Lettre circulaire Décembre 2016
« Jésus-Christ notre Seigneur, par qui nous avons reçu la grâce et l’apostolat, pour amener en son nom à l’obéissance de la foi tous les païens… » (Rom. 1 :5).
De tout temps, les gens devaient choisir s’ils voulaient croire ou rejeter par incrédulité ce que le Seigneur Dieu disait à Ses serviteurs et ce qu’ils annonçaient de Sa part. Le ainsi dit le Seigneur est encore valable : « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui reçoit celui que j’aurais envoyé me reçoit, et celui qui me reçoit reçoit celui qui m’a envoyé » (Jean 13 :20). De même : « Souvenez-vous de la parole que je vous ai dites : Le serviteur n’est pas plus grand que son maître. S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi ; s’ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre » (Jean 15:20). Avec un appel divin est reliée la plus grande responsabilité devant Dieu pour l’Église.
Dieu peut se repentir d’avoir créé l’homme : « L’Éternel vit que la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et que toutes les pensées de leur cœur se portaient chaque jour uniquement vers le mal. L’Éternel se repentit d’avoir fait l’homme sur la terre, et il fut affligé en son cœur » (Gen. 6 :5+6). Mais Il ne peut pas se repentir d’un appel : concernant l’appel, nous lisons dans Romains 11 :29 : « Car Dieu ne se repent pas de ses dons et de son appel ».
Dans Exode chapitres 3 et 4, nous trouvons l’appel de Moïse, à qui l’ange de l’Éternel apparut dans la flamme d’un buisson. Suite à cela il put dire : « Le Dieu de vos pères m’envoie vers vous » (Ex. 3 :13). « Moïse répondit, et dit : Voici, ils ne me croiront pas, et ils n’écouteront point ma voix. Mais ils diront : L’Éternel ne t’est point apparu » (Ex. 4 :1). Il en va toujours de la foi des auditeurs. « S’ils ne te croient pas, dit l’Éternel, et n’écoutent pas la voix du premier signe, ils croiront à la voix du dernier signe » (Ex. 4 :8).
Dans les nombreuses confessions et religions, tout homme croit en quelque chose. Même le diable croit et tremble (Jacq. 2 :19). Cependant, dans le Royaume de Dieu, il est toujours question de la foi en ce que Dieu a réellement dit et promis – pour frère Branham aussi, à qui il a été dit : « Si tu arrives à faire en sorte que les gens te croient et si tu pries sincèrement, alors rien ne résistera à ta prière, pas même le cancer. » Le cantique : « Crois seulement, crois seulement : tout est possible à celui qui croit » était chanté avant chaque réunion de guérisons. Nous lisons de notre Seigneur, dans Matthieu 13 :58, que dans Sa ville natale, à Nazareth, Il ne fit pas beaucoup de miracles, à cause de leur incrédulité.
L’incrédulité est le premier péché et remonte au jardin d’Eden. Frère Branham l’a toujours souligné avec insistance. Je veux redonner ci-dessous trois de ses citations reprises des années 1953, 1956 et 1960.
« Pardonne-nous le péché de l’incrédulité, qui est le péché originel et à proprement dit. Ô Dieu, aide-nous ce soir, à être fidèle et à croire » (9 mai 1953, Jonesboro).
« Laissez-moi vous le montrer par une parole. Lorsque le diable rencontra Jésus-Christ pour la première fois, il avait du doute à son égard : le doute vient toujours du diable. C’est ainsi que le premier péché est arrivé. Ce n’était pas un autre péché, c’était le doute. L’incrédulité est le péché originel et le péché en soi. Ce n’est pas l’adultère, ce n’est pas fumer la cigarette, ce n’est pas s’enivrer qui est le péché : ceci sont les attributs de l’incrédulité » (22 juillet 1956, Shreveport).
« Voyez, mes chers amis, ce n’est pas la vie immorale qui est le péché originel, ce n’est pas boire le whisky, commettre l’adultère. Vous faites cela, parce que vous ne croyez pas. Ce sont des signes de l’incrédulité. Vous faites cela parce que vous ne croyez pas. Quand vous êtes vraiment croyants, vous ne faites pas ces choses. Il n’existe réellement qu’un seul péché originel: c’est l’incrédulité. L’Écriture dit : « celui qui ne croira pas sera condamné » (Marc 16 :16)» (10 janvier 1960, Tifton).
