Dieu et son Plan pour l'humanité
En ce qui concerne le thème de la divinité, le Nouveau Testament réserve aux hommes des difficultés sensiblement plus grandes que l’Ancien. Cela vient de ce qu’aujourd’hui nous avons affaire à l’héritage d’une pensée théologique tout à fait antibiblique Même au concile de Nicée, en 325, il n’y avait encore aucune discussion sur une trinité. Il est connu de tout historien de l’Eglise qu’à cette occasion il était question de la divinité de Jésus-Christ, doctrine qu’Athanase défendait clairement, par opposition à celle d’Anus. Les diverses formulations de la trinité sont le produit de l’entendement et elles sont basées sur un malentendu total. Non seulement les paroles des prophètes et des apôtres n’ont pas été prises en considération à ce sujet, mais également les déclarations des hommes de Dieu qui ont suivi les temps apostoliques. La doctrine de la trinité provient d’une époque de la pensée philosophico-théologique. On commandait à sa propre raison, disant: «Tu dois voir les trois Personnes comme étant un seul Dieu!». Néanmoins on n’en voyait pas qu’un seul mais trois, et c’est ainsi qu’on passa du monothéisme au trinitarisme.
La vision de l’histoire du salut, présentant un Dieu qui s’abaisse et qui en tant que Parole (le Logos), agit jusqu’à ce qu’Il se fasse connaître sous une forme corporelle, fut perdue (Jean 1.1,14). Dieu avait parlé au travers des prophètes, cependant lorsqu’Il parla dans le Fils, ce n’était plus pour annoncer encore une autre promesse, mais c’était la réponse, le résultat. A qui une apparence de connaissance spéculative peut-elle bien être utile? Mais il s’agit bien là de la plus grande et de la plus sainte révélation. Celui qui se tient au-dessus de tout ce qui est temporel entra dans l’histoire, et ainsi la Parole qui était au commencement devint chair et habita au milieu de nous (Jean 1.1,14). La lumière vint et un nouveau jour commença: le jour du salut (Es. 49.8; 2 Cor. 6.2). Le soleil de la justice se levait; une vie nouvelle, réalisée par l’Esprit, en sortait. C’était une intervention divine dans l’histoire de l’humanité. En fait nous avons affaire à la révélation de Dieu et à l’unité de Son être. C’est seulement s’il est vrai que Dieu Lui-même était en Christ qu’il est vrai que Dieu Lui-même nous a réconciliés avec Lui(2 Cor. 5.19).
Un historien écrit ceci sur Athanase, le docteur de l’Eglise, lequel se rapporte àIrénée: «La pensée d’Athanase est décisive lorsqu’il dit qu’en Jésus, Dieu Lui-même nous est apparu, que Dieu Lui-même s’est fait connaître à nous et nous a rachetés, que nous avons le Père même en Lui». Ajoutons une citation de Luther: «Le réconciliateur doit être Dieu Lui-même parce que, pour que nous soyons arrachés à notre horrible chute dans le péché et à la mort éternelle, aucun autre moyen ne pouvait nous venir en aide, si ce n’est au travers d’une Personne éternelle qui ait pouvoir sur le péché et la mort et puisse nous en racheter, et à la place nous donner la justice et la Vie éternelle. Aucun ange ou aucune autre créature ne pouvait le faire, mais il fallait bien que ce fût Dieu Lui-même». La doctrine tout à fait anti-biblique de la «tri-unité» devint un grand obstacle pour les Juifs et les Musulmans. Au lieu de voir la révélation du Père, Fils et Saint-Esprit de manière successive, on les présenta l’un à côté de l’autre.
Le fait que l’Ancien et le Nouveau Testament doivent pleinement concorder et qu’aucune contradiction ne peut s’y trouver devrait éclairer toute personne craignant Dieu. La prophétie et son accomplissement doivent être en parfait accord, et ils le sont. Ainsi, aussi bien l’Ancien que le Nouveau Testament rendent témoignage du fait que Lui qui était en forme de Dieu est entré pleinement dans un être humain.
Conformément à Genèse 1.26-28, Adam a été créé à l’image de Dieu, c’est-à-dire dans un corps spirituel. Ce n’est que plus tard, au chapitre deux, verset 7, que le Seigneur Dieu lui forma un corps charnel terrestre. Après cela, d’Adam il tira Eve. Parce que l’homme était tombé, dans ce corps de chair, il fallait que Dieu vînt dans un corps de chair. Christ était le dernier Adam (1 Cor. 15.45). A Golgotha Son côté fut ouvert et par l’action du rachat Son Epouse fut tirée de Lui. Elle est chair de sa chair… (Eph. 50.30). L’homme devait être rendu divin et c’est pourquoi Dieu devint homme quant à la chair, mais quant à l’Esprit Il resta Dieu. Seul Lui-même pouvait ramener les hommes à leur position divine.
