Lettre circulaire Août 2016

« Celui qui croit en moi ... comme dit l’Écriture » (Jean 7:38)

« »

Nous devons reconnaître que, lorsque nous lisons dans le Nouveau Testament plus de 150 fois les mots «... comme il est écrit ...», « ... comme le dit l’Écriture ... », « ... afin que l’Écriture s’accomplisse ... », cela se rapporte chaque fois à l’Ancien Testament. Dans le Nouveau Testament, nous trouvons 845 citations reprises de l’Ancien, dont 185 proviennent des Psaumes. Par cela, nous reconnaissons l’importance de l’accord parfait entre l’Ancien et le Nouveau Testament. Le 22 août 1965, frère Branham a dit: « L’Ancien et le Nouveau Testament sont deux moitiés ».

Après Sa résurrection, le Seigneur apparut aux deux disciples sur le chemin d’Emmaüs et Il leur expliqua tous les passages des Écritures de l’Ancien Testament qui Le concernaient. « Et ils se dirent l’un à l’autre: Notre cœur ne brûlait-il pas au-dedans de nous, lorsqu’il nous parlait en chemin et nous expliquait les Écritures ? » (Luc 24:32).

Il rappela également aux autres disciples, ce qu’Il leur avait dit avant Ses souffrances et Sa mort : « ... qu’il fallait que s’accomplisse tout ce qui est écrit de moi dans la loi de Moïse, dans les prophètes, et dans les psaumes. Alors il leur ouvrit l’esprit, afin qu’ils comprennent les Écritures » (Luc 24:44b-45).

L’apôtre Paul a commencé sa première épître à l’église de Rome de la manière suivante : « Paul, serviteur de Jésus-Christ, appelé à être apôtre, mis à part pour annoncer l’Évangile de Dieu, qui avait été promis auparavant de la part de Dieu par ses prophètes dans les saintes Écritures » (Rom. 1:1-2). Comme Paul l’attesta dans sa première épître, de même moi aussi, je peux l’attester, par la grâce de Dieu, jusque dans ma dernière lettre.

L’Évangile de Dieu doit être propagé exactement comme Ses saints prophètes l’ont annoncé et promis dans les Saintes Écritures et tel qu’il a été transmis par les apôtres à l’Église du Nouveau Testament. Il en est comme Pierre l’a écrit: « ... sachant tout d’abord vous-mêmes (ceci est une nécessité) qu’aucune prophétie de l’Écriture ne peut être un objet d’interprétation particulière » (2 Pi. 1:20).

Tout comme un testament révèle les dernières volontés de celui qui le rédige, ainsi l’Ancien et le Nouveau Testament montrent aux héritiers ce qu’ils possèdent légalement. Puisque Dieu a écrit nos noms dans Son Testament et qu’Il nous a nommés héritiers, nous pouvons avoir part à ce qui se passe maintenant dans le Royaume de Dieu. Tout comme il est vrai que Dieu accomplit dans le cours du Nouveau Testament ce qu’Il a promis dans l’Ancien Testament, il est aussi vrai que les fils et les filles de Dieu, en tant qu’héritiers légitimes, expérimentent l’accomplissement des promesses qui les concernent. Tous les autres passent à côté de ces choses, même s’ils confessent sincèrement être chrétiens.

Paul fait une comparaison entre un testament terrestre et le Testament que Dieu nous a légué: « Frères (je parle à la manière des hommes), un testament en bonne forme, bien que fait par un homme, n’est annulé par personne, et personne n’y ajoute » (Gal. 3:15). La pensée principale dans ce thème important est qu’il ne peut absolument rien être ajouté ou enlevé au Testament que Dieu a fait.

Tout le monde a du respect pour un testament terrestre, même les juges. Les noms des héritiers y sont inscrits et rien ne peut être modifié. Pourquoi le même respect n’est-il pas manifesté envers Dieu et Son Testament ? Pourquoi toutes ces interprétations et ces fausses doctrines sont-elles ajoutées à l’Original ? (Gal. 1:6-8).