Après les prédications sur les sceaux, en mars 1963, frère Branham s’est sans cesse référé à Ève qui écouta ce que le serpent dit. Souvent, il l’a comparé avec Apocalypse 22:18-19 : « Je le déclare à quiconque entend les paroles de la prophétie de ce livre : Si quelqu’un y ajoute quelque chose, Dieu le frappera des fléaux décrits dans ce livre ; et si quelqu’un retranche quelque chose des paroles du livre de cette prophétie, Dieu retranchera sa part de l’arbre de la vie et de la ville sainte, décrits dans ce livre. »
Satan alla vers Ève sous la forme du serpent et il sema le doute sur ce que l’Éternel Dieu avait dit à Adam : « Dieu a-t-il vraiment dit… ? » Peut-être qu’il lui a même demandé : « L’as-tu entendu ? Étais-tu présente? » Et ainsi Ève tomba sous l’influence de Satan. Paul écrivit : « … et ce n’est pas Adam qui a été séduit, c’est la femme qui, séduite, s’est rendue coupable de transgression » (1 Tim. 2:14).
Se référant à la foi, le Seigneur dit : « C’est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés ; car si vous ne croyez pas ce que je suis, vous mourrez dans vos péchés» (Jean 8 : 24). Après Sa résurrection, Il reprocha aux disciples leur incrédulité : « Enfin, il apparut aux onze, pendant qu’ils étaient à table ; et il leur reprocha leur incrédulité et la dureté de leur cœur, parce qu’ils n’avaient pas cru ceux qui l’avaient vu ressuscité » (Marc 16:14).
L’incrédulité est le péché originel. Celui qui ne croit pas Dieu, le fait menteur (Rom. 3 :4). Dans Hébreux 3:12, nous lisons un avertissement sérieux : « Prenez garde, frères, que quelqu’un de vous n’ait un cœur mauvais et incrédule, au point de se détourner du Dieu vivant. »
La sortie du peuple d’Israël au travers de la Mer Rouge et leur ravitaillement surnaturel par la manne dans le désert furent des événements grandioses : « C’est par la foi qu’ils traversèrent la mer Rouge comme un lieu sec, tandis que les Égyptiens qui en firent la tentative furent engloutis » (Héb. 11 :29). Mais qu’elle a été la fin pour un grand nombre ? « Mais la plupart d’entre eux ne furent point agréables à Dieu, puisqu’ils périrent dans le désert… Ces choses leur sont arrivées pour servir d’exemples, et elles ont été écrites pour notre instruction, à nous qui sommes parvenus à la fin des siècles » (1 Cor. 10 : 5-11). Pour un examen de conscience, il est nécessaire que chacun lise 1 Corinthiens 10 :1-15. Dans Hébreux 3 :19, cela est résumé de la manière suivante : « Aussi voyons-nous qu’ils ne purent y entrer à cause de leur incrédulité. »
Premièrement la foi, ensuite l’obéissance, sur laquelle repose le bon plaisir de Dieu. La foi est la victoire, l’incrédulité est la défaite. « Car, comme par la désobéissance d’un seul homme beaucoup ont été rendus pécheurs, de même par l’obéissance d’un seul beaucoup seront rendus justes » (Rom. 5 :19). Celui qui désire en savoir plus sur la conséquence de la désobéissance peut lire dans Romains 11.
La foi et l’obéissance nous relie avec Dieu, alors que l’incrédulité et la désobéissance nous sépare de Dieu. La foi en Jésus-Christ conduit à l’obéissance, l’incrédulité à la désobéissance. « Car la désobéissance est aussi coupable que la divination, et la résistance ne l’est pas moins que l’idolâtrie et les théraphim… » (1 Sam. 15 :23).
Maintenant se manifeste qui croit réellement Dieu, comme Abraham crut Dieu : « … selon qu’il est écrit : Je t’ai établi père d’un grand nombre de nations. Il est notre père devant celui auquel il a cru, Dieu, qui donne la vie aux morts, et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient » (Rom. 4 :17 ; Gen. 17 :5). On ne peut croire que lorsque Dieu parle à l’homme par Sa parole. Celui qui est dominé par l’incrédulité manifeste par là même qu’il est encore sous l’influence du malin.