Qu’il n’y ait qu’un seul Dieu, le Nouveau Testament nous en rend aussi bien témoignage que l’Ancien. “Et Jésus lui répondit: le premier de tous les commandements est: Ecoute, Israël, le Seigneur notre Dieu est un seul Seigneur; et tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton coeur, de toute ton âme, et de toute ta pensée, et de toute ta force” (Marc 12.29,30 — Darby). Nous trouvons dans Romains 3.30: “… puisque c’est un seul Dieu qui justifiera la circoncision sur le principe de la foi et l’incirconcision par la foi”. Il est écrit dans l’épître de Jude, au verset 25: “… au seul Dieu, notre Sauveur, par notre Seigneur Jésus-Christ, gloire, majesté, force et pouvoir, dès avant tout siècle, et maintenant, et pour tous les siècles! Amen”.
Avant d’entrer de façon détaillée dans les différentes sphères où notre Seigneur a exercé Son ministère dans Sa diversité, nous devons encore une fois mettre l’accent sur Sa divinité telle que nous la montre le Nouveau Testament. Romains 9.4,5 rend témoignage que le Messie est Dieu: “… qui sont Israélites, auxquels sont l’adoption, et la gloire, et les alliances, et le don de la loi, et le service divin, et les promesses; auxquels sont les pères, et desquels, selon la chair, est issu le Christ, qui est sur toutes choses Dieu béni éternellement. Amen!” (Darby).L’apôtre Jean s’exprime ainsi: “Or nous savons que le Fils de Dieu est venu, et nous a donné l’intelligence afin que nous connaissions le Véritable, et nous sommes dans le Véritable, savoir dans son Fils Jésus-Christ: Lui est le Dieu véritable et la vie éternelle” (1 Jean 5.20 — Darby).
Paul rend un témoignage convaincant lorsqu’il dit ceci: “Et, sans contredit, le mystère de la piété est grand: Dieu a été manifesté en chair, a été justifié en Esprit, a été vu des anges, a été prêché parmi les nations, a été cru au monde, a été élevé dans la gloire” (1 Tim. 3.16 — Darby). Le témoignage unanime des prophètes et des apôtres ne peut pas être ignoré, pas plus qu’il ne peut être mis de côté. Paul écrit aux Colossiens: “… afin que leurs coeurs soient consolés, étant unis ensemble dans l’amour et pour toutes les richesses de la pleine certitude d’intelligence, pour la connaissance du mystère de Dieu, dans lequel sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la connaissance” (Col. 2.2,3 — Darby). La divinité de Jésus-Christ est le fondement de notre foi et la condition absolue pour notre rédemption.
En ce qui concerne le thème de la divinité, le Nouveau Testament réserve aux hommes des difficultés sensiblement plus grandes que l’Ancien. Cela vient de ce qu’aujourd’hui nous avons affaire à l’héritage d’une pensée théologique tout à fait antibiblique Même au concile de Nicée, en 325, il n’y avait encore aucune discussion sur une trinité. Il est connu de tout historien de l’Eglise qu’à cette occasion il était question de la divinité de Jésus-Christ, doctrine qu’Athanase défendait clairement, par opposition à celle d’Anus. Les diverses formulations de la trinité sont le produit de l’entendement et elles sont basées sur un malentendu total.Non seulement les paroles des prophètes et des apôtres n’ont pas été prises en considération à ce sujet, mais également les déclarations des hommes de Dieu qui ont suivi les temps apostoliques. La doctrine de la trinité provient d’une époque de la pensée philosophico-théologique. On commandait à sa propre raison, disant: «Tu dois voir les trois Personnes comme étant un seul Dieu!». Néanmoins on n’en voyait pas qu’un seul mais trois, et c’est ainsi qu’on passa du monothéisme au trinitarisme.
La vision de l’histoire du salut, présentant un Dieu qui s’abaisse et qui en tant que Parole (le Logos), agit jusqu’à ce qu’Il se fasse connaître sous une forme corporelle, fut perdue (Jean 1.1,14). Dieu avait parlé au travers des prophètes, cependant lorsqu’Il parla dans le Fils, ce n’était plus pour annoncer encore une autre promesse, mais c’était la réponse, le résultat.A qui une apparence de connaissance spéculative peut-elle bien être utile? Mais il s’agit bien là de la plus grande et de la plus sainte révélation. Celui qui se tient au-dessus de tout ce qui est temporel entra dans l’histoire, et ainsi la Parole qui était au commencement devint chair et habita au milieu de nous (Jean 1.1,14). La lumière vint et un nouveau jour commença: le jour du salut (Es. 49.8; 2 Cor. 6.2). Le soleil de la justice se levait; une vie nouvelle, réalisée par l’Esprit, en sortait. C’était une intervention divine dans l’histoire de l’humanité. En fait nous avons affaire à la révélation de Dieu et à l’unité de Son être. C’est seulement s’il est vrai que Dieu Lui-même était en Christ qu’il est vrai que Dieu Lui-même nous a réconciliés avec Lui (2 Cor. 5.19).
