Lettre circulaire N° 28 – Mai 1983

LIBERTE SPIRITUELLE

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“Frères, vous avez été appelés à la liberté...” (Gal. 5.13). Christ nous a affranchis de l’esclavage du péché et nous a conduits dans la merveilleuse liberté des enfants de Dieu. Cette liberté spirituelle dans laquelle Il nous a placés se manifeste cependant dans le cadre de la Parole de Dieu. Lorsque chacun fait ce qu’il veut il n’y a pas de liberté. Celui qui sort du ca- dre des Ecritures perd sa liberté spirituelle et devient à nouveau esclave d’un système reli- gieux. Ce n’est pas seulement dans les dénominations et organisations chrétiennes que se trouvent des dogmes et des règlements mais aussi dans les milieux de ceux qui déclarent croire le message de ce temps. Partout où l’on introduit certains enseignements et ordonnan- ces de quelque sorte que ce soit, là on ne rend plus le salut exclusivement dépendant de l’oeuvre de rédemption pleinement accomplie à Golgotha, mais on le fait dépendre d’oeuvres accomplies par soi-même.

Notre foi et notre enseignement, nos pensées et nos actions, toute notre manière de penser – tout doit être en accord avec la Parole et ne doit pas en sortir. Dieu est dans Sa Parole et personne n’a encore pu se permettre de croire “en passant à côté” de Lui; ou de penser, de parler et de vivre “en passant par-dessus” Lui. Celui qui demeure en Jésus-Christ demeure dans Sa Parole. Au travers du dernier Message il nous a été montré clairement, d’une manière impressionnante et qui nous confond, que la Bible entière, du premier au dernier chapitre, se déroule dans un accord parfait et absolu. L’ensemble des Saintes Ecritures est la Parole de Dieu. Le même Dieu qui a parlé dans l’Ancien Testament est aussi Le même qui parle dans le Nouveau Testament. Dieu a-t-Il dû reprendre une seule phrase qu’Il a exprimée autrefois? Et aujourd’hui, formulerait-Il aussi un seul verset différemment?

On entend malheureusement aussi sortir de la bouche de croyants de telles paroles: «Mais, cela se trouve dans l’Ancien Testament!» ou «Mais Dieu l’a dit à Moïse en son temps!» et «Cela se trouve dans la loi», «dans les prophètes», ou «dans les psaumes». Jésus Lui-Même ne s’est-Il pas toujours rapporté à l’Ancien Testament, à Moïse, aux psaumes et aux prophè- tes? Sur quel fondement reposait donc l’enseignement des apôtres? Quelle écriture Paul pou- vait-il consulter lorsqu’il voulait lire quelque chose de la Parole de Dieu? D’où tirait-il tous les exemples qu’il employait dans ses épîtres? En ce temps-là le Nouveau Testament n’existait même pas! Dans Romains 3.31 il écrit: “Anéantissons-nous donc la loi par la foi? Au contraire, nous confirmons la loi”.

Dans Hébreux 8.10 il cite la Parole du prophète Jérémie 31.33: “Mais voici l’alliance que je ferai avec la maison d’Israël après ces jours-là, dit le Seigneur: Je mettrai mes lois dans leur esprit, je les écrirai dans leur coeur; et je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple”.

Il n’est pas écrit dans ce passage: “Je mettrai la loi de Moïse avec toutes ses prescriptions en eux”, mais bien: “Je mettrai mes lois dans leur esprit, je les écrirai dans leur coeur”. La loi de Moïse comprend les deux: d’une part la loi de Dieu qui est obligatoire pour tous, et d’autre part la loi qui était destinée à Israël et à son service divin. Au milieu de la loi de Moïse se trouve le spirituel, la loi divine, soit ce qui devait être annoncé comme révélation (Héb. 3.5). C’est la partie qui est destinée aux croyants. Si frère Branham, Paul, les quatre évangélistes et les apôtres se sont référés à l’Ancien Testament, ce n’est pas pour nous placer sous le joug pesant de la loi de Moïse, mais bien sous le joug doux et léger de Jésus-Christ (Mat. 11.30).

