Dieu et son Plan pour l'humanité

LE SERVITEUR

« »

Christ est désigné dans son abaissement comme étant le serviteur du Seigneur. Il vint pour accomplir la parfaite volonté de Dieu. Nous lisons dans Esaïe 42.1: “Voici mon serviteur, que je soutiendrai, mon élu, en qui mon âme prend plaisir. J’ai mis mon Esprit sur lui; il annoncera la justice aux nations” (Segond)L’Esprit de Dieu vint sur Christ parce que Dieu avait trouvé Son plaisir en Lui. Ensuite Il commença Son ministère. Dans Luc 4, le Seigneur Jésus fit la lecture du passage du prophète Esaïe 61.1,2: “L’Esprit du Seigneur, l’Eternel, est sur moi, car l’Eternel m’a oint pour porter de bonnes nouvelles aux malheureux; il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le coeur brisé, pour proclamer aux captifs la liberté, et aux prisonniers la délivrance; pour publier une année de grâce de l’Eternel”.Il est dit dans Esaïe 42.6: “Moi, l’Eternel, je t’ai appelé pour le salut, et je te prendrai par la main, je te garderai, et je t’établirai pour traiter alliance avec le peuple, pour être la lumière des nations, pour ouvrir les yeux des aveugles, pour faire sortir de prison le captif, et de leur cachot ceux qui habitent dans les ténèbres” (Segond).Chacun peut lire l’accomplissement de cette parole dans Matthieu 12.15-21. Ce qu’Il a dit autrefois est valable encore aujourd’hui: “Il ne brisera point le roseau cassé, et il n’éteindra point la mèche qui brûle encore; il annoncera la justice selon la vérité. Il ne se découragera point et ne se relâchera point, jusqu’à ce qu’il ait établi la justice sur la terre, et que les îles espèrent en sa loi” (Es. 42.3,4 — Segond).

Dans le prophète Esaïe, du chapitre 52.13 au chapitre 53.12 (Segond), le Sauveur est vu par avance, sous sa forme de serviteur, sur le chemin qui le conduit de Gethsémané àGolgotha. “… il n’avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, et son aspect n’avait rien pour nous plaire. Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage, nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas”(v. 2,3). Les versets suivants (v. 4,5) exposent le coeur de l’oeuvre de salut: “Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé; et nous l’avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris”. Dans le psaume 129.3 nous trouvons aussi une indication prophétique de Ses souffrances: “Des laboureurs ont labouré mon dos, ils y ont tracé de longs sillons” (Segond).Nous lisons ce qui suit dans Esaïe 50.6 :“J’ai livré mon dos à ceux qui me frappaient, et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe; je n’ai pas dérobé mon visage aux ignominies et aux crachats” (Segond).

Sous sa forme de serviteur, le Messie a été humilié d’une façon incompréhensible pour nous, et Il a été traité comme un criminel. Marc 14.65 nous rapporte ceci: “Et quelques-uns se mirent à cracher sur lui, à lui voiler le visage et à le frapper à coups de poing, en lui disant: Devine! Et les serviteurs le reçurent en lui donnant des soufflets” (Segond)On parle au chapitre 15 de Sa flagellation, et comment on Lui mit sur la tête une couronne d’épines, et toutes les moqueries qu’Il dut endurer. Au verset 28 nous est donné cet éclaircissement: “Ainsi fut accompli ce que dit l’Ecriture” (Es. 53.12): “Il a été mis au nombre des malfaiteurs”.

Dans Esaïe 53 nous est aussi donnée l’explication de la raison pour laquelle notre Sauveur a dû passer par toutes ces choses. Nous lisons au verset 11:“A cause du travail de son âme, il rassasiera ses regards; par sa connaissance mon serviteur juste justifiera beaucoup d’hommes, et il se chargera de leurs iniquités” (Segond).Nous étions les coupables qui méritions la mort, cependant Il prit notre place. Nous étions ceux qui étaient abandonnés de Dieu. Lorsqu’Il était sur la croix, Jésus s’écria à notre place: “Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné?”. Dans le psaume 22 David prophétise en disant par l’Esprit ces paroles: “Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné?” (v. 2). “Tous ceux qui me voient se moquent de moi…” (v. 8). “Car des chiens m’environnent, une bande de scélérats rôdent autour de moi, ils ont percé mes mains et mes pieds. Je pourrais compter tous mes os. Eux, ils observent, ils me regardent; ils se partagent mes vêtements, ils tirent au sort ma tunique” (v. 17-19 — Segond).

Considérons donc avec quelle exactitude plus de cent paroles prophétiques de l’Ancien Testament en rapport avec le Messie se sont accomplies. Par Ses souffrances et Sa mort Il nous a délivrés, et Il a enlevé l’inimitié existant entre nous et Dieu. C’est ainsi que nous sommes devenus des hommes nouveaux et des pacificateurs (Eph. 2.13-17).

