Lettre circulaire Décembre 2016

500 ans de jubilé de la Réformation

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Du 31 octobre 2016 au 31 octobre 2017, l’église Protestante célèbre le jubilé de 500 ans de la Réformation initiée par Luther. Ce jubilé de la Réforme n’est pas fêté seulement en Allemagne, mais dans le monde entier. Même l’église Catholique se joint à la festivité : le président de la conférence épiscopale allemande, cardinal Reihard Marx, et le président du Conseil des Églises évangéliques d’Allemagne, Heinrich Bedford-Strohm ont convenu que les deux églises célébreront le jubilé dans une série de cérémonies conjointes. Par cela, « l’unité de la foi » doit être mise en évidence.

Sur le plan mondial, les festivités du 500ème jubilé de la Réformation ont commencé dans les villes de Lund et de Malmö, en Suède – le pays dans lequel l’union mondiale luthérienne a été fondée, il y a 70 ans. Le président de l’union mondiale luthérienne, l’évêque Munib Younan, ainsi que le Chef de l’église Catholique célébrèrent dans le stade de Malmö, avec 10’000 participants. À l’occasion de la prière œcuménique dans la cathédrale luthérienne de Lund, le Pape François a tenu un bref discours, qu’il a ouvert avec le texte de Jean 15 :4 : « Demeurez en moi et je demeurerai en vous ». À Lund, le 31 octobre 2016, le Pape François en compagnie de l’évêque Younan ont également signé une déclaration appelant à une communion conjointe. La déclaration commune débuta pareillement avec les paroles de Jean 15 :4 : « Demeurez en moi et je demeurerai en vous. Comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s’il ne demeure attaché au cep, ainsi vous ne le pouvez non plus si vous ne demeurez en moi ». Il s’agit ici de la réconciliation et de la guérison de la plaie qu’ils se sont infligée entre eux, et de reconnaître que ce qui unit est plus fort que ce qui sépare. Les deux parties s’engagent à éliminer les obstacles, afin de parvenir à la pleine unité œcuménique. L’objectif est la Sainte cène en commun. Il est déclaré que, par l’effort commun, on veuille s’ouvrir à « la puissance du Dieu unique en trois ».

L’unité concrète et entière doit être mise en évidence par l’eucharistie catholique jointe à la Sainte cène évangélique. Les deux choses sont toutefois très différentes, comme on peut le voir dans le Catéchisme de Heidelberg (le Catéchisme le plus utilisé dans les églises réformées).

Question 80 :

Est-ce que les porte-paroles évangéliques croient vraiment à ce que Luther a enseigné? Est-ce que l’un d’entre eux a lu la parole d’introduction au livre du prophète Daniel par Luther, dans l’édition de 1545 ? Est-ce que quelqu’un a compris quelle vision prophétique et clairvoyante a eu Luther autrefois ?

Dans sa préface, il a décrit clairement les quatre empires mondiaux successifs dont il est question dans le prophète Daniel : L’empire Babylonien, l’empire Médo Perse, l’empire Grec et l’empire Romain, qui commença en l’an 63 avant Christ.

Toutes les publications religieuses, même les journaux quotidiens et hebdomadaires abordent le sujet de la réformation. L’objectif final n’est-il pas l’union de toutes les religions mondiales à Rome, la ville sur les sept collines – le Vatican ? Les traités de Rome, n’ont-ils pas été signés à Rome, le 25 mars 1957 ? Le nouvel ordre mondial tant attendu est-il déjà si proche ? Tout cela doit être dit, car il s’agit de la prophétie biblique dans son accomplissement. Nous sommes parvenus à la fin des temps et tout arrive tel que cela a été prédit pour le temps de la fin.

Dans Sa prière sacerdotale, le Rédempteur n’a certainement pas prié pour l’unité de deux églises ou de toutes les religions, mais pour l’unité des rachetés : « Je leur ai donné ta parole ; et le monde les a haïs, parce qu’ils ne sont pas du monde, comme moi je ne suis pas du monde… – moi en eux, et toi en moi, – afin qu’ils soient parfaitement un… » (Jean 17:14+23). Il est le Cep et tous les véritables croyants nés de nouveau sont les sarments, dans lesquels la vie divine est manifestée en tant que fruits du Cep. L’union des rachetés s’opère en Christ, le Chef de l’Église, laquelle a été fondée il y a plus de 2000 ans à Jérusalem, le jour de la Pentecôte, selon Actes des Apôtres chapitre 2. L’église d’État dans l’empire Romain a été fondée en l’an 325 après Christ, lors du premier Concile de Nicée. La réformation par Luther, Zwingli, Calvin et leurs prédécesseurs Wycliff et Hus fut autrefois une percée vers un renouveau spirituel. Dans les réveils successifs Méthodiste, Baptiste et Pentecôtiste dans notre temps, l’Esprit de Dieu était aussi à l’œuvre. Les croyants bibliques ne retournent pas à Rome ou à Nicée, mais à Jérusalem. Il s’agit du retour à Dieu et à Sa parole. Par le dernier message avant le retour de Christ, les croyants seront ramenés au Christianisme authentique. Nous sommes arrivés au temps de l’appel à sortir, de la restauration et de la préparation, nous pouvons avoir part à ce que Dieu fait à présent et nous attendons l’imminent retour de Christ.