Paul n’a-t-il pas écrit: “La loi donc est sainte, et le commandement est saint, juste et bon” (Rom. 7.12). “Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle” (v. 14). N’a-t-il pas exposé que la connaissance du péché vient seulement par la loi? Tout ce qu’il peut y avoir d’arbitraire doit cesser. Pourquoi donc Jésus a-t-Il été placé sous la loi? Il n’est pas venu pour l’annuler, mais bien pour en accomplir docilement toutes les exigences et nous racheter de la malédic- tion de la loi (Gal. 3.13). Nous avons été déliés de la lettre afin que nous puissions entrer dans le nouvel être de l’Esprit et que nous puissions accomplir le service de la nouvelle alliance de la manière juste. Tous les rachetés ont reçu le pouvoir de devenir enfants de Dieu.

Depuis Adam, tous les hommes se trouvent sous la malédiction que Dieu a prononcée après la première transgression. Sous la loi, toute désobéissance aux commandements de Dieu entraînait un châtiment. Mais Jésus, notre Seigneur et Sauveur, est venu sur cette terre prendre sur Lui le châtiment du péché et de la mort – c’est le fait d’être éternellement séparé de Dieu – et nous réconcilier avec Dieu. C’est la raison pour laquelle Il s’est écrié à la croix: “Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné?”. Ce n’est pas seulement un acompte pour le rachat de notre âme qui a été payé par le précieux Sang de l’Agneau, mais c’est le prix entier et définitif qui en a été donné. Le don du Saint-Esprit n’est qu’un acompte, que les arrhes du droit que nous avons à la pleine rédemption de notre corps (Eph. 1.13,14; 4.30); cependant le Sang dans Lequel se trouvait la Vie de Dieu contenait la plénitude du prix de rachat pour nous – et c’est définitif. Notre corps attend encore sa délivrance et sa transmutation, mais notre âme est déjà délivrée et a reçu la Vie éternelle.

“Frères, vous avez été appelés à la liberté...” (Gal. 5.13). Christ nous a affranchis de l’esclavage du péché et nous a conduits dans la merveilleuse liberté des enfants de Dieu. Cette liberté spirituelle dans laquelle Il nous a placés se manifeste cependant dans le cadre de la Parole de Dieu. Lorsque chacun fait ce qu’il veut il n’y a pas de liberté. Celui qui sort du ca- dre des Ecritures perd sa liberté spirituelle et devient à nouveau esclave d’un système reli- gieux. Ce n’est pas seulement dans les dénominations et organisations chrétiennes que se trouvent des dogmes et des règlements mais aussi dans les milieux de ceux qui déclarent croire le message de ce temps. Partout où l’on introduit certains enseignements et ordonnan- ces de quelque sorte que ce soit, là on ne rend plus le salut exclusivement dépendant de l’oeuvre de rédemption pleinement accomplie à Golgotha, mais on le fait dépendre d’oeuvres accomplies par soi-même. 

Notre foi et notre enseignement, nos pensées et nos actions, toute notre manière de penser – tout doit être en accord avec la Parole et ne doit pas en sortir. Dieu est dans Sa Parole et personne n’a encore pu se permettre de croire “en passant à côté” de Lui; ou de penser, de parler et de vivre “en passant par-dessus” Lui. Celui qui demeure en Jésus-Christ demeure dans Sa Parole. Au travers du dernier Message il nous a été montré clairement, d’une manière impressionnante et qui nous confond, que la Bible entière, du premier au dernier chapitre, se déroule dans un accord parfait et absolu. L’ensemble des Saintes Ecritures est la Parole de Dieu. Le même Dieu qui a parlé dans l’Ancien Testament est aussi Le même qui parle dans le Nouveau Testament. Dieu a-t-Il dû reprendre une seule phrase qu’Il a exprimée autrefois? Et aujourd’hui, formulerait-Il aussi un seul verset différemment? 