L’apôtre Jean, qui fut déporté sur l’île de Patmos à cause de la Parole de Dieu et du témoignage de Jésus, a écrit dans Apocalypse 1: « Bienheureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie, et qui gardent les choses qui y sont écrites ! Car le temps est proche ». Les vrais héritiers de Dieu et cohéritiers de Jésus-Christ ne peuvent accepter que ce qui est réellement écrit noir sur blanc, ce qui nous a été légué dans le Testament divin. Ils sont appelés bienheureux, car ils croient chaque parole et ils gardent dans leurs cœurs ce qui y est écrit.

À la fin du livre de l’Apocalypse, cet avertissement sérieux est formulé: « Je le déclare à quiconque entend les paroles de la prophétie de ce livre: Si quelqu’un y ajoute quelque chose, Dieu le frappera des fléaux décrits dans ce livre; et si quelqu’un retranche quelque chose des paroles du livre de cette prophétie, Dieu retranchera sa part de l’arbre de la vie et de la ville sainte, décrits dans ce livre » (Apoc. 22:18-19). Frère Branham a en effet répété et insisté sur ce passage biblique plus qu’aucun autre. La sentence décrétée par Dieu est irrémédiable et sera ainsi exécutée envers tous ceux qui se seront rendus coupables.

Juste après, il nous est montré que ce n’est ni un prophète, ni l’apôtre Jean qui a dit cela, mais le Seigneur Lui-même : « Celui qui atteste ces choses dit: Oui, je viens bientôt ».

L’Épouse de Christ atteste seulement ce que l’Esprit a dit par la Parole et s’exclame: « Amen ! Viens, Seigneur Jésus ! » (Verset 20).

«  Et l’Esprit et l’épouse disent: Viens. Et que celui qui entend dise: Viens. Et que celui qui a soif vienne; que celui qui veut prenne de l›eau de la vie, gratuitement » (Verset 17).

Nous devons reconnaître que, lorsque nous lisons dans le Nouveau Testament plus de 150 fois les mots «... comme il est écrit ...», « ... comme le dit l’Écriture ... », « ... afin que l’Écriture s’accomplisse ... », cela se rapporte chaque fois à l’Ancien Testament. Dans le Nouveau Testament, nous trouvons 845 citations reprises de l’Ancien, dont 185 proviennent des Psaumes. Par cela, nous reconnaissons l’importance de l’accord parfait entre l’Ancien et le Nouveau Testament. Le 22 août 1965, frère Branham a dit: « L’Ancien et le Nouveau Testament sont deux moitiés ».

Après Sa résurrection, le Seigneur apparut aux deux disciples sur le chemin d’Emmaüs et Il leur expliqua tous les passages des Écritures de l’Ancien Testament qui Le concernaient. « Et ils se dirent l’un à l’autre: Notre cœur ne brûlait-il pas au-dedans de nous, lorsqu’il nous parlait en chemin et nous expliquait les Écritures ? » (Luc 24:32).

Il rappela également aux autres disciples, ce qu’Il leur avait dit avant Ses souffrances et Sa mort : « ... qu’il fallait que s’accomplisse tout ce qui est écrit de moi dans la loi de Moïse, dans les prophètes, et dans les psaumes. Alors il leur ouvrit l’esprit, afin qu’ils comprennent les Écritures » (Luc 24:44b-45).

L’apôtre Paul a commencé sa première épître à l’église de Rome de la manière suivante : « Paul, serviteur de Jésus-Christ, appelé à être apôtre, mis à part pour annoncer l’Évangile de Dieu, qui avait été promis auparavant de la part de Dieu par ses prophètes dans les saintes Écritures » (Rom. 1:1-2). Comme Paul l’attesta dans sa première épître, de même moi aussi, je peux l’attester, par la grâce de Dieu, jusque dans ma dernière lettre.