En tant que serviteur, Jésus refusa d’être appelé “bon maître”. Il dit au chef: “Pourquoi m’appelles-tu bon? Il n’y a de bon que Dieu seul” (Luc 18.18,19 — Segond). Il dit littéralement: “Je ne tire pas ma gloire des hommes… Comment pouvez-vous croire, vous qui tirez votre gloire des uns des autres, et qui ne cherchez point la gloire qui vient de Dieu seul?” (Jean 5.41,44 — Segond). Il était venu pour accomplir la volonté de Dieu, et c’est pourquoi Il dit: “Celui qui m’a envoyé est avec moi; il ne m’a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui est agréable” (Jean 8.29 — Segond). En tant que serviteur Jésus est venu pour servir, c’est pourquoi Il dit: “C’est ainsi que le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de plusieurs” (Mat. 20.28 — Segond).

L’Eglise primitive employait àSon égard la désignation de “serviteur”, même dans ses prières. “En effet, contre ton saint serviteur Jésus, que tu as oint, Hérode et Ponce Pilate se sont ligués dans cette ville avec les nations et avec les peuples d’Israël, pour faire tout ce que ta main et ton conseil avaient arrêté d’avance” (Actes 4.27,28 —Segond). Sous la direction du Saint-Esprit, les hommes ont toujours dit, prié, écrit et fait ce qui était juste. Bien des choses peuvent sembler être contraires à la raison, cependant il devait être rendu compte de chaque Parole de Dieu. Ceci devrait subjuguer chacun et faire naître en lui le désir d’appartenir à la vraie Eglise biblique, dans laquelle les pensées de Dieu, Ses Paroles et Ses actions puissent se réaliser sur la terre. De même que toutes les paroles des Ecritures relatives au Messie s’accomplirent, de même toutes les promesses faites à l’Eglise doivent s’accomplir en Elle et au travers d’Elle. La prière de l’Eglise primitive se termine ainsi: “Et maintenant, Seigneur, vois leurs menaces, et donne à tes serviteurs d’annoncer ta parole avec une pleine assurance, en étendant ta main, pour qu’il se fasse des guérisons, des miracles et des prodiges, par le nom de ton saint serviteur Jésus. Quand ils eurent prié, le lieu où ils étaient assemblés trembla; ils furent tous remplis du Saint-Esprit, et ils annonçaient la Parole de Dieu avec assurance” (Actes 4.29-31 — Segond).

Christ est désigné dans son abaissement comme étant le serviteur du Seigneur. Il vint pour accomplir la parfaite volonté de Dieu. Nous lisons dans Esaïe 42.1: “Voici mon serviteur, que je soutiendrai, mon élu, en qui mon âme prend plaisir. J’ai mis mon Esprit sur lui; il annoncera la justice aux nations”(Segond).L’Esprit de Dieu vint sur Christ parce que Dieu avait trouvé Son plaisir en Lui. Ensuite Il commença Son ministère. Dans Luc 4, le Seigneur Jésus fit la lecture du passage du prophète Esaïe 61.1,2: “L’Esprit du Seigneur, l’Eternel, est sur moi, car l’Eternel m’a oint pour porter de bonnes nouvelles aux malheureux; il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le coeur brisé, pour proclamer aux captifs la liberté, et aux prisonniers la délivrance; pour publier une année de grâce de l’Eternel”.Il est dit dans Esaïe 42.6: “Moi, l’Eternel, je t’ai appelé pour le salut, et je te prendrai par la main, je te garderai, et je t’établirai pour traiter alliance avec le peuple, pour être la lumière des nations, pour ouvrir les yeux des aveugles, pour faire sortir de prison le captif, et de leur cachot ceux qui habitent dans les ténèbres”(Segond).Chacun peut lire l’accomplissement de cette parole dans Matthieu 12.15-21. Ce qu’Il a dit autrefois est valable encore aujourd’hui: “Il ne brisera point le roseau cassé, et il n’éteindra point la mèche qui brûle encore; il annoncera la justice selon la vérité. Il ne se découragera point et ne se relâchera point, jusqu’à ce qu’il ait établi la justice sur la terre, et que les îles espèrent en sa loi”(Es. 42.3,4 — Segond).

Dans le prophète Esaïe, du chapitre 52.13 au chapitre 53.12 (Segond), le Sauveur est vu par avance, sous sa forme de serviteur, sur le chemin qui le conduit de Gethsémané àGolgotha. “… il n’avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, et son aspect n’avait rien pour nous plaire. Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage, nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas”(v. 2,3). Les versets suivants (v. 4,5) exposent le coeur de l’oeuvre de salut: “Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé; et nous l’avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris”.Dans le psaume 129.3 nous trouvons aussi une indication prophétique de Ses souffrances: “Des laboureurs ont labouré mon dos, ils y ont tracé de longs sillons”(Segond).Nous lisons ce qui suit dans Esaïe 50.6 :“J’ai livré mon dos à ceux qui me frappaient, et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe; je n’ai pas dérobé mon visage aux ignominies et aux crachats”(Segond).