On entend malheureusement aussi sortir de la bouche de croyants de telles paroles: «Mais, cela se trouve dans l’Ancien Testament!» ou «Mais Dieu l’a dit à Moïse en son temps!» et «Cela se trouve dans la loi», «dans les prophètes», ou «dans les psaumes». Jésus Lui-Même ne s’est-Il pas toujours rapporté à l’Ancien Testament, à Moïse, aux psaumes et aux prophè- tes? Sur quel fondement reposait donc l’enseignement des apôtres? Quelle écriture Paul pou- vait-il consulter lorsqu’il voulait lire quelque chose de la Parole de Dieu? D’où tirait-il tous les exemples qu’il employait dans ses épîtres? En ce temps-là le Nouveau Testament n’existait même pas! Dans Romains 3.31 il écrit: “Anéantissons-nous donc la loi par la foi? Au contraire, nous confirmons la loi”.

Dans Hébreux 8.10 il cite la Parole du prophète Jérémie 31.33: “Mais voici l’alliance que je ferai avec la maison d’Israël après ces jours-là, dit le Seigneur: Je mettrai mes lois dans leur esprit, je les écrirai dans leur coeur; et je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple”.

Il n’est pas écrit dans ce passage: “Je mettrai la loi de Moïse avec toutes ses prescriptions en eux”, mais bien: “Je mettrai mes lois dans leur esprit, je les écrirai dans leur coeur”. La loi de Moïse comprend les deux: d’une part la loi de Dieu qui est obligatoire pour tous, et d’autre part la loi qui était destinée à Israël et à son service divin. Au milieu de la loi de Moïse se trouve le spirituel, la loi divine, soit ce qui devait être annoncé comme révélation (Héb. 3.5). C’est la partie qui est destinée aux croyants. Si frère Branham, Paul, les quatre évangélistes et les apôtres se sont référés à l’Ancien Testament, ce n’est pas pour nous placer sous le joug pesant de la loi de Moïse, mais bien sous le joug doux et léger de Jésus-Christ (Mat. 11.30). 

Paul n’a-t-il pas écrit: “La loi donc est sainte, et le commandement est saint, juste et bon” (Rom. 7.12). “Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle” (v. 14). N’a-t-il pas exposé que la connaissance du péché vient seulement par la loi? Tout ce qu’il peut y avoir d’arbitraire doit cesser. Pourquoi donc Jésus a-t-Il été placé sous la loi? Il n’est pas venu pour l’annuler, mais bien pour en accomplir docilement toutes les exigences et nous racheter de la malédic- tion de la loi (Gal. 3.13). Nous avons été déliés de la lettre afin que nous puissions entrer dans le nouvel être de l’Esprit et que nous puissions accomplir le service de la nouvelle alliance de la manière juste. Tous les rachetés ont reçu le pouvoir de devenir enfants de Dieu. 

Depuis Adam, tous les hommes se trouvent sous la malédiction que Dieu a prononcée après la première transgression. Sous la loi, toute désobéissance aux commandements de Dieu entraînait un châtiment. Mais Jésus, notre Seigneur et Sauveur, est venu sur cette terre prendre sur Lui le châtiment du péché et de la mort – c’est le fait d’être éternellement séparé de Dieu – et nous réconcilier avec Dieu. C’est la raison pour laquelle Il s’est écrié à la croix: “Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné?”. Ce n’est pas seulement un acompte pour le rachat de notre âme qui a été payé par le précieux Sang de l’Agneau, mais c’est le prix entier et définitif qui en a été donné. Le don du Saint-Esprit n’est qu’un acompte, que les arrhes du droit que nous avons à la pleine rédemption de notre corps (Eph. 1.13,14; 4.30); cependant le Sang dans Lequel se trouvait la Vie de Dieu contenait la plénitude du prix de rachat pour nous – et c’est définitif. Notre corps attend encore sa délivrance et sa transmutation, mais notre âme est déjà délivrée et a reçu la Vie éternelle.