aussi le Seigneur. La position de la femme à l’égard de l’homme est à proprement parler la position qu’elle a vis-à-vis de Christ. “Car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l’Eglise...” (Eph. 5.22-24).

Celui qui veut subsister devant Dieu, qu’il soit homme ou femme, doit se soumettre aux ordonnances qu’Il a établies.

“Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l’homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ” (1 Cor. 11.3). Lorsqu’une femme dit qu’elle est soumise à Dieu, cela signifie qu’elle a pris sa place de subalterne, conformément à la Parole de Dieu. Déjà dans le premier âge de l’Eglise, Paul dit à l’Eglise de prendre en considération qu’on n’avait rien à y voir ni à y entendre parler d’égalité des droits. Or, Dieu a-t-Il voulu, par le dernier des messagers, nous mettre sous les yeux encore une fois le même thème?

Dans 1 Corinthiens 11.5, se trouve une très importante indication. “Toute femme, au contraire, qui prie ou qui prophétise la tête non voilée, déshonore son chef: c’est comme si elle était rasée”. La couverture, c’est-à-dire le fait de se voiler ne fut pas ordonné à toutes les femmes, et en toute occasion, mais bien aux femmes qui participent au service divin à la prière, et à la prophétie. C’est remarquable. Si les femmes laissaient leurs cheveux flotter librement, il leur suffisait, lorsqu’elles priaient ou prophétisaient, de s’incliner suffisamment pour que leurs longs cheveux deviennent pour elles un voile.

“C’est pourquoi la femme, à cause des anges, doit avoir sur la tête une marque de l’autorité dont elle dépend” (v. 10). Devant les anges, qui sont les messagers de Dieu, cette ordonnance devrait être mise en pratique dans l’Eglise. Cela était considéré comme un signe de l’autorité à laquelle la femme s’est soumise. Souvent, de petites choses ont de grandes répercussions.

“Que la femme écoute l’instruction en silence, avec une entière soumission. Je ne permets pas à la femme d’enseigner, ni de prendre de l’autorité sur l’homme; mais elle doit demeurer dans le silence” (1 Tim. 2.11,12). C’est une exigence divine à laquelle on ne peut se soustraire. Dieu Se tient aux côtés de ceux qu’Il a destinés à un ministère. Par son installation dans une charge spirituelle donnée, et cela en fonction de l’appel divin reçu et en vertu de l’onction, un homme de Dieu a accès à l’ordonnance divine que Dieu a établie.

“Tu regarderas un sacrificateur comme saint, car il offre l’aliment de ton Dieu; il sera saint pour toi, car je suis saint, moi, l’Eternel qui vous sanctifie” (Lév. 21.8). Il est très important que l’on garde le respect devant ceux qui exercent un ministère. Les frères Paul et Branham ont attaché une grande valeur à donner des instructions sur la place qu’occupe la femme. A l’endroit où Dieu parle, elles, comme nous tous, doivent demeurer dans le silence. Là où les femmes apportent la Parole, c’est Dieu qui fait silence.

“Comme dans toutes les Eglises des saints, que les femmes se taisent dans les assemblées, car il ne leur est pas permis d’y parler; mais qu’elles soient soumises, selon que le dit aussi la loi” (1 Cor. 14.34). Ici, l’apôtre se rapporte à la loi, et il dit avec le plus grand sérieux qu’on ne leur permet pas de parler. On peut souvent être davantage démoli par des paroles, qu’édifié par une prédication. Une femme peut avoir les meilleures intentions lorsqu’elle parle au sujet des affaires de l’Eglise, mais Dieu en a de meilleures, c’est pourquoi Il lui ordonne de se taire. “Toutefois, dans le Seigneur, la femme n’est point sans l’homme, ni l’homme sans la femme” (1 Cor. 11.11). La position d’enfant de Dieu est pareille pour tous, elle vient par la rédemption qui est en Jésus-Christ. Dieu a fait de nous des fils et des filles. Les sphères d’activité sont cependant différentes. Beaucoup de femmes ont servi le Seigneur, et le font encore aujourd’hui, mais parfaitement à leur place.

Après que la prédication Mariage et Divorce ait été publiée, il est nécessaire de dire quelques mots à ce sujet. Ce n’est pas ce que l’un de nous dit ou écrit qui a de l’autorité, mais ce que Dieu a dit et fait écrire garde pour toujours son autorité et le rend obligatoire. Comme dans tout thème que l’on traite, les passages bibliques peuvent être employés dans un sens ou dans l’autre. Malgré les différentes manières de voir, il doit cependant exister le point de vue biblique. Comme l’avait prévu et indiqué frère Branham lui-même dans Mariage et Divorce, quelques-uns peuvent être choqués par différents passages. D’autres comprennent mal l’une ou l’autre de ses déclarations. L’Ecriture Sainte doit être sondée sans idée préconçue pour reconnaître l’état des choses telles que Dieu les a établies. 