Sous sa forme de serviteur, le Messie a été humilié d’une façon incompréhensible pour nous, et Il a été traité comme un criminel. Marc 14.65 nous rapporte ceci: “Et quelques-uns se mirent à cracher sur lui, à lui voiler le visage et à le frapper à coups de poing, en lui disant: Devine! Et les serviteurs le reçurent en lui donnant des soufflets”(Segond).On parle au chapitre 15 de Sa flagellation, et comment on Lui mit sur la tête une couronne d’épines, et toutes les moqueries qu’Il dut endurer. Au verset 28 nous est donné cet éclaircissement: “Ainsi fut accompli ce que dit l’Ecriture”(Es. 53.12): “Il a été mis au nombre des malfaiteurs”.

Dans Esaïe 53 nous est aussi donnée l’explication de la raison pour laquelle notre Sauveur a dû passer par toutes ces choses. Nous lisons au verset 11:“A cause du travail de son âme, il rassasiera ses regards; par sa connaissance mon serviteur juste justifiera beaucoup d’hommes, et il se chargera de leurs iniquités”(Segond).Nous étions les coupables qui méritions la mort, cependant Il prit notre place. Nous étions ceux qui étaient abandonnés de Dieu. Lorsqu’Il était sur la croix, Jésus s’écria à notre place: “Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné?”.Dans le psaume 22 David prophétise en disant par l’Esprit ces paroles: “Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné?”(v. 2). “Tous ceux qui me voient se moquent de moi…”(v. 8). “Car des chiens m’environnent, une bande de scélérats rôdent autour de moi, ils ont percé mes mains et mes pieds. Je pourrais compter tous mes os. Eux, ils observent, ils me regardent; ils se partagent mes vêtements, ils tirent au sort ma tunique”(v. 17-19 — Segond).

Considérons donc avec quelle exactitude plus de cent paroles prophétiques de l’Ancien Testament en rapport avec le Messie se sont accomplies. Par Ses souffrances et Sa mort Il nous a délivrés, et Il a enlevé l’inimitié existant entre nous et Dieu. C’est ainsi que nous sommes devenus des hommes nouveaux et des pacificateurs (Eph. 2.13-17).

En tant que serviteur, Jésus refusa d’être appelé “bon maître”. Il dit au chef: “Pourquoi m’appelles-tu bon? Il n’y a de bon que Dieu seul”(Luc 18.18,19 — Segond). Il dit littéralement: “Je ne tire pas ma gloire des hommes… Comment pouvez-vous croire, vous qui tirez votre gloire des uns des autres, et qui ne cherchez point la gloire qui vient de Dieu seul?”(Jean 5.41,44 — Segond). Il était venu pour accomplir la volonté de Dieu, et c’est pourquoi Il dit: “Celui qui m’a envoyé est avec moi; il ne m’a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui est agréable”(Jean 8.29 — Segond). En tant que serviteur Jésus est venu pour servir, c’est pourquoi Il dit: “C’est ainsi que le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de plusieurs”(Mat. 20.28 — Segond).

L’Eglise primitive employait àSon égard la désignation de “serviteur”, même dans ses prières. “En effet, contre ton saint serviteur Jésus, que tu as oint, Hérode et Ponce Pilate se sont ligués dans cette ville avec les nations et avec les peuples d’Israël, pour faire tout ce que ta main et ton conseil avaient arrêté d’avance”(Actes 4.27,28 —Segond). Sous la direction du Saint-Esprit, les hommes ont toujours dit, prié, écrit et fait ce qui était juste. Bien des choses peuvent sembler être contraires à la raison, cependant il devait être rendu compte de chaque Parole de Dieu. Ceci devrait subjuguer chacun et faire naître en lui le désir d’appartenir à la vraie Eglise biblique, dans laquelle les pensées de Dieu, Ses Paroles et Ses actions puissent se réaliser sur la terre. De même que toutes les paroles des Ecritures relatives au Messie s’accomplirent, de même toutes les promesses faites à l’Eglise doivent s’accomplir en Elle et au travers d’Elle.La prière de l’Eglise primitive se termine ainsi: “Et maintenant, Seigneur, vois leurs menaces, et donne à tes serviteurs d’annoncer ta parole avec une pleine assurance, en étendant ta main, pour qu’il se fasse des guérisons, des miracles et des prodiges, par le nom de ton saint serviteur Jésus. Quand ils eurent prié, le lieu où ils étaient assemblés trembla; ils furent tous remplis du Saint-Esprit, et ils annonçaient la Parole de Dieu avec assurance”(Actes 4.29-31 — Segond).