Abraham crut Dieu (Rom.4 :17) : « L’un d’entre eux dit : Je reviendrai vers toi à cette même époque ; et voici, Sara, ta femme, aura un fils » (Gen. 18:10), et il reçut le fils promis. Abraham fut obéissant: « Dieu dit : Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac ; va-t’en au pays de Morija, et là offre-le en holocauste sur l’une des montagnes que je te dirai » (Gen. 22 :2). « Il pensait que Dieu est puissant, même pour ressusciter les morts ; aussi le recouvra-t-il par une sorte de résurrection » (Héb. 11 :19).
« Tu vois que la foi agissait avec ses œuvres, et que par les œuvres la foi fut rendue parfaite » (Jacq. 2:21-24).
Pour Ève, l’incrédulité qui a été semée par le doute mena à la séduction, et ensuite Adam connut aussi sa femme Ève. Comme résultat apparurent deux semences différentes, Caïn et Abel. Tous les deux étaient religieux, tous les deux croyaient au même Dieu, tous les deux construisirent un autel et apportèrent leur sacrifice, mais ils étaient très différents dès leur naissance. Dieu regarda avec bienveillance Abel et son sacrifice, à savoir un agneau, mais Il refusa Caïn et son sacrifice du produit des champs (Gen. 4 :1-8).
Tous les croyants du message savent ce qui s’est passé dans le jardin d’Eden. Toutefois maintenant, il est question de notre temps. Satan a aussi attiré le doute sur ce qui a été dit à frère Branham, à savoir que le message précédera la seconde venue de Christ. Satan a semé le doute que le message soit porté dans le monde entier après sa mort. Pour nous qui vivons maintenant, il est écrit : « Car ce qui vous a été annoncé et ce que vous avez entendu dès le commencement, c’est que nous devons nous aimer les uns les autres, et ne pas ressembler à Caïn, qui était du malin, et qui tua son frère. Et pourquoi le tua-t-il ? Parce que ses œuvres étaient mauvaises, et que celles de son frère étaient justes » (1 Jean 3:11-12). L’amour divin est le lien de la perfection (Col. 3 :14 ; 1 Cor. 13).
Le bon plaisir de Dieu doit reposer sur tous ceux qui veulent être enlevés, comme il en a été pour Énoch, qui marcha avec Dieu (Gen. 5 :24 ; Héb. 11 :5). Ce n’est pas le commencement, mais c’est la fin qui sera couronnée (2 Tim. 4:8).
« Jésus-Christ notre Seigneur, par qui nous avons reçu la grâce et l’apostolat, pour amener en son nom à l’obéissance de la foi tous les païens…» (Rom. 1 :5).
De tout temps, les gens devaient choisir s’ils voulaient croire ou rejeter par incrédulité ce que le Seigneur Dieu disait à Ses serviteurs et ce qu’ils annonçaient de Sa part. Le ainsi dit le Seigneur est encore valable : « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui reçoit celui que j’aurais envoyé me reçoit, et celui qui me reçoit reçoit celui qui m’a envoyé » (Jean 13 :20). De même : « Souvenez-vous de la parole que je vous ai dites : Le serviteur n’est pas plus grand que son maître. S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi ; s’ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre » (Jean 15:20). Avec un appel divin est reliée la plus grande responsabilité devant Dieu pour l’Église.
Dieu peut se repentir d’avoir créé l’homme : « L’Éternel vit que la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et que toutes les pensées de leur cœur se portaient chaque jour uniquement vers le mal. L’Éternel se repentit d’avoir fait l’homme sur la terre, et il fut affligé en son cœur » (Gen. 6 :5+6). Mais Il ne peut pas se repentir d’un appel : concernant l’appel, nous lisons dans Romains 11 :29 : « Car Dieu ne se repent pas de ses dons et de son appel ».
Dans Exode chapitres 3 et 4, nous trouvons l’appel de Moïse, à qui l’ange de l’Éternel apparut dans la flamme d’un buisson. Suite à cela il put dire : « Le Dieu de vos pères m’envoie vers vous » (Ex. 3 :13). « Moïse répondit, et dit : Voici, ils ne me croiront pas, et ils n’écouteront point ma voix. Mais ils diront : L’Éternel ne t’est point apparu» (Ex. 4 :1). Il en va toujours de la foi des auditeurs. «S’ils ne te croient pas, dit l’Éternel, et n’écoutent pas la voix du premier signe, ils croiront à la voix du dernier signe» (Ex. 4 :8).
Dans les nombreuses confessions et religions, tout homme croit en quelque chose. Même le diable croit et tremble (Jacq. 2 :19). Cependant, dans le Royaume de Dieu, il est toujours question de la foi en ce que Dieu a réellement dit et promis – pour frère Branham aussi, à qui il a été dit : « Si tu arrives à faire en sorte que les gens te croient et si tu pries sincèrement, alors rien ne résistera à ta prière, pas même le cancer. » Le cantique : « Crois seulement, crois seulement : tout est possible à celui qui croit » était chanté avant chaque réunion de guérisons. Nous lisons de notre Seigneur, dans Matthieu 13 :58, que dans Sa ville natale, à Nazareth, Il ne fit pas beaucoup de miracles, à cause de leur incrédulité.
L’incrédulité est le premier péché et remonte au jardin d’Eden. Frère Branham l’a toujours souligné avec insistance. Je veux redonner ci-dessous trois de ses citations reprises des années 1953, 1956 et 1960.
« Pardonne-nous le péché de l’incrédulité, qui est le péché originel et à proprement dit. Ô Dieu, aide-nous ce soir, à être fidèle et à croire » (9 mai 1953, Jonesboro).
« Laissez-moi vous le montrer par une parole. Lorsque le diable rencontra Jésus-Christ pour la première fois, il avait du doute à son égard : le doute vient toujours du diable. C’est ainsi que le premier péché est arrivé. Ce n’était pas un autre péché, c’était le doute. L’incrédulité est le péché originel et le péché en soi. Ce n’est pas l’adultère, ce n’est pas fumer la cigarette, ce n’est pas s’enivrer qui est le péché : ceci sont les attributs de l’incrédulité » (22 juillet 1956, Shreveport).
« Voyez, mes chers amis, ce n’est pas la vie immorale qui est le péché originel, ce n’est pas boire le whisky, commettre l’adultère. Vous faites cela, parce que vous ne croyez pas. Ce sont des signes de l’incrédulité. Vous faites cela parce que vous ne croyez pas. Quand vous êtes vraiment croyants, vous ne faites pas ces choses. Il n’existe réellement qu’un seul péché originel: c’est l’incrédulité. L’Écriture dit : *« celui qui ne croira pas sera condamné »* (Marc 16 :16)» (10 janvier 1960, Tifton).
Après les prédications sur les sceaux, en mars 1963, frère Branham s’est sans cesse référé à Ève qui écouta ce que le serpent dit. Souvent, il l’a comparé avec Apocalypse 22:18-19 : « Je le déclare à quiconque entend les paroles de la prophétie de ce livre : Si quelqu’un y ajoute quelque chose, Dieu le frappera des fléaux décrits dans ce livre ; et si quelqu’un retranche quelque chose des paroles du livre de cette prophétie, Dieu retranchera sa part de l’arbre de la vie et de la ville sainte, décrits dans ce livre. »
Satan alla vers Ève sous la forme du serpent et il sema le doute sur ce que l’Éternel Dieu avait dit à Adam : « Dieu a-t-il vraiment dit… ? » Peut-être qu’il lui a même demandé : « L’as-tu entendu ? Étais-tu présente? » Et ainsi Ève tomba sous l’influence de Satan. Paul écrivit : « … et ce n’est pas Adam qui a été séduit, c’est la femme qui, séduite, s’est rendue coupable de transgression » (1 Tim. 2:14).
Se référant à la foi, le Seigneur dit : « C’est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés ; car si vous ne croyez pas ce que je suis, vous mourrez dans vos péchés» (Jean 8 : 24). Après Sa résurrection, Il reprocha aux disciples leur incrédulité: « Enfin, il apparut aux onze, pendant qu’ils étaient à table ; et il leur reprocha leur incrédulité et la dureté de leur cœur, parce qu’ils n’avaient pas cru ceux qui l’avaient vu ressuscité » (Marc 16:14).