Cette prédication a été donnée par frère Branham sur les instructions directes du Seigneur qui lui avait parlé auparavant du sein d’une nuée surnaturelle. Il doit donc y avoir là une grande importance. Frère Branham dit qu’il y en a plus que dans aucune prédication faite auparavant, car tout l’exposé est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Il ne s’agit pas ici de: «Ainsi dit frère Branham», ou «Ainsi dit frère ou soeur Untel» mais bien du: AINSI DIT LE SEIGNEUR par Sa Parole et Son Esprit. Que personne ne s’imagine qu’une révélation soit la confirmation d’une manière de voir existant depuis longtemps. A aucun endroit il ne faisait ressortir une différence entre l’Ancien et le Nouveau Testament, car il savait mieux que nous tous que c’était Le Même qui avait parlé dans l’un comme dans l’autre. Qui va oser élever le AINSI DIT LE SEIGNEUR de l’Ancien Testament contre le AINSI DIT LE SEIGNEUR du Nouveau Testament? Dieu ne peut ni Se contredire, ni Se corriger. Si aujourd’hui Il pensait différemment d’il y a deux, quatre ou six mille ans, Il ne serait pas l’Immuable, Celui qui ne varie pas. Toute la Parole de Dieu est: AINSI DIT LE SEIGNEUR. L’Ecriture ne peut être anéantie. 

“Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. Car je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu’à ce que tout soit arrivé. Celui donc qui supprimera l’un de ces plus petits commandements, et qui enseignera aux hommes à faire de même, sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux” (Mat. 5.17-19). 

Dans la deuxième partie de la prédication, frère Branham parle de ce qui était au commencement. Il se rapporte à Genèse 1.27, lorsque Dieu créa l’homme à Son image, uni en un corps spirituel, homme et femme ne formant qu’un seul. Ce n’est que dans Genèse 2.7 que Dieu forma l’homme de la poussière de la terre. Cependant il était encore seul. Après qu’Adam eut donné un nom à chaque animal, et qu’il n’eut point trouvé d’aide qui lui soit semblable, Dieu fit tomber sur lui un profond sommeil et retira Eve de son corps. Aussi longtemps que l’homme était dans un corps spirituel, il ne pouvait être tenté. Ce n’est que lorsqu’il fut introduit dans un corps charnel qu’il tomba. C’est de cette manière que vinrent sur l’humanité entière le péché, la maladie et la mort. C’est la raison pour laquelle Dieu dut quitter Son Corps spirituel pour venir dans un même corps que nous, un corps charnel, afin de nous délivrer de la condition de chute dans laquelle nous nous trouvions. 

“Car Adam a été formé le premier. Eve ensuite; et ce n’est pas Adam qui a été séduit, c’est la femme qui, séduite, s’est rendue coupable de transgression” (1 Tim. 2.13,14). Ce n’est pas Adam, mais Eve qui fut séduite par le serpent. Adam était la création originale, et Eve fut créée plus tard. Après la chute, c’est le serpent qui fut maudit. Ce n’est pas Adam ni Eve qui le furent! 

“L’Eternel Dieu dit au serpent: Puisque tu as fait cela, tu seras maudit...” (Gen. 3.14). Manifestement, le serpent marchait debout à l’origine, sinon la Parole de Dieu “tu marcheras sur ton ventre” n’aurait aucun sens. Dans ce même chapitre nous est relatée la conversation entre le serpent et Eve. 

“Il dit à la femme: J’augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur...” (Gen. 3.16). La chose est établie de cette façon pour toujours maintenant, de la première à la dernière naissance qui aura lieu. C’est ainsi que Dieu l’a ordonné. Même l’acte de rédemption accompli à Golgotha n’a rien changé à cela. Les conditions naturelles de nos corps demeurent jusqu’à la transmutation de nos corps qui aura lieu au retour de Jésus-Christ. 

“Il dit à l’homme: Puisque tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l’arbre au sujet duquel je t’avais donné cet ordre: Tu n’en mangeras point! le sol sera maudit à cause de toi” (Gen. 3.17). Le Seigneur Dieu n’a pas traité tout le monde de la même manière. Chacun reçut la parole qui lui convenait. Après cela, Eve fut placée directement sous l’autorité de l’homme, quand le Seigneur lui dit: “Mais il dominera sur toi”. A cela non plus, Golgotha n’a rien changé. Toute femme qui se soustrait à l’autorité de l’homme se place sous l’autorité de l’ennemi. 

“Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur;... en toutes choses” (Eph. 5.22-24). C’est ce qui est écrit. De la même manière que la femme rencontre l’homme, c’est de cette manière qu’elle rencontre aussi le Seigneur. La position de la femme à l’égard de l’homme est à proprement parler la position qu’elle a vis-à-vis de Christ. “Car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l’Eglise...” (Eph. 5.22-24). 

Celui qui veut subsister devant Dieu, qu’il soit homme ou femme, doit se soumettre aux ordonnances qu’Il a établies. 

“Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l’homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ” (1 Cor. 11.3). Lorsqu’une femme dit qu’elle est soumise à Dieu, cela signifie qu’elle a pris sa place de subalterne, conformément à la Parole de Dieu. Déjà dans le premier âge de l’Eglise, Paul dit à l’Eglise de prendre en considération qu’on n’avait rien à y voir ni à y entendre parler d’égalité des droits. Or, Dieu a-t-Il voulu, par le dernier des messagers, nous mettre sous les yeux encore une fois le même thème? 

Dans 1 Corinthiens 11.5, se trouve une très importante indication. “Toute femme, au contraire, qui prie ou qui prophétise la tête non voilée, déshonore son chef: c’est comme si elle était rasée”. La couverture, c’est-à-dire le fait de se voiler ne fut pas ordonné à toutes les femmes, et en toute occasion, mais bien aux femmes qui participent au service divin à la prière, et à la prophétie. C’est remarquable. Si les femmes laissaient leurs cheveux flotter librement, il leur suffisait, lorsqu’elles priaient ou prophétisaient, de s’incliner suffisamment pour que leurs longs cheveux deviennent pour elles un voile. 

“C’est pourquoi la femme, à cause des anges, doit avoir sur la tête une marque de l’autorité dont elle dépend” (v. 10). Devant les anges, qui sont les messagers de Dieu, cette ordonnance devrait être mise en pratique dans l’Eglise. Cela était considéré comme un signe de l’autorité à laquelle la femme s’est soumise. Souvent, de petites choses ont de grandes répercussions. 

“Que la femme écoute l’instruction en silence, avec une entière soumission. Je ne permets pas à la femme d’enseigner, ni de prendre de l’autorité sur l’homme; mais elle doit demeurer dans le silence” (1 Tim. 2.11,12). C’est une exigence divine à laquelle on ne peut se soustraire. Dieu Se tient aux côtés de ceux qu’Il a destinés à un ministère. Par son installation dans une charge spirituelle donnée, et cela en fonction de l’appel divin reçu et en vertu de l’onction, un homme de Dieu a accès à l’ordonnance divine que Dieu a établie. 

“Tu regarderas un sacrificateur comme saint, car il offre l’aliment de ton Dieu; il sera saint pour toi, car je suis saint, moi, l’Eternel qui vous sanctifie” (Lév. 21.8). Il est très important que l’on garde le respect devant ceux qui exercent un ministère. Les frères Paul et Branham ont attaché une grande valeur à donner des instructions sur la place qu’occupe la femme. A l’endroit où Dieu parle, elles, comme nous tous, doivent demeurer dans le silence. Là où les femmes apportent la Parole, c’est Dieu qui fait silence. 

“Comme dans toutes les Eglises des saints, que les femmes se taisent dans les assemblées, car il ne leur est pas permis d’y parler; mais qu’elles soient soumises, selon que le dit aussi la loi” (1 Cor. 14.34). Ici, l’apôtre se rapporte à la loi, et il dit avec le plus grand sérieux qu’on ne leur permet pas de parler. On peut souvent être davantage démoli par des paroles, qu’édifié par une prédication. Une femme peut avoir les meilleures intentions lorsqu’elle parle au sujet des affaires de l’Eglise, mais Dieu en a de meilleures, c’est pourquoi Il lui ordonne de se taire. “Toutefois, dans le Seigneur, la femme n’est point sans l’homme, ni l’homme sans la femme” (1 Cor. 11.11). La position d’enfant de Dieu est pareille pour tous, elle vient par la rédemption qui est en Jésus-Christ. Dieu a fait de nous des fils et des filles. Les sphères d’activité sont cependant différentes. Beaucoup de femmes ont servi le Seigneur, et le font encore aujourd’hui, mais parfaitement à leur place.