Un historien écrit ceci sur Athanase, le docteur de l’Eglise, lequel se rapporte àIrénée: «La pensée d’Athanase est décisive lorsqu’il dit qu’en Jésus, Dieu Lui-même nous est apparu, que Dieu Lui-même s’est fait connaître à nous et nous a rachetés, que nous avons le Père même en Lui». Ajoutons une citation de Luther: «Le réconciliateur doit être Dieu Lui-même parce que, pour que nous soyons arrachés à notre horrible chute dans le péché et à la mort éternelle, aucun autre moyen ne pouvait nous venir en aide, si ce n’est au travers d’une Personne éternelle qui ait pouvoir sur le péché et la mort et puisse nous en racheter, et à la place nous donner la justice et la Vie éternelle. Aucun ange ou aucune autre créature ne pouvait le faire, mais il fallait bien que ce fût Dieu Lui-même». La doctrine tout à fait anti-biblique de la «tri-unité» devint un grand obstacle pour les Juifs et les Musulmans. Au lieu de voir la révélation du Père, Fils et Saint-Esprit de manière successive, on les présenta l’un à côté de l’autre.
Le fait que l’Ancien et le Nouveau Testament doivent pleinement concorder et qu’aucune contradiction ne peut s’y trouver devrait éclairer toute personne craignant Dieu. La prophétie et son accomplissement doivent être en parfait accord, et ils le sont.Ainsi, aussi bien l’Ancien que le Nouveau Testament rendent témoignage du fait que Lui qui était en forme de Dieu est entré pleinement dans un être humain.
Conformément à Genèse 1.26-28, Adam a été créé à l’image de Dieu, c’est-à-dire dans un corps spirituel. Ce n’est que plus tard, au chapitre deux, verset 7, que le Seigneur Dieu lui forma un corps charnel terrestre. Après cela, d’Adam il tira Eve. Parce que l’homme était tombé, dans ce corps de chair, il fallait que Dieu vînt dans un corps de chair.Christ était le dernier Adam (1 Cor. 15.45). A Golgotha Son côté fut ouvert et par l’action du rachat Son Epouse fut tirée de Lui. Elle est chair de sa chair… (Eph. 50.30). L’homme devait être rendu divin et c’est pourquoi Dieu devint homme quant à la chair, mais quant à l’Esprit Il resta Dieu. Seul Lui-même pouvait ramener les hommes à leur position divine.
Qu’il n’y ait qu’un seul Dieu, le Nouveau Testament nous en rend aussi bien témoignage que l’Ancien. “Et Jésus lui répondit: le premier de tous les commandements est: Ecoute, Israël, le Seigneur notre Dieu est un seul Seigneur; et tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton coeur, de toute ton âme, et de toute ta pensée, et de toute ta force”(Marc 12.29,30 — Darby). Nous trouvons dans Romains 3.30: “… puisque c’est un seul Dieu qui justifiera la circoncision sur le principe de la foi et l’incirconcision par la foi”.Il est écrit dans l’épître de Jude, au verset 25: “… au seul Dieu, notre Sauveur, par notre Seigneur Jésus-Christ, gloire, majesté, force et pouvoir, dès avant tout siècle, et maintenant, et pour tous les siècles! Amen”.
Avant d’entrer de façon détaillée dans les différentes sphères où notre Seigneur a exercé Son ministère dans Sa diversité, nous devons encore une fois mettre l’accent sur Sa divinité telle que nous la montre le Nouveau Testament. Romains 9.4,5 rend témoignage que le Messie est Dieu: “… qui sont Israélites, auxquels sont l’adoption, et la gloire, et les alliances, et le don de la loi, et le service divin, et les promesses; auxquels sont les pères, et desquels, selon la chair, est issu le Christ, qui est sur toutes choses Dieu béni éternellement. Amen!”(Darby).L’apôtre Jean s’exprime ainsi: “Or nous savons que le Fils de Dieu est venu, et nous a donné l’intelligence afin que nous connaissions le Véritable, et nous sommes dans le Véritable, savoir dans son Fils Jésus-Christ: Lui est le Dieu véritable et la vie éternelle”(1 Jean 5.20 — Darby).
Paul rend un témoignage convaincant lorsqu’il dit ceci: “Et, sans contredit, le mystère de la piété est grand: Dieu a été manifesté en chair, a été justifié en Esprit, a été vu des anges, a été prêché parmi les nations, a été cru au monde, a été élevé dans la gloire”(1 Tim. 3.16 — Darby). Le témoignage unanime des prophètes et des apôtres ne peut pas être ignoré, pas plus qu’il ne peut être mis de côté. Paul écrit aux Colossiens: “… afin que leurs coeurs soient consolés, étant unis ensemble dans l’amour et pour toutes les richesses de la pleine certitude d’intelligence, pour la connaissance du mystère de Dieu, dans lequel sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la connaissance”(Col. 2.2,3 — Darby). La divinité de Jésus-Christ est le fondement de notre foi et la condition absolue pour notre rédemption.