L’Évangile de Dieu doit être propagé exactement comme Ses saints prophètes l’ont annoncé et promis dans les Saintes Écritures et tel qu’il a été transmis par les apôtres à l’Église du Nouveau Testament. Il en est comme Pierre l’a écrit: « ... sachant tout d’abord vous-mêmes (ceci est une nécessité) qu’aucune prophétie de l’Écriture ne peut être un objet d’interprétation particulière » (2 Pi. 1:20).

Tout comme un testament révèle les dernières volontés de celui qui le rédige, ainsi l’Ancien et le Nouveau Testament montrent aux héritiers ce qu’ils possèdent légalement. Puisque Dieu a écrit nos noms dans Son Testament et qu’Il nous a nommés héritiers, nous pouvons avoir part à ce qui se passe maintenant dans le Royaume de Dieu. Tout comme il est vrai que Dieu accomplit dans le cours du Nouveau Testament ce qu’Il a promis dans l’Ancien Testament, il est aussi vrai que les fils et les filles de Dieu, en tant qu’héritiers légitimes, expérimentent l’accomplissement des promesses qui les concernent. Tous les autres passent à côté de ces choses, même s’ils confessent sincèrement être chrétiens.

Paul fait une comparaison entre un testament terrestre et le Testament que Dieu nous a légué: « Frères (je parle à la manière des hommes), un testament en bonne forme, bien que fait par un homme, n’est annulé par personne, et personne n’y ajoute » (Gal. 3:15). La pensée principale dans ce thème important est qu’il ne peut absolument rien être ajouté ou enlevé au Testament que Dieu a fait.

Tout le monde a du respect pour un testament terrestre, même les juges. Les noms des héritiers y sont inscrits et rien ne peut être modifié. Pourquoi le même respect n’est-il pas manifesté envers Dieu et Son Testament ? Pourquoi toutes ces interprétations et ces fausses doctrines sont-elles ajoutées à l’Original ? (Gal. 1:6-8).

L’apôtre Jean, qui fut déporté sur l’île de Patmos à cause de la Parole de Dieu et du témoignage de Jésus, a écrit dans Apocalypse 1: « Bienheureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie, et qui gardent les choses qui y sont écrites ! Car le temps est proche ». Les vrais héritiers de Dieu et cohéritiers de Jésus-Christ ne peuvent accepter que ce qui est réellement écrit noir sur blanc, ce qui nous a été légué dans le Testament divin. Ils sont appelés bienheureux, car ils croient chaque parole et ils gardent dans leurs cœurs ce qui y est écrit.

À la fin du livre de l’Apocalypse, cet avertissement sérieux est formulé: « Je le déclare à quiconque entend les paroles de la prophétie de ce livre: Si quelqu’un y ajoute quelque chose, Dieu le frappera des fléaux décrits dans ce livre; et si quelqu’un retranche quelque chose des paroles du livre de cette prophétie, Dieu retranchera sa part de l’arbre de la vie et de la ville sainte, décrits dans ce livre » (Apoc. 22:18-19). Frère Branham a en effet répété et insisté sur ce passage biblique plus qu’aucun autre. La sentence décrétée par Dieu est irrémédiable et sera ainsi exécutée envers tous ceux qui se seront rendus coupables.

Juste après, il nous est montré que ce n’est ni un prophète, ni l’apôtre Jean qui a dit cela, mais le Seigneur Lui-même : « Celui qui atteste ces choses dit: Oui, je viens bientôt ».

L’Épouse de Christ atteste seulement ce que l’Esprit a dit par la Parole et s’exclame: « Amen ! Viens, Seigneur Jésus ! » (Verset 20).

«  Et l’Esprit et l’épouse disent: Viens. Et que celui qui entend dise: Viens. Et que celui qui a soif vienne; que celui qui veut prenne de l›eau de la vie, gratuitement » (Verset 17).