L’incrédulité est le péché originel. Celui qui ne croit pas Dieu, le fait menteur (Rom. 3 :4). Dans Hébreux 3:12, nous lisons un avertissement sérieux : « Prenez garde, frères, que quelqu’un de vous n’ait un cœur mauvais et incrédule, au point de se détourner du Dieu vivant. »
La sortie du peuple d’Israël au travers de la Mer Rouge et leur ravitaillement surnaturel par la manne dans le désert furent des événements grandioses: «C’est par la foi qu’ils traversèrent la mer Rouge comme un lieu sec, tandis que les Égyptiens qui en firent la tentative furent engloutis » (Héb. 11 :29). Mais qu’elle a été la fin pour un grand nombre ? « Mais la plupart d’entre eux ne furent point agréables à Dieu, puisqu’ils périrent dans le désert… Ces choses leur sont arrivées pour servir d’exemples, et elles ont été écrites pour notre instruction, à nous qui sommes parvenus à la fin des siècles » (1 Cor. 10 : 5-11). Pour un examen de conscience, il est nécessaire que chacun lise 1 Corinthiens 10 :1-15. Dans Hébreux 3 :19, cela est résumé de la manière suivante : « Aussi voyons-nous qu’ils ne purent y entrer à cause de leur incrédulité. »
Premièrement la foi, ensuite l’obéissance, sur laquelle repose le bon plaisir de Dieu. La foi est la victoire, l’incrédulité est la défaite. « Car, comme par la désobéissance d’un seul homme beaucoup ont été rendus pécheurs, de même par l’obéissance d’un seul beaucoup seront rendus justes » (Rom. 5 :19). Celui qui désire en savoir plus sur la conséquence de la désobéissance peut lire dans Romains 11.
La foi et l’obéissance nous relie avec Dieu, alors que l’incrédulité et la désobéissance nous sépare de Dieu. La foi en Jésus-Christ conduit à l’obéissance, l’incrédulité à la désobéissance. « Car la désobéissance est aussi coupable que la divination, et la résistance ne l’est pas moins que l’idolâtrie et les théraphim… » (1 Sam. 15 :23).
Maintenant se manifeste qui croit réellement Dieu, comme Abraham crut Dieu : « … selon qu’il est écrit : Je t’ai établi père d’un grand nombre de nations. Il est notre père devant celui auquel il a cru, Dieu, qui donne la vie aux morts, et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient » (Rom. 4 :17 ; Gen. 17 :5). On ne peut croire que lorsque Dieu parle à l’homme par Sa parole. Celui qui est dominé par l’incrédulité manifeste par là même qu’il est encore sous l’influence du malin.
Abraham crut Dieu (Rom.4 :17) : « L’un d’entre eux dit : Je reviendrai vers toi à cette même époque ; et voici, Sara, ta femme, aura un fils » (Gen. 18:10), et il reçut le fils promis. Abraham fut obéissant: « Dieu dit : Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac ; va-t’en au pays de Morija, et là offre-le en holocauste sur l’une des montagnes que je te dirai » (Gen. 22 :2). « Il pensait que Dieu est puissant, même pour ressusciter les morts ; aussi le recouvra-t-il par une sorte de résurrection » (Héb. 11 :19).
« Tu vois que la foi agissait avec ses œuvres, et que par les œuvres la foi fut rendue parfaite » (Jacq. 2:21-24).
Pour Ève, l’incrédulité qui a été semée par le doute mena à la séduction, et ensuite Adam connut aussi sa femme Ève. Comme résultat apparurent deux semences différentes, Caïn et Abel. Tous les deux étaient religieux, tous les deux croyaient au même Dieu, tous les deux construisirent un autel et apportèrent leur sacrifice, mais ils étaient très différents dès leur naissance. Dieu regarda avec bienveillance Abel et son sacrifice, à savoir un agneau, mais Il refusa Caïn et son sacrifice du produit des champs (Gen. 4 :1-8).
Tous les croyants du message savent ce qui s’est passé dans le jardin d’Eden. Toutefois maintenant, il est question de notre temps. Satan a aussi attiré le doute sur ce qui a été dit à frère Branham, à savoir que le message précédera la seconde venue de Christ. Satan a semé le doute que le message soit porté dans le monde entier après sa mort. Pour nous qui vivons maintenant, il est écrit : « Car ce qui vous a été annoncé et ce que vous avez entendu dès le commencement, c’est que nous devons nous aimer les uns les autres, et ne pas ressembler à Caïn, qui était du malin, et qui tua son frère. Et pourquoi le tua-t-il ? Parce que ses œuvres étaient mauvaises, et que celles de son frère étaient justes » (1 Jean 3:11-12). L’amour divin est le lien de la perfection (Col. 3 :14 ; 1 Cor. 13).
Le bon plaisir de Dieu doit reposer sur tous ceux qui veulent être enlevés, comme il en a été pour Énoch, qui marcha avec Dieu (Gen. 5 :24 ; Héb. 11 :5). Ce n’est pas le commencement, mais c’est la fin qui sera couronnée (2 Tim. 4:8).