Du 31 octobre 2016 au 31 octobre 2017, l’église Protestante célèbre le jubilé de 500 ans de la Réformation initiée par Luther. Ce jubilé de la Réforme n’est pas fêté seulement en Allemagne, mais dans le monde entier. Même l’église Catholique se joint à la festivité : le président de la conférence épiscopale allemande, cardinal Reihard Marx, et le président du Conseil des Églises évangéliques d’Allemagne, Heinrich Bedford-Strohm ont convenu que les deux églises célébreront le jubilé dans une série de cérémonies conjointes. Par cela, « l’unité de la foi » doit être mise en évidence.

Sur le plan mondial, les festivités du 500ème jubilé de la Réformation ont commencé dans les villes de Lund et de Malmö, en Suède – le pays dans lequel l’union mondiale luthérienne a été fondée, il y a 70 ans. Le président de l’union mondiale luthérienne, l’évêque Munib Younan, ainsi que le Chef de l’église Catholique célébrèrent dans le stade de Malmö, avec 10’000 participants. À l’occasion de la prière œcuménique dans la cathédrale luthérienne de Lund, le Pape François a tenu un bref discours, qu’il a ouvert avec le texte de Jean 15 :4 : « Demeurez en moi et je demeurerai en vous ». À Lund, le 31 octobre 2016, le Pape François en compagnie de l’évêque Younan ont également signé une déclaration appelant à une communion conjointe. La déclaration commune débuta pareillement avec les paroles de Jean 15 :4 : « Demeurez en moi et je demeurerai en vous. Comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s’il ne demeure attaché au cep, ainsi vous ne le pouvez non plus si vous ne demeurez en moi ». Il s’agit ici de la réconciliation et de la guérison de la plaie qu’ils se sont infligée entre eux, et de reconnaître que ce qui unit est plus fort que ce qui sépare. Les deux parties s’engagent à éliminer les obstacles, afin de parvenir à la pleine unité œcuménique. L’objectif est la Sainte cène en commun. Il est déclaré que, par l’effort commun, on veuille s’ouvrir à « la puissance du Dieu unique en trois ».

L’unité concrète et entière doit être mise en évidence par l’eucharistie catholique jointe à la Sainte cène évangélique. Les deux choses sont toutefois très différentes, comme on peut le voir dans le Catéchisme de Heidelberg (le Catéchisme le plus utilisé dans les églises réformées).

Question 80 :

Est-ce que les porte-paroles évangéliques croient vraiment à ce que Luther a enseigné ? Est-ce que l’un d’entre eux a lu la parole d’introduction au livre du prophète Daniel par Luther, dans l’édition de 1545 ? Est-ce que quelqu’un a compris quelle vision prophétique et clairvoyante a eu Luther autrefois ?

Dans sa préface, il a décrit clairement les quatre empires mondiaux successifs dont il est question dans le prophète Daniel : L’empire Babylonien, l’empire Médo Perse, l’empire Grec et l’empire Romain, qui commença en l’an 63 avant Christ.

Toutes les publications religieuses, même les journaux quotidiens et hebdomadaires abordent le sujet de la réformation. L’objectif final n’est-il pas l’union de toutes les religions mondiales à Rome, la ville sur les sept collines – le Vatican ? Les traités de Rome, n’ont-ils pas été signés à Rome, le 25 mars 1957 ? Le nouvel ordre mondial tant attendu est-il déjà si proche ? Tout cela doit être dit, car il s’agit de la prophétie biblique dans son accomplissement. Nous sommes parvenus à la fin des temps et tout arrive tel que cela a été prédit pour le temps de la fin.

Dans Sa prière sacerdotale, le Rédempteur n’a certainement pas prié pour l’unité de deux églises ou de toutes les religions, mais pour l’unité des rachetés : « Je leur ai donné ta parole ; et le monde les a haïs, parce qu’ils ne sont pas du monde, comme moi je ne suis pas du monde… – moi en eux, et toi en moi, – afin qu’ils soient parfaitement un… » (Jean 17:14+23). Il est le Cep et tous les véritables croyants nés de nouveau sont les sarments, dans lesquels la vie divine est manifestée en tant que fruits du Cep. L’union des rachetés s’opère en Christ, le Chef de l’Église, laquelle a été fondée il y a plus de 2000 ans à Jérusalem, le jour de la Pentecôte, selon Actes des Apôtres chapitre 2. L’église d’État dans l’empire Romain a été fondée en l’an 325 après Christ, lors du premier Concile de Nicée. La réformation par Luther, Zwingli, Calvin et leurs prédécesseurs Wycliff et Hus fut autrefois une percée vers un renouveau spirituel. Dans les réveils successifs Méthodiste, Baptiste et Pentecôtiste dans notre temps, l’Esprit de Dieu était aussi à l’œuvre. Les croyants bibliques ne retournent pas à Rome ou à Nicée, mais à Jérusalem. Il s’agit du retour à Dieu et à Sa parole. Par le dernier message avant le retour de Christ, les croyants seront ramenés au Christianisme authentique. Nous sommes arrivés au temps de l’appel à sortir, de la restauration et de la préparation, nous pouvons avoir part à ce que Dieu fait à présent et nous attendons l’imminent retour